Le Massacre de Camp Grant

Par : Elliot Arnold
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  • Nombre de pages472
  • FormatePub
  • ISBN978-2-268-11202-2
  • EAN9782268112022
  • Date de parution04/06/2025
  • Copier CollerNon Autorisé
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille2 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurEditions du Rocher
  • TraducteurThierry Chevrier

Résumé

À l'aube du 30 avril 1871, à quelque 80 kilomètres au nord-est de Tucson, Arizona, le Camp Grant est perdu au milieu de nulle part. Pourtant, c'est dans ce camp militaire qu'un des épisodes de ce qui est sobrement appelé « Les Guerres indiennes », se perpétra, dans un silence sournois, un massacre d'Indiens des plus effrayants. En quelques minutes, une centaine d'Apaches aravaipas, surtout des femmes et des enfants, sont exterminés dans leur sommeil à coup de gourdins assénés sur les têtes des dormeurs.
Les acteurs de ce drame ont réellement existé et apparaissent ici sous leur vrai nom. Mettant en scène les origines du massacre qui fermentent chez beaucoup d'Arizoniens et notamment à Tucson, Elliott Arnold restitue avec rigueur le déroulement de cette tragédie. Sur fond de la vie quotidienne d'un camp militaire dont la garnison étique et désoeuvrée rumine ses idées noires, Arnold met en scène la rencontre entre un officier attachant, Royal Emerson Whitman, et un chef apache, l'Aravaipa Eskiminzin.
Tous deux choisiront de se faire confiance, convaincus de faire le bien de leur peuple. C'est une milice civile de Tucson composée d'Américains, de Mexicains et de nombreux Indiens papagos - ennemis héréditaires des Apaches - qui accomplira à Camp Grant l'effrayante geste criminelle. Le récit de ce drame, aux rouages précisément appuyés sur une minutieuse recherche dans la presse locale de l'époque, constitue un véritable document historique.
Ce massacre révolta l'Amérique. Le procès des tueurs fut ordonné par le président Ulysses S. Grant. Jugés en décembre 1871, les cent onze accusés furent innocentés. Ce roman est le chef d'oeuvre d'un écrivain chevronné, peinture saisissante d'une tragédie, mais aussi de la grandeur d'un officier et d'un chef indien aux prises avec l'inexorable fatalité. Elliott Arnold né en 1912 à New-York est mort en 1980.
Journaliste et grand reporter membre de l'US Air Force, il écrit et publie de nombreux romans traduits dans plusieurs langues. Elliott Arnold demeure un des auteurs américains de romans historiques les plus solidement documentés ; furent ainsi traduits en France Un avion ce matin-là, Le temps des Gringos et, dans la présente collection La Flèche brisée.
À l'aube du 30 avril 1871, à quelque 80 kilomètres au nord-est de Tucson, Arizona, le Camp Grant est perdu au milieu de nulle part. Pourtant, c'est dans ce camp militaire qu'un des épisodes de ce qui est sobrement appelé « Les Guerres indiennes », se perpétra, dans un silence sournois, un massacre d'Indiens des plus effrayants. En quelques minutes, une centaine d'Apaches aravaipas, surtout des femmes et des enfants, sont exterminés dans leur sommeil à coup de gourdins assénés sur les têtes des dormeurs.
Les acteurs de ce drame ont réellement existé et apparaissent ici sous leur vrai nom. Mettant en scène les origines du massacre qui fermentent chez beaucoup d'Arizoniens et notamment à Tucson, Elliott Arnold restitue avec rigueur le déroulement de cette tragédie. Sur fond de la vie quotidienne d'un camp militaire dont la garnison étique et désoeuvrée rumine ses idées noires, Arnold met en scène la rencontre entre un officier attachant, Royal Emerson Whitman, et un chef apache, l'Aravaipa Eskiminzin.
Tous deux choisiront de se faire confiance, convaincus de faire le bien de leur peuple. C'est une milice civile de Tucson composée d'Américains, de Mexicains et de nombreux Indiens papagos - ennemis héréditaires des Apaches - qui accomplira à Camp Grant l'effrayante geste criminelle. Le récit de ce drame, aux rouages précisément appuyés sur une minutieuse recherche dans la presse locale de l'époque, constitue un véritable document historique.
Ce massacre révolta l'Amérique. Le procès des tueurs fut ordonné par le président Ulysses S. Grant. Jugés en décembre 1871, les cent onze accusés furent innocentés. Ce roman est le chef d'oeuvre d'un écrivain chevronné, peinture saisissante d'une tragédie, mais aussi de la grandeur d'un officier et d'un chef indien aux prises avec l'inexorable fatalité. Elliott Arnold né en 1912 à New-York est mort en 1980.
Journaliste et grand reporter membre de l'US Air Force, il écrit et publie de nombreux romans traduits dans plusieurs langues. Elliott Arnold demeure un des auteurs américains de romans historiques les plus solidement documentés ; furent ainsi traduits en France Un avion ce matin-là, Le temps des Gringos et, dans la présente collection La Flèche brisée.