Le Garde-fou. Un journal extime
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- FormatMulti-format
- ISBN978-2-8145-0764-7
- EAN9782814507647
- Date de parution02/12/2013
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub sans protection, Mobipocket sans protection et Accès streaming
- ÉditeurPublie.net
Résumé
Le Garde-fou abrite, accueille, récupère ceux qui ont tous un point commun : ne pas - ou ne plus - être capable de vivre facilement dans le monde extérieur. C'est un endroit à part, avec ses règles, ses contraintes, ses occupants.
On n'y entre pas simplement, et une fois à l'intérieur, on n'est pas sauvé pour autant. Ceux qui sont là savent qu'ils devront repartir. Ils le désirent, le craignent, et parfois les deux à la fois.
Ils vivent sans parachute. Une femme, la narratrice, y écrit chaque jour une sorte de journal de bord, caméra embarquée dans son crâne. Chaque jour est nommé, nom qui constate, ou qui prête à sourire. Au fil des jours, à ses côtés, on investit le lieu. À l'intérieur du Garde-fou, il y a de l'équilibre instable, un tigre, une gazelle, une infirmière bougon et une poupée tombée dans l'escalier.
Une télévision, des cigarettes, des pigeons et des danseurs que l'on réprime. Des questions et des médicaments à prendre. Des taches de Rorschach joyeuses ou inquiétantes. Des accumulations et du manque de sommeil. Du tumulte derrière les portes des chambres fermées. Mais l'écriture les ouvre. Ceux qui auront lu (Lien -> https://twitter.com/Limparfait). Christine Jeanney
Ils vivent sans parachute. Une femme, la narratrice, y écrit chaque jour une sorte de journal de bord, caméra embarquée dans son crâne. Chaque jour est nommé, nom qui constate, ou qui prête à sourire. Au fil des jours, à ses côtés, on investit le lieu. À l'intérieur du Garde-fou, il y a de l'équilibre instable, un tigre, une gazelle, une infirmière bougon et une poupée tombée dans l'escalier.
Une télévision, des cigarettes, des pigeons et des danseurs que l'on réprime. Des questions et des médicaments à prendre. Des taches de Rorschach joyeuses ou inquiétantes. Des accumulations et du manque de sommeil. Du tumulte derrière les portes des chambres fermées. Mais l'écriture les ouvre. Ceux qui auront lu (Lien -> https://twitter.com/Limparfait). Christine Jeanney
Le Garde-fou abrite, accueille, récupère ceux qui ont tous un point commun : ne pas - ou ne plus - être capable de vivre facilement dans le monde extérieur. C'est un endroit à part, avec ses règles, ses contraintes, ses occupants.
On n'y entre pas simplement, et une fois à l'intérieur, on n'est pas sauvé pour autant. Ceux qui sont là savent qu'ils devront repartir. Ils le désirent, le craignent, et parfois les deux à la fois.
Ils vivent sans parachute. Une femme, la narratrice, y écrit chaque jour une sorte de journal de bord, caméra embarquée dans son crâne. Chaque jour est nommé, nom qui constate, ou qui prête à sourire. Au fil des jours, à ses côtés, on investit le lieu. À l'intérieur du Garde-fou, il y a de l'équilibre instable, un tigre, une gazelle, une infirmière bougon et une poupée tombée dans l'escalier.
Une télévision, des cigarettes, des pigeons et des danseurs que l'on réprime. Des questions et des médicaments à prendre. Des taches de Rorschach joyeuses ou inquiétantes. Des accumulations et du manque de sommeil. Du tumulte derrière les portes des chambres fermées. Mais l'écriture les ouvre. Ceux qui auront lu (Lien -> https://twitter.com/Limparfait). Christine Jeanney
Ils vivent sans parachute. Une femme, la narratrice, y écrit chaque jour une sorte de journal de bord, caméra embarquée dans son crâne. Chaque jour est nommé, nom qui constate, ou qui prête à sourire. Au fil des jours, à ses côtés, on investit le lieu. À l'intérieur du Garde-fou, il y a de l'équilibre instable, un tigre, une gazelle, une infirmière bougon et une poupée tombée dans l'escalier.
Une télévision, des cigarettes, des pigeons et des danseurs que l'on réprime. Des questions et des médicaments à prendre. Des taches de Rorschach joyeuses ou inquiétantes. Des accumulations et du manque de sommeil. Du tumulte derrière les portes des chambres fermées. Mais l'écriture les ouvre. Ceux qui auront lu (Lien -> https://twitter.com/Limparfait). Christine Jeanney