Le jardin aux lucioles

Par : Philippe Fiévet

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  • Nombre de pages204
  • FormatePub
  • ISBN978-2-8070-0518-1
  • EAN9782807005181
  • Date de parution03/06/2025
  • Protection num.Adobe DRM
  • Taille338 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurMEO (Editions)

Résumé

Le récit « Le Temps des arbres », du même auteur, avait été publié par les éditions du Rouergue en 2019. Six ans plus tard, les éditions M. E. O. prennent le relais sous la forme d'un roman « d'outre-humus ». Le jardinier du « Temps des arbres » tire sa révérence de la manière - ou peu s'en faut - qu'il a toujours souhaitée. Mais que deviendront ses précieux arbres, auxquels il a tant donné ? Comment évoluera son jardin de rêve ? Celui est-il condamné à mourir avec son jardinier ou un successeur prendra-t-il la relève ? Quant aux trois enfants dont ce jardin a marqué l'enfance, Alexis, Anaïs et Julien, que vont-ils devenir ? Comment vivront-ils le deuil de leur père, de cette maison hantée de souvenirs de voyages, d'ombres et de lumières ? Vient un moment inéluctable où l'on arrive au bout du chemin ; mais si les arbres sont avec nous, s'ils ont imprégné notre vie de leur sagesse, ne nous livrent-ils pas les réponses que nous nous sommes toujours posées ? Ceux qui sont sensibles à la magie des jardins comprendront cette belle aventure que l'auteur partage ici, bien au-delà d'une courte vie d'homme.
Né à Charleroi, Philippe Fiévet, ex-enseignant devenu journaliste à Paris Match Belgique, a vécu à Liège avant de se retirer non loin de Braives, dans un village de la Hesbaye. Il y a patiemment aménagé un terrain qu'il a ensemencé avec les plus belles essences du règne végétal, avec en point de mire des arbres rayonnants en automne. Il était déjà l'auteur de trois récits et deux romans. Les trois derniers en date ont été publiés aux éditions M.
E. O. « Une colonne pour le paradis » a été finaliste du prix Saga Café.
Le récit « Le Temps des arbres », du même auteur, avait été publié par les éditions du Rouergue en 2019. Six ans plus tard, les éditions M. E. O. prennent le relais sous la forme d'un roman « d'outre-humus ». Le jardinier du « Temps des arbres » tire sa révérence de la manière - ou peu s'en faut - qu'il a toujours souhaitée. Mais que deviendront ses précieux arbres, auxquels il a tant donné ? Comment évoluera son jardin de rêve ? Celui est-il condamné à mourir avec son jardinier ou un successeur prendra-t-il la relève ? Quant aux trois enfants dont ce jardin a marqué l'enfance, Alexis, Anaïs et Julien, que vont-ils devenir ? Comment vivront-ils le deuil de leur père, de cette maison hantée de souvenirs de voyages, d'ombres et de lumières ? Vient un moment inéluctable où l'on arrive au bout du chemin ; mais si les arbres sont avec nous, s'ils ont imprégné notre vie de leur sagesse, ne nous livrent-ils pas les réponses que nous nous sommes toujours posées ? Ceux qui sont sensibles à la magie des jardins comprendront cette belle aventure que l'auteur partage ici, bien au-delà d'une courte vie d'homme.
Né à Charleroi, Philippe Fiévet, ex-enseignant devenu journaliste à Paris Match Belgique, a vécu à Liège avant de se retirer non loin de Braives, dans un village de la Hesbaye. Il y a patiemment aménagé un terrain qu'il a ensemencé avec les plus belles essences du règne végétal, avec en point de mire des arbres rayonnants en automne. Il était déjà l'auteur de trois récits et deux romans. Les trois derniers en date ont été publiés aux éditions M.
E. O. « Une colonne pour le paradis » a été finaliste du prix Saga Café.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

