Le juste et l'injuste. Emotions, reconnaissance et actions collectives

Par : Yann Guillaud

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  • Nombre de pages300
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-296-24547-1
  • EAN9782296245471
  • Date de parution01/12/2009
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille2 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Comment distinguer le juste de l'injuste et quel rôle y jouent les émotions ? Quelle est leur place dans les débats publics, dans ce qui fonde la reconnaissance, les actions collectives et l'auto-constitution des groupes ? Ces interrogations traversent ce livre, mais elles se distinguent des analyses habituelles de la sociologie de la communication en ne se limitant pas à la seule question des médias.
Si les médias mettent bien en scène les émotions et les mutations qui affectent les critères moraux, participent à la formation et à la délimitation du contenu d'identités collectives, les émotions et leur statut moral mobilisent autre chose, comme l'affirme Jean Widmer, ce livre étant un hommage à ses travaux. Les processus d'identification, de conscience de soi, du regard porté sur autrui qui frappe d'invisibilité les groupes non reconnus sont centraux dans les relations entre émotions et collectivité, que cela soit pour des métiers à forte charge émotionnelle, pour des jeunes confrontés au marché du travail ou pour des " sans-papiers ".
Par la diversité de leurs terrains, les contributions regroupées ici éclairent les mécaniques à l'oeuvre pour discriminer le juste de l'injuste, les luttes de ou pour la reconnaissance selon la distinction hégélienne et un développement critique de la pensée de Honneth, pour établir une définition de la justice sociale.
Comment distinguer le juste de l'injuste et quel rôle y jouent les émotions ? Quelle est leur place dans les débats publics, dans ce qui fonde la reconnaissance, les actions collectives et l'auto-constitution des groupes ? Ces interrogations traversent ce livre, mais elles se distinguent des analyses habituelles de la sociologie de la communication en ne se limitant pas à la seule question des médias.
Si les médias mettent bien en scène les émotions et les mutations qui affectent les critères moraux, participent à la formation et à la délimitation du contenu d'identités collectives, les émotions et leur statut moral mobilisent autre chose, comme l'affirme Jean Widmer, ce livre étant un hommage à ses travaux. Les processus d'identification, de conscience de soi, du regard porté sur autrui qui frappe d'invisibilité les groupes non reconnus sont centraux dans les relations entre émotions et collectivité, que cela soit pour des métiers à forte charge émotionnelle, pour des jeunes confrontés au marché du travail ou pour des " sans-papiers ".
Par la diversité de leurs terrains, les contributions regroupées ici éclairent les mécaniques à l'oeuvre pour discriminer le juste de l'injuste, les luttes de ou pour la reconnaissance selon la distinction hégélienne et un développement critique de la pensée de Honneth, pour établir une définition de la justice sociale.