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- Nombre de pages387
- FormatePub
- ISBN978-2-259-21688-3
- EAN9782259216883
- Date de parution28/08/2014
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille3 Mo
- ÉditeurPlon
Résumé
Le témoignage poignant et plein d'humour d'un curé - qui est de surcroît un merveilleux conteur - sur la vie sociale de la Haute-Normandie profonde.
Qui nous baptisera ? Qui nous mariera ? Qui nous enterrera donc demain ? Les derniers curés vont disparaître dans les campagnes... "Métier d'curé, métier foutu !" comme l'annonçait déjà rudement un berger cauchois au jeune abbé Bernard Alexandre qui allait rejoindre sa première paroisse - qu'il ne devait plus quitter depuis : Vattetot-sous-Beaumont.
Ce livre est son témoignage. Bernard Alexandre, inlassablement, a tenté de faire "entendre" à ses paroissiens la parole du Christ. Ceux-ci n'ont cessé d'opposer à leur curé une résistance souveraine. .. "Eglisiers", les Cauchois ne demandent guère plus à leur curé que d'être un bon sacristain ; eux, s'accrochent de toutes leurs forces à leurs traditions : "A toujou été comm'cha..." Est-ce parce qu'ils savent inconsciemment que ces traditions qui plongent leurs racines dans des rites païens ont, en eux, des résonances essentielles ? Que leur sagesse consiste, comme tant de sociétés traditionnelles, à refuser de se poser des questions sur le plan du sacré, de crainte de ne pas leur trouver de réponse ? De crainte, surtout, de perdre leur foi et que ne s'écroule un édifice religieux et, avec lui, l'ensemble de la société auxquels leur destin est lié ? Bernard Alexandre sait qu'il ne sera pas remplacé faute de vocations sacerdotales assez nombreuses.
Il assiste au déclin de l'Eglise traditionnelle ; il espère de tout son coeur en une nouvelle Eglise plus restreinte, mais combattante, s'appuyant sur des laïcs responsables, agissant dans l'esprit des premiers chrétiens de l'Eglise primitive. Ce livre n'est pas seulement un poignant témoignage. C'est aussi le regard attentif, privilégié et, souvent, plein d'humour d'un homme - qui est de surcroît un merveilleux conteur - sur la vie sociale de la Haute-Normandie profonde.
Il jette sur cette province une lumière différente de celle de Maupassant, d'une acuité et d'une pénétration qu'il ne sera plus possible d'oublier.
Ce livre est son témoignage. Bernard Alexandre, inlassablement, a tenté de faire "entendre" à ses paroissiens la parole du Christ. Ceux-ci n'ont cessé d'opposer à leur curé une résistance souveraine. .. "Eglisiers", les Cauchois ne demandent guère plus à leur curé que d'être un bon sacristain ; eux, s'accrochent de toutes leurs forces à leurs traditions : "A toujou été comm'cha..." Est-ce parce qu'ils savent inconsciemment que ces traditions qui plongent leurs racines dans des rites païens ont, en eux, des résonances essentielles ? Que leur sagesse consiste, comme tant de sociétés traditionnelles, à refuser de se poser des questions sur le plan du sacré, de crainte de ne pas leur trouver de réponse ? De crainte, surtout, de perdre leur foi et que ne s'écroule un édifice religieux et, avec lui, l'ensemble de la société auxquels leur destin est lié ? Bernard Alexandre sait qu'il ne sera pas remplacé faute de vocations sacerdotales assez nombreuses.
Il assiste au déclin de l'Eglise traditionnelle ; il espère de tout son coeur en une nouvelle Eglise plus restreinte, mais combattante, s'appuyant sur des laïcs responsables, agissant dans l'esprit des premiers chrétiens de l'Eglise primitive. Ce livre n'est pas seulement un poignant témoignage. C'est aussi le regard attentif, privilégié et, souvent, plein d'humour d'un homme - qui est de surcroît un merveilleux conteur - sur la vie sociale de la Haute-Normandie profonde.