5/5
sur 1 note dont 3 avis lecteurs
Eblouissement
D’une manière générale, ce roman m’a transporté, ébloui même par moments. Par son écriture simple, limpide, belle, qui distille un vrai bonheur chez le lecteur. Par l’humour tranquille et sage, à la limite de l’auto-dérision, du narrateur. Par l’originalité de l’écriture, avec de délicieuses « trouvailles » et des métaphores inspirées par le monde végétal. Par le fond également : regard tendre mais lucide d’un homme sur sa vie, sur ses relations avec ses enfants, son entourage, amour profond de l’homme pour la nature, dont il sait en faire partie, au point de confondre ses cendres avec l'arbre au pied duquel elles ont été répandues, solidarité aussi des plantes et des arbres entre eux. En particulier, j’ai été ému, au point de les relire, par les passages avec la chienne Geisha et par celui où Julien va rechercher les cendres de sa mère pour les répandre sur celles de son père, avec cette phrase déchirante qui conclut le roman : « Un bref instant, il crut percevoir deux corps allongés sur la pelouse, unis l’un à l’autre dans le songe d’une douce nuit d’été et dont l’étreinte était sur le point de lui transmettre la toute première étincelle de vie ». Moi, qui ne suit qu’un très modeste jardinier au regard du narrateur, qui ai donné vie à trois enfants également, et dont la vie est à son automne déjà, je me suis souvent identifié au narrateur. Et j’ai beaucoup appris sur le monde végétal et …les lucioles. Un immense merci pour ce livre, qui nous parle de la vie, de la mort, avec détachement et en même temps, avec profondeur, et sans jamais sombrer dans la tristesse.
D’une manière générale, ce roman m’a transporté, ébloui même par moments. Par son écriture simple, limpide, belle, qui distille un vrai bonheur chez le lecteur. Par l’humour tranquille et sage, à la limite de l’auto-dérision, du narrateur. Par l’originalité de l’écriture, avec de délicieuses « trouvailles » et des métaphores inspirées par le monde végétal. Par le fond également : regard tendre mais lucide d’un homme sur sa vie, sur ses relations avec ses enfants, son entourage, amour profond de l’homme pour la nature, dont il sait en faire partie, au point de confondre ses cendres avec l'arbre au pied duquel elles ont été répandues, solidarité aussi des plantes et des arbres entre eux. En particulier, j’ai été ému, au point de les relire, par les passages avec la chienne Geisha et par celui où Julien va rechercher les cendres de sa mère pour les répandre sur celles de son père, avec cette phrase déchirante qui conclut le roman : « Un bref instant, il crut percevoir deux corps allongés sur la pelouse, unis l’un à l’autre dans le songe d’une douce nuit d’été et dont l’étreinte était sur le point de lui transmettre la toute première étincelle de vie ». Moi, qui ne suit qu’un très modeste jardinier au regard du narrateur, qui ai donné vie à trois enfants également, et dont la vie est à son automne déjà, je me suis souvent identifié au narrateur. Et j’ai beaucoup appris sur le monde végétal et …les lucioles. Un immense merci pour ce livre, qui nous parle de la vie, de la mort, avec détachement et en même temps, avec profondeur, et sans jamais sombrer dans la tristesse.
  • enfants
  • jardin - fleurs
Eblouissement
D’une manière générale, ce roman m’a transporté, ébloui même par moments. Par son écriture simple, limpide, belle, qui distille un vrai bonheur chez le lecteur. Par l’humour tranquille et sage, à la limite de l’auto-dérision, du narrateur. Par l’originalité de l’écriture, avec de délicieuses « trouvailles » et des métaphores inspirées par le monde végétal. Par le fond également : regard tendre mais lucide d’un homme sur sa vie, sur ses relations avec ses enfants, son entourage, amour profond de l’homme pour la nature, dont il sait en faire partie, au point de confondre ses cendres avec l'arbre au pied duquel elles ont été répandues, solidarité aussi des plantes et des arbres entre eux. En particulier, j’ai été ému, au point de les relire, par les passages avec la chienne Geisha et par celui où Julien va rechercher les cendres de sa mère pour les répandre sur celles de son père, avec cette phrase déchirante qui conclut le roman : « Un bref instant, il crut percevoir deux corps allongés sur la pelouse, unis l’un à l’autre dans le songe d’une douce nuit d’été et dont l’étreinte était sur le point de lui transmettre la toute première étincelle de vie ». Moi, qui ne suit qu’un très modeste jardinier au regard du narrateur, qui ai donné vie à trois enfants également, qui ai « vécu » le suicide d’un frère jeune, adoré, et dont la vie est à son automne déjà, je me suis souvent identifié au narrateur. Et j’ai beaucoup appris sur le monde végétal et …les lucioles. Un immense merci pour ce livre, qui nous parle de la vie, de la mort, avec détachement et en même temps, avec profondeur, et sans jamais sombrer dans la tristesse.
