Le MAC de Marseille. Une affaire de musée d'art

Par : Jean-Paul Curnier

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages48
  • FormatePub
  • ISBN2-402-03661-3
  • EAN9782402036610
  • Date de parution01/01/1996
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille12 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurFeniXX réédition numérique (Sens...

Résumé

Entre le 29 février et les premiers jours de mars, la presse a fait état de la mise en garde à vue d'un artiste et du directeur du musée d'art contemporain de Marseille (MAC). Ce qu'il en ressortait, malgré le motif jubilatoire, c'est une histoire d'agression contre une ouvre subversive et contre l'audace d'une institution qui cherchait à susciter le débat, à mobiliser la pensée. Tout commence avec le titre de la pièce exposée : Tout ce que je vous ai volé, qui prend tout son sens quand on pense que les musées sont pleins de « tout ce qui nous a été volé » depuis que l'art existe, de toutes les ouvres détournées de leur lieu, de leur origine, de leur réalité vivante pour être recelées et mises en détention provisoire.
Le musée étant le lieu du recel de toute culture, il est logique qu'il en soit venu à receler le vol lui-même, à voler le vol à sa propre réalité et à en faire une ouvre. Donc tout aussi logique (et ubuesque) qu'il soit mis en accusation pour recel et pour vol.
Entre le 29 février et les premiers jours de mars, la presse a fait état de la mise en garde à vue d'un artiste et du directeur du musée d'art contemporain de Marseille (MAC). Ce qu'il en ressortait, malgré le motif jubilatoire, c'est une histoire d'agression contre une ouvre subversive et contre l'audace d'une institution qui cherchait à susciter le débat, à mobiliser la pensée. Tout commence avec le titre de la pièce exposée : Tout ce que je vous ai volé, qui prend tout son sens quand on pense que les musées sont pleins de « tout ce qui nous a été volé » depuis que l'art existe, de toutes les ouvres détournées de leur lieu, de leur origine, de leur réalité vivante pour être recelées et mises en détention provisoire.
Le musée étant le lieu du recel de toute culture, il est logique qu'il en soit venu à receler le vol lui-même, à voler le vol à sa propre réalité et à en faire une ouvre. Donc tout aussi logique (et ubuesque) qu'il soit mis en accusation pour recel et pour vol.
Comment faire du théâtre avec succès
Pit Goedert, Pierre Béziers, Jean-Paul Curnier, Irénée D. Lastelle, Yves Fravéga
E-book
6,49 €
Arbor
Antoine Herscher, Jean-Paul Curnier
Grand Format
25,00 €
Le Torero mort
Jean-Paul Curnier
29,50 €
Odyssée pastorale
Lionel Roux, Jean-Paul Curnier, Patrick Fabre, Alain Guyard
39,60 €