LE MOI ET SON ANGOISSE. Tome 1, Entre pulsion de vie et pulsion de mort

Par : Benno Rosenberg

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages192
  • FormatePub
  • ISBN2-13-067595-6
  • EAN9782130675952
  • Date de parution01/01/1997
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille71 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurPresses universitaires de France...

Résumé

En 1926, dans Inhibition, symptôme et angoisse, Freud propose une nouvelle théorie de l'angoisse dans laquelle le Moi joue un rôle capital. Dans ce nouveau cadre, le Moi fait plus que ressentir l'angoisse, il la produit. Cette théorie s'oppose à celle qui la précédait où l'angoisse était une transformation, dans certaines conditions, de la libido. On peut opposer ces deux théories en disant que l'une, la plus ancienne, était pulsionnelle, alors que l'autre est topique.
Il est bien entendu que la topique sur laquelle se fonde cette dernière théorie, est la nouvelle topique introduite pour l'essentiel après 1920. Mais celle-ci ne peut se concevoir, selon l'auteur, que fondée sur la dernière théorie freudienne des pulsions introduite, elle aussi, après 1920 et ceci, en dépit du fait que certains de ses éléments sont apparus avant cette date. En fonction de quoi, l'auteur pense qu'il faut ajouter une troisième étape théorique où l'angoisse est bien produite par le Moi (la théorie topique), mais où le danger qui la suscite, ainsi que sa production même dans le Moi, ont des sources pulsionnelles.
Cette troisième étape a, selon l'auteur, valeur de synthèse des deux autres. Ainsi, s'ouvre la possibilité d'un renouvellement théorique-métapsychologique de l'angoisse, sans pour cela changer la phénoménologie de celle-ci, surtout son rôle dans la névrose et dans la psychopathologie en général. De cette façon est satisfaite, pour ce cas, une exigence métapsychologique fondamentale, à savoir montrer la genèse des phénomènes psychiques, surtout les plus importants, à partir des pulsions, c'est-à-dire à partir des sources de la vie psychique.
En 1926, dans Inhibition, symptôme et angoisse, Freud propose une nouvelle théorie de l'angoisse dans laquelle le Moi joue un rôle capital. Dans ce nouveau cadre, le Moi fait plus que ressentir l'angoisse, il la produit. Cette théorie s'oppose à celle qui la précédait où l'angoisse était une transformation, dans certaines conditions, de la libido. On peut opposer ces deux théories en disant que l'une, la plus ancienne, était pulsionnelle, alors que l'autre est topique.
Il est bien entendu que la topique sur laquelle se fonde cette dernière théorie, est la nouvelle topique introduite pour l'essentiel après 1920. Mais celle-ci ne peut se concevoir, selon l'auteur, que fondée sur la dernière théorie freudienne des pulsions introduite, elle aussi, après 1920 et ceci, en dépit du fait que certains de ses éléments sont apparus avant cette date. En fonction de quoi, l'auteur pense qu'il faut ajouter une troisième étape théorique où l'angoisse est bien produite par le Moi (la théorie topique), mais où le danger qui la suscite, ainsi que sa production même dans le Moi, ont des sources pulsionnelles.
Cette troisième étape a, selon l'auteur, valeur de synthèse des deux autres. Ainsi, s'ouvre la possibilité d'un renouvellement théorique-métapsychologique de l'angoisse, sans pour cela changer la phénoménologie de celle-ci, surtout son rôle dans la névrose et dans la psychopathologie en général. De cette façon est satisfaite, pour ce cas, une exigence métapsychologique fondamentale, à savoir montrer la genèse des phénomènes psychiques, surtout les plus importants, à partir des pulsions, c'est-à-dire à partir des sources de la vie psychique.