D’une manière générale, ce roman m’a transporté, ébloui même par moments. Par son écriture simple, limpide, belle, qui distille un vrai bonheur chez le lecteur. Par l’humour tranquille et sage, à la limite de l’auto-dérision, du narrateur. Par l’originalité de l’écriture, avec de délicieuses « trouvailles » et des métaphores inspirées par le monde végétal. Par le fond également : regard tendre mais lucide d’un homme sur sa vie, sur ses relations avec ses enfants, son entourage, amour profond de l’homme pour la nature, dont il sait en faire partie, au point de confondre ses cendres avec l'arbre au pied duquel elles ont été répandues, solidarité aussi des plantes et des arbres entre eux. En particulier, j’ai été ému, au point de les relire, par les passages avec la chienne Geisha et par celui où Julien va rechercher les cendres de sa mère pour les répandre sur celles de son père, avec cette phrase déchirante qui conclut le roman : « Un bref instant, il crut percevoir deux corps allongés sur la pelouse, unis l’un à l’autre dans le songe d’une douce nuit d’été et dont l’étreinte était sur le point de lui transmettre la toute première étincelle de vie ». Moi, qui ne suit qu’un très modeste jardinier au regard du narrateur, qui ai donné vie à trois enfants également, qui ai « vécu » le suicide d’un frère jeune, adoré, et dont la vie est à son automne déjà, je me suis souvent identifié au narrateur. Et j’ai beaucoup appris sur le monde végétal et …les lucioles. Un immense merci pour ce livre, qui nous parle de la vie, de la mort, avec détachement et en même temps, avec profondeur, et sans jamais sombrer dans la tristesse.
  • jardin - fleurs
Eblouissement
D’une manière générale, ce roman m’a transporté, ébloui même par moments. Par son écriture simple, limpide, belle, qui distille un vrai bonheur chez le lecteur. Par l’humour tranquille et sage, à la limite de l’auto-dérision, du narrateur. Par l’originalité de l’écriture, avec de délicieuses « trouvailles » et des métaphores inspirées par le monde végétal. Par le fond également : regard tendre mais lucide d’un homme sur sa vie, sur ses relations avec ses enfants, son entourage, amour profond de l’homme pour la nature, dont il sait en faire partie, au point de confondre ses cendres avec le Parrotia persica au pied duquel elles ont été répandues, solidarité aussi des plantes et des arbres entre eux. En particulier, j’ai été ému, au point de les relire, par les passages avec la chienne Geisha et par celui où Julien va rechercher les cendres de sa mère pour les répandre sur celles de son père, avec cette phrase déchirante qui conclut le roman : « Un bref instant, il crut percevoir deux corps allongés sur la pelouse, unis l’un à l’autre dans le songe d’une douce nuit d’été et dont l’étreinte était sur le point de lui transmettre la toute première étincelle de vie ». Moi, qui ne suit qu’un très modeste jardinier au regard du narrateur, qui ai donné vie à trois enfants également, et dont la vie est à son automne déjà, je me suis souvent identifié au narrateur. Et j’ai beaucoup appris sur le monde végétal et …les lucioles. Un immense merci pour ce livre, qui nous parle de la vie, de la mort, avec détachement et en même temps, avec profondeur, et sans jamais sombrer dans la tristesse.
D’une manière générale, ce roman m’a transporté, ébloui même par moments. Par son écriture simple, limpide, belle, qui distille un vrai bonheur chez le lecteur. Par l’humour tranquille et sage, à la limite de l’auto-dérision, du narrateur. Par l’originalité de l’écriture, avec de délicieuses « trouvailles » et des métaphores inspirées par le monde végétal. Par le fond également : regard tendre mais lucide d’un homme sur sa vie, sur ses relations avec ses enfants, son entourage, amour profond de l’homme pour la nature, dont il sait en faire partie, au point de confondre ses cendres avec le Parrotia persica au pied duquel elles ont été répandues, solidarité aussi des plantes et des arbres entre eux. En particulier, j’ai été ému, au point de les relire, par les passages avec la chienne Geisha et par celui où Julien va rechercher les cendres de sa mère pour les répandre sur celles de son père, avec cette phrase déchirante qui conclut le roman : « Un bref instant, il crut percevoir deux corps allongés sur la pelouse, unis l’un à l’autre dans le songe d’une douce nuit d’été et dont l’étreinte était sur le point de lui transmettre la toute première étincelle de vie ». Moi, qui ne suit qu’un très modeste jardinier au regard du narrateur, qui ai donné vie à trois enfants également, et dont la vie est à son automne déjà, je me suis souvent identifié au narrateur. Et j’ai beaucoup appris sur le monde végétal et …les lucioles. Un immense merci pour ce livre, qui nous parle de la vie, de la mort, avec détachement et en même temps, avec profondeur, et sans jamais sombrer dans la tristesse.
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