Le langage dramatique de "La reine morte"

Par : Romain Lancrey-Javal

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages296
  • FormatePub
  • ISBN2-13-067277-9
  • EAN9782130672777
  • Date de parution01/01/1995
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille369 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurPresses universitaires de France...

Résumé

Les biographes de Montherlant ont révélé la falsification de la date de naissance d'un auteur, né en 1895 et non en 1896. Dans l'esprit du grand public, le recul dans le temps est encore plus grand et l'auteur de La reine morte paraît plus que centenaire. La consécration précoce d'une ouvre trop vite institutionnalisée s'est retournée contre elle ; les révélations sur la vie privée de l'homme ont fait le reste.
On reproche désormais à Montherlant d'avoir manqué son existence et son ouvre, d'avoir mis en particulier trop de théâtre dans sa vie, et trop peu de vie dans son théâtre. À la faveur d'un timide retour en grâce dans les commémorations et les programmes d'enseignement, s'amorce peut-être néanmoins une possible réhabilitation, non d'un idéologue, que Montherlant n'a jamais voulu être, mais d'un grand écrivain, injustement décrié aujourd'hui.
S'attachant à la pièce célèbre, qui a fait la réputation du dramaturge, La reine morte, pièce inaugurale (ponctuellement comparée à la pièce finale en pourpoint qu'est Le cardinal d'Espagne), cet ouvrage se propose de montrer, à travers l'examen d'une série de questions théâtrales, qu'il y a là, sans doute, un répertoire à redécouvrir. Refusant d'écrire l'acte final de ses pièces, Montherlant a laissé entendre qu'il n'avait peut-être pas dit son dernier mot.
Les biographes de Montherlant ont révélé la falsification de la date de naissance d'un auteur, né en 1895 et non en 1896. Dans l'esprit du grand public, le recul dans le temps est encore plus grand et l'auteur de La reine morte paraît plus que centenaire. La consécration précoce d'une ouvre trop vite institutionnalisée s'est retournée contre elle ; les révélations sur la vie privée de l'homme ont fait le reste.
On reproche désormais à Montherlant d'avoir manqué son existence et son ouvre, d'avoir mis en particulier trop de théâtre dans sa vie, et trop peu de vie dans son théâtre. À la faveur d'un timide retour en grâce dans les commémorations et les programmes d'enseignement, s'amorce peut-être néanmoins une possible réhabilitation, non d'un idéologue, que Montherlant n'a jamais voulu être, mais d'un grand écrivain, injustement décrié aujourd'hui.
S'attachant à la pièce célèbre, qui a fait la réputation du dramaturge, La reine morte, pièce inaugurale (ponctuellement comparée à la pièce finale en pourpoint qu'est Le cardinal d'Espagne), cet ouvrage se propose de montrer, à travers l'examen d'une série de questions théâtrales, qu'il y a là, sans doute, un répertoire à redécouvrir. Refusant d'écrire l'acte final de ses pièces, Montherlant a laissé entendre qu'il n'avait peut-être pas dit son dernier mot.
Madame Bovary
3.8/5
3.9/5
Gustave Flaubert
Poche
4,50 €