Le grand débord
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- Nombre de pages140
- FormatePub
- ISBN2-402-14001-1
- EAN9782402140010
- Date de parution31/12/1990
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille553 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Miro...
Résumé
Taillé à coups de mots vifs et bruts, hymne aux forces cachées de la Nature et des Eaux, ce roman exalte la vie semi-animale, instinctive et superstitieuse des frustes habitants des Moëres en un passé indéfini et dans un décor de zones marécageuses et mythiques qui servent de toile de fond à ce drame lyrique. « Le pays des polders, là-haut dans le Nord, c'est un vide, un creux, encore vierge et brut.
C'est un tremplin où le vent de la mer s'élance comme un boulet de canon. C'est comme qui dirait, une grande terre plate, découpée au couteau par l'entrecroisement des canaux. D'en haut, ça ressemble à l'étoffe étalée d'un habit d'arlequin recousu à grands points. On croirait qu'un filet argenté a cinglé le paysage et s'y est incrusté à jamais pour former un grand vitrail qui emprisonne les couleurs des cultures, des carrés d'hortillon, des habitations et les reflets ondoyants des Clairs. » « Dans ces hameaux isolés au creux des Moëres, la vie n'est sensible qu'à la rotation des saisons, aux différentes couleurs et odeurs qui ressortent des eaux. »
C'est un tremplin où le vent de la mer s'élance comme un boulet de canon. C'est comme qui dirait, une grande terre plate, découpée au couteau par l'entrecroisement des canaux. D'en haut, ça ressemble à l'étoffe étalée d'un habit d'arlequin recousu à grands points. On croirait qu'un filet argenté a cinglé le paysage et s'y est incrusté à jamais pour former un grand vitrail qui emprisonne les couleurs des cultures, des carrés d'hortillon, des habitations et les reflets ondoyants des Clairs. » « Dans ces hameaux isolés au creux des Moëres, la vie n'est sensible qu'à la rotation des saisons, aux différentes couleurs et odeurs qui ressortent des eaux. »
Taillé à coups de mots vifs et bruts, hymne aux forces cachées de la Nature et des Eaux, ce roman exalte la vie semi-animale, instinctive et superstitieuse des frustes habitants des Moëres en un passé indéfini et dans un décor de zones marécageuses et mythiques qui servent de toile de fond à ce drame lyrique. « Le pays des polders, là-haut dans le Nord, c'est un vide, un creux, encore vierge et brut.
C'est un tremplin où le vent de la mer s'élance comme un boulet de canon. C'est comme qui dirait, une grande terre plate, découpée au couteau par l'entrecroisement des canaux. D'en haut, ça ressemble à l'étoffe étalée d'un habit d'arlequin recousu à grands points. On croirait qu'un filet argenté a cinglé le paysage et s'y est incrusté à jamais pour former un grand vitrail qui emprisonne les couleurs des cultures, des carrés d'hortillon, des habitations et les reflets ondoyants des Clairs. » « Dans ces hameaux isolés au creux des Moëres, la vie n'est sensible qu'à la rotation des saisons, aux différentes couleurs et odeurs qui ressortent des eaux. »
C'est un tremplin où le vent de la mer s'élance comme un boulet de canon. C'est comme qui dirait, une grande terre plate, découpée au couteau par l'entrecroisement des canaux. D'en haut, ça ressemble à l'étoffe étalée d'un habit d'arlequin recousu à grands points. On croirait qu'un filet argenté a cinglé le paysage et s'y est incrusté à jamais pour former un grand vitrail qui emprisonne les couleurs des cultures, des carrés d'hortillon, des habitations et les reflets ondoyants des Clairs. » « Dans ces hameaux isolés au creux des Moëres, la vie n'est sensible qu'à la rotation des saisons, aux différentes couleurs et odeurs qui ressortent des eaux. »








