Le Grand Refus. Réflexions sur la grève de décembre 1995
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- Nombre de pages324
- FormatePub
- ISBN978-2-213-66993-9
- EAN9782213669939
- Date de parution01/04/2014
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille699 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFayard
Résumé
Les mutations économiques menacent les avantages et les garanties qu'avaient obtenus les salariés des pays industriels. Quel modèle social, quelle action politique opposer à la montée du chômage et de la précarité, au recul de la protection sociale? La Grande-Bretagne a choisi le libéralisme brutal, mais l'Allemagne a maintenu son économie sociale de marché; ses entreprises et ses syndicats continuent à négocier.
Et la France? Depuis plus de vingt ans, elle tient deux discours opposés: pro-européenne, elle accepte la libération de son économie; attachée au rôle intégrateur de l'Etat national, elle refuse, à intervalles de plus en plus rapprochés, une évolution qu'elle ne sait ni prévoir ni négocier. Notre pays, en 1995, a connu sa plus grave crise sociale depuis un quart de siècle. Comme les autres avant elle, celle-ci restera-t-elle sans lendemain, la route suivie depuis des années conduira-t-elle sans changement à la monnaie unique ou...
à la prochaine crise? La France ne trouvera-t-elle pas le moyen de sortir de la contradiction entre l'indispensable ouverture de son économie et la nécessaire défense de ses citoyens contre l'inégalité et l'exclusion?A. T.
Et la France? Depuis plus de vingt ans, elle tient deux discours opposés: pro-européenne, elle accepte la libération de son économie; attachée au rôle intégrateur de l'Etat national, elle refuse, à intervalles de plus en plus rapprochés, une évolution qu'elle ne sait ni prévoir ni négocier. Notre pays, en 1995, a connu sa plus grave crise sociale depuis un quart de siècle. Comme les autres avant elle, celle-ci restera-t-elle sans lendemain, la route suivie depuis des années conduira-t-elle sans changement à la monnaie unique ou...
à la prochaine crise? La France ne trouvera-t-elle pas le moyen de sortir de la contradiction entre l'indispensable ouverture de son économie et la nécessaire défense de ses citoyens contre l'inégalité et l'exclusion?A. T.
Les mutations économiques menacent les avantages et les garanties qu'avaient obtenus les salariés des pays industriels. Quel modèle social, quelle action politique opposer à la montée du chômage et de la précarité, au recul de la protection sociale? La Grande-Bretagne a choisi le libéralisme brutal, mais l'Allemagne a maintenu son économie sociale de marché; ses entreprises et ses syndicats continuent à négocier.
Et la France? Depuis plus de vingt ans, elle tient deux discours opposés: pro-européenne, elle accepte la libération de son économie; attachée au rôle intégrateur de l'Etat national, elle refuse, à intervalles de plus en plus rapprochés, une évolution qu'elle ne sait ni prévoir ni négocier. Notre pays, en 1995, a connu sa plus grave crise sociale depuis un quart de siècle. Comme les autres avant elle, celle-ci restera-t-elle sans lendemain, la route suivie depuis des années conduira-t-elle sans changement à la monnaie unique ou...
à la prochaine crise? La France ne trouvera-t-elle pas le moyen de sortir de la contradiction entre l'indispensable ouverture de son économie et la nécessaire défense de ses citoyens contre l'inégalité et l'exclusion?A. T.
Et la France? Depuis plus de vingt ans, elle tient deux discours opposés: pro-européenne, elle accepte la libération de son économie; attachée au rôle intégrateur de l'Etat national, elle refuse, à intervalles de plus en plus rapprochés, une évolution qu'elle ne sait ni prévoir ni négocier. Notre pays, en 1995, a connu sa plus grave crise sociale depuis un quart de siècle. Comme les autres avant elle, celle-ci restera-t-elle sans lendemain, la route suivie depuis des années conduira-t-elle sans changement à la monnaie unique ou...
à la prochaine crise? La France ne trouvera-t-elle pas le moyen de sortir de la contradiction entre l'indispensable ouverture de son économie et la nécessaire défense de ses citoyens contre l'inégalité et l'exclusion?A. T.

















