Le grand déclassement. Survivre après 50 ans sur le marché du travail
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- Nombre de pages216
- FormatePub
- ISBN978-2-268-11158-2
- EAN9782268111582
- Date de parution15/01/2025
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille839 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurEditions du Rocher
Résumé
« 175 candidatures, 5 réponses, 3 entretiens » ; « La reconversion, le parcours du combattant » ; « Me dégoûter pour que je parte »... Dans une société française vouée au jeunisme, les portes de l'emploi semblent visiblement fermées aux plus de 50 ans. Victimes de préjugés tenaces, on les pense moins investis, moins productifs, trop chers, plus difficiles à manager ou incapables de s'adapter aux transformations de l'environnement professionnel...
Et les seniors, malgré les dispositifs successifs destinés à améliorer leur taux d'emploi, restent souvent sur le carreau. À l'orée de la dernière réforme des retraites combinée à celle de l'assurance chômage, retrouver un emploi quand on a plus de 50 ans s'apparente davantage au franchissement d'obstacles qu'à un aboutissement de carrière épanoui. Certains d'entre eux - hommes et femmes, cadres et employés de l'industrie, des services, en province et dans la région parisienne - ont accepté ici de partager leur expérience.
Complétant ces témoignages par le regard de professionnels du secteur - APEC, France Travail, DRH, syndicalistes... -, l'auteur ouvre de nouvelles perspectives de réflexion et d'action, s'appuyant sur l'exemple de nos voisins européens qui ont su préserver cette culture des plus de 50 ans au travail, pour que les seniors ne soient plus les victimes de ce grand déclassement. Florence de Goldfiem a été journaliste économique pendant vingt ans pour Les Échos, Le Monde et Le Parisien.
Ancienne vice-présidente en charge de la communication du groupe Renault, elle est depuis 2020 indépendante et contribue régulièrement à L'Express.
Et les seniors, malgré les dispositifs successifs destinés à améliorer leur taux d'emploi, restent souvent sur le carreau. À l'orée de la dernière réforme des retraites combinée à celle de l'assurance chômage, retrouver un emploi quand on a plus de 50 ans s'apparente davantage au franchissement d'obstacles qu'à un aboutissement de carrière épanoui. Certains d'entre eux - hommes et femmes, cadres et employés de l'industrie, des services, en province et dans la région parisienne - ont accepté ici de partager leur expérience.
Complétant ces témoignages par le regard de professionnels du secteur - APEC, France Travail, DRH, syndicalistes... -, l'auteur ouvre de nouvelles perspectives de réflexion et d'action, s'appuyant sur l'exemple de nos voisins européens qui ont su préserver cette culture des plus de 50 ans au travail, pour que les seniors ne soient plus les victimes de ce grand déclassement. Florence de Goldfiem a été journaliste économique pendant vingt ans pour Les Échos, Le Monde et Le Parisien.
Ancienne vice-présidente en charge de la communication du groupe Renault, elle est depuis 2020 indépendante et contribue régulièrement à L'Express.
« 175 candidatures, 5 réponses, 3 entretiens » ; « La reconversion, le parcours du combattant » ; « Me dégoûter pour que je parte »... Dans une société française vouée au jeunisme, les portes de l'emploi semblent visiblement fermées aux plus de 50 ans. Victimes de préjugés tenaces, on les pense moins investis, moins productifs, trop chers, plus difficiles à manager ou incapables de s'adapter aux transformations de l'environnement professionnel...
Et les seniors, malgré les dispositifs successifs destinés à améliorer leur taux d'emploi, restent souvent sur le carreau. À l'orée de la dernière réforme des retraites combinée à celle de l'assurance chômage, retrouver un emploi quand on a plus de 50 ans s'apparente davantage au franchissement d'obstacles qu'à un aboutissement de carrière épanoui. Certains d'entre eux - hommes et femmes, cadres et employés de l'industrie, des services, en province et dans la région parisienne - ont accepté ici de partager leur expérience.
Complétant ces témoignages par le regard de professionnels du secteur - APEC, France Travail, DRH, syndicalistes... -, l'auteur ouvre de nouvelles perspectives de réflexion et d'action, s'appuyant sur l'exemple de nos voisins européens qui ont su préserver cette culture des plus de 50 ans au travail, pour que les seniors ne soient plus les victimes de ce grand déclassement. Florence de Goldfiem a été journaliste économique pendant vingt ans pour Les Échos, Le Monde et Le Parisien.
Ancienne vice-présidente en charge de la communication du groupe Renault, elle est depuis 2020 indépendante et contribue régulièrement à L'Express.
Et les seniors, malgré les dispositifs successifs destinés à améliorer leur taux d'emploi, restent souvent sur le carreau. À l'orée de la dernière réforme des retraites combinée à celle de l'assurance chômage, retrouver un emploi quand on a plus de 50 ans s'apparente davantage au franchissement d'obstacles qu'à un aboutissement de carrière épanoui. Certains d'entre eux - hommes et femmes, cadres et employés de l'industrie, des services, en province et dans la région parisienne - ont accepté ici de partager leur expérience.
Complétant ces témoignages par le regard de professionnels du secteur - APEC, France Travail, DRH, syndicalistes... -, l'auteur ouvre de nouvelles perspectives de réflexion et d'action, s'appuyant sur l'exemple de nos voisins européens qui ont su préserver cette culture des plus de 50 ans au travail, pour que les seniors ne soient plus les victimes de ce grand déclassement. Florence de Goldfiem a été journaliste économique pendant vingt ans pour Les Échos, Le Monde et Le Parisien.
Ancienne vice-présidente en charge de la communication du groupe Renault, elle est depuis 2020 indépendante et contribue régulièrement à L'Express.