Il jette sur cette province une lumière différente de celle de Maupassant, d'une acuité et d'une pénétration qu'il ne sera plus possible d'oublier.
Le témoignage poignant et plein d'humour d'un curé - qui est de surcroît un merveilleux conteur - sur la vie sociale de la Haute-Normandie profonde.
Qui nous baptisera ? Qui nous mariera ? Qui nous enterrera donc demain ? Les derniers curés vont disparaître dans les campagnes... "Métier d'curé, métier foutu !" comme l'annonçait déjà rudement un berger cauchois au jeune abbé Bernard Alexandre qui allait rejoindre sa première paroisse - qu'il ne devait plus quitter depuis : Vattetot-sous-Beaumont.
Ce livre est son témoignage. Bernard Alexandre, inlassablement, a tenté de faire "entendre" à ses paroissiens la parole du Christ. Ceux-ci n'ont cessé d'opposer à leur curé une résistance souveraine. .. "Eglisiers", les Cauchois ne demandent guère plus à leur curé que d'être un bon sacristain ; eux, s'accrochent de toutes leurs forces à leurs traditions : "A toujou été comm'cha..." Est-ce parce qu'ils savent inconsciemment que ces traditions qui plongent leurs racines dans des rites païens ont, en eux, des résonances essentielles ? Que leur sagesse consiste, comme tant de sociétés traditionnelles, à refuser de se poser des questions sur le plan du sacré, de crainte de ne pas leur trouver de réponse ? De crainte, surtout, de perdre leur foi et que ne s'écroule un édifice religieux et, avec lui, l'ensemble de la société auxquels leur destin est lié ? Bernard Alexandre sait qu'il ne sera pas remplacé faute de vocations sacerdotales assez nombreuses.
Il assiste au déclin de l'Eglise traditionnelle ; il espère de tout son coeur en une nouvelle Eglise plus restreinte, mais combattante, s'appuyant sur des laïcs responsables, agissant dans l'esprit des premiers chrétiens de l'Eglise primitive. Ce livre n'est pas seulement un poignant témoignage. C'est aussi le regard attentif, privilégié et, souvent, plein d'humour d'un homme - qui est de surcroît un merveilleux conteur - sur la vie sociale de la Haute-Normandie profonde.
Il jette sur cette province une lumière différente de celle de Maupassant, d'une acuité et d'une pénétration qu'il ne sera plus possible d'oublier.
Ce livre est son témoignage. Bernard Alexandre, inlassablement, a tenté de faire "entendre" à ses paroissiens la parole du Christ. Ceux-ci n'ont cessé d'opposer à leur curé une résistance souveraine. .. "Eglisiers", les Cauchois ne demandent guère plus à leur curé que d'être un bon sacristain ; eux, s'accrochent de toutes leurs forces à leurs traditions : "A toujou été comm'cha..." Est-ce parce qu'ils savent inconsciemment que ces traditions qui plongent leurs racines dans des rites païens ont, en eux, des résonances essentielles ? Que leur sagesse consiste, comme tant de sociétés traditionnelles, à refuser de se poser des questions sur le plan du sacré, de crainte de ne pas leur trouver de réponse ? De crainte, surtout, de perdre leur foi et que ne s'écroule un édifice religieux et, avec lui, l'ensemble de la société auxquels leur destin est lié ? Bernard Alexandre sait qu'il ne sera pas remplacé faute de vocations sacerdotales assez nombreuses.
Il assiste au déclin de l'Eglise traditionnelle ; il espère de tout son coeur en une nouvelle Eglise plus restreinte, mais combattante, s'appuyant sur des laïcs responsables, agissant dans l'esprit des premiers chrétiens de l'Eglise primitive. Ce livre n'est pas seulement un poignant témoignage. C'est aussi le regard attentif, privilégié et, souvent, plein d'humour d'un homme - qui est de surcroît un merveilleux conteur - sur la vie sociale de la Haute-Normandie profonde.
Il jette sur cette province une lumière différente de celle de Maupassant, d'une acuité et d'une pénétration qu'il ne sera plus possible d'oublier.
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