Le jour, la nuit, l'inceste
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- Nombre de pages304
- FormatPDF
- ISBN978-2-14-012902-5
- EAN9782140129025
- Date de parution30/08/2019
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
MAud Steiner, fille d'un père architecte Prix de Rome et d'une mère sculpteur, a grandi à Saint-Germain-des-Prés dans les années 60. Après le suicide de son frère Fabien, elle cherche durant quinze ans une explication. Au cours d'un travail thérapeutique, des flashes de sa petite enfance réémergent... L'amnésie s'efface."Je suis chaque matin l'enfant qui arrive à l'école sans ses chaussures, en pleurant, mais quelle chance...
son père est venu jusqu'à l'école, en courant le long du boulevard Saint-Germain, pour que sa petite fille ait ses chaussures aux pieds et s'arrête de pleurer. Et que la hont ed'avoir les pieds nus, elle est dérisoire face à une blessure en sept lettres, qui commencerait pas la lettre "I" et ne se terminerait jamais. J'avais cinq ans. Je me sentais désavouée dans l'indiférence du monde".
son père est venu jusqu'à l'école, en courant le long du boulevard Saint-Germain, pour que sa petite fille ait ses chaussures aux pieds et s'arrête de pleurer. Et que la hont ed'avoir les pieds nus, elle est dérisoire face à une blessure en sept lettres, qui commencerait pas la lettre "I" et ne se terminerait jamais. J'avais cinq ans. Je me sentais désavouée dans l'indiférence du monde".
MAud Steiner, fille d'un père architecte Prix de Rome et d'une mère sculpteur, a grandi à Saint-Germain-des-Prés dans les années 60. Après le suicide de son frère Fabien, elle cherche durant quinze ans une explication. Au cours d'un travail thérapeutique, des flashes de sa petite enfance réémergent... L'amnésie s'efface."Je suis chaque matin l'enfant qui arrive à l'école sans ses chaussures, en pleurant, mais quelle chance...
son père est venu jusqu'à l'école, en courant le long du boulevard Saint-Germain, pour que sa petite fille ait ses chaussures aux pieds et s'arrête de pleurer. Et que la hont ed'avoir les pieds nus, elle est dérisoire face à une blessure en sept lettres, qui commencerait pas la lettre "I" et ne se terminerait jamais. J'avais cinq ans. Je me sentais désavouée dans l'indiférence du monde".
son père est venu jusqu'à l'école, en courant le long du boulevard Saint-Germain, pour que sa petite fille ait ses chaussures aux pieds et s'arrête de pleurer. Et que la hont ed'avoir les pieds nus, elle est dérisoire face à une blessure en sept lettres, qui commencerait pas la lettre "I" et ne se terminerait jamais. J'avais cinq ans. Je me sentais désavouée dans l'indiférence du monde".