Le monde de l'après - Covid. La fin de l’ère néolibérale
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- Nombre de pages128
- FormatePub
- ISBN978-2-07-298049-7
- EAN9782072980497
- Date de parution24/02/2022
- Protection num.Adobe DRM
- Taille840 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurEditions Gallimard
Résumé
Chacun a senti qu'au sortir de la pandémie du Covid le monde ne serait plus le même. Mais comment définir ce fameux « monde d'après » ? En réalité, montre Antoine Foucher, la crise sanitaire n'a fait qu'accélérer une rupture économique et politique qui était en germe. C'est l'ensemble des principes qui ont gouverné la vie de nos sociétés depuis la fin des années 1970 et que recouvre l'étiquette de « néolibéralisme » qui est radicalement remis en question.
Des individus autosuffisants, une société qui s'autorégule, un État qui s'autolimite à garantir des prestations : c'est avec cette vision, plus ou moins consciente, que nous vivons depuis une quarantaine d'années. Déjà contestée à travers l'essor des populismes, elle a volé en éclats avec le Covid, et la nécessaire transition énergétique achève de l'enterrer. Nous voilà redécouvrant le besoin impératif de nous gouverner pour faire face aux événements et ne plus subir le cours des choses.
L'ère du retrait de l'État, du libre échange mondial et de l'entreprise réduite à un centre de profits est désormais derrière nous. Ce n'est rien de moins que l'évolution souterraine du rapport entre l'individu et le collectif qui se joue et ouvre une nouvelle époque : l'heure est au retour du politique.
Des individus autosuffisants, une société qui s'autorégule, un État qui s'autolimite à garantir des prestations : c'est avec cette vision, plus ou moins consciente, que nous vivons depuis une quarantaine d'années. Déjà contestée à travers l'essor des populismes, elle a volé en éclats avec le Covid, et la nécessaire transition énergétique achève de l'enterrer. Nous voilà redécouvrant le besoin impératif de nous gouverner pour faire face aux événements et ne plus subir le cours des choses.
L'ère du retrait de l'État, du libre échange mondial et de l'entreprise réduite à un centre de profits est désormais derrière nous. Ce n'est rien de moins que l'évolution souterraine du rapport entre l'individu et le collectif qui se joue et ouvre une nouvelle époque : l'heure est au retour du politique.
Chacun a senti qu'au sortir de la pandémie du Covid le monde ne serait plus le même. Mais comment définir ce fameux « monde d'après » ? En réalité, montre Antoine Foucher, la crise sanitaire n'a fait qu'accélérer une rupture économique et politique qui était en germe. C'est l'ensemble des principes qui ont gouverné la vie de nos sociétés depuis la fin des années 1970 et que recouvre l'étiquette de « néolibéralisme » qui est radicalement remis en question.
Des individus autosuffisants, une société qui s'autorégule, un État qui s'autolimite à garantir des prestations : c'est avec cette vision, plus ou moins consciente, que nous vivons depuis une quarantaine d'années. Déjà contestée à travers l'essor des populismes, elle a volé en éclats avec le Covid, et la nécessaire transition énergétique achève de l'enterrer. Nous voilà redécouvrant le besoin impératif de nous gouverner pour faire face aux événements et ne plus subir le cours des choses.
L'ère du retrait de l'État, du libre échange mondial et de l'entreprise réduite à un centre de profits est désormais derrière nous. Ce n'est rien de moins que l'évolution souterraine du rapport entre l'individu et le collectif qui se joue et ouvre une nouvelle époque : l'heure est au retour du politique.
Des individus autosuffisants, une société qui s'autorégule, un État qui s'autolimite à garantir des prestations : c'est avec cette vision, plus ou moins consciente, que nous vivons depuis une quarantaine d'années. Déjà contestée à travers l'essor des populismes, elle a volé en éclats avec le Covid, et la nécessaire transition énergétique achève de l'enterrer. Nous voilà redécouvrant le besoin impératif de nous gouverner pour faire face aux événements et ne plus subir le cours des choses.
L'ère du retrait de l'État, du libre échange mondial et de l'entreprise réduite à un centre de profits est désormais derrière nous. Ce n'est rien de moins que l'évolution souterraine du rapport entre l'individu et le collectif qui se joue et ouvre une nouvelle époque : l'heure est au retour du politique.