Le gai savoir de Nietzsche. Une manière divine de penser

Par : Olivier Ponton

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages398
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-271-11937-7
  • EAN9782271119377
  • Date de parution15/03/2018
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille4 Mo
  • ÉditeurCNRS EDITIONS

Résumé

1882 Nietzsche publie Le Gai savoir, un texte joyeux, ironique. Après Choses humaines, trop humaines et Aurore, c'est l'oeuvre d'un convalescent qui retrouve toutes ses forces. Il suffit de lire le titre du prologue : " Plaisanterie, ruse et vengeance ", ou celui de l'appendice : " Chanson du prince Hors-la-loi ". 1882 Nietzsche publie Le Gai savoir, un texte joyeux, ironique. Après Choses humaines, trop humaines et Aurore, c'est l'oeuvre d'un convalescent qui retrouve toutes ses forces.
Il suffit de lire le titre du prologue : " Plaisanterie, ruse et vengeance ", ou celui de l'appendice : " Chanson du prince Hors-la-loi ". C'est dans ce livre de la maturité que sont " lancées " la mort de Dieu (aphorisme 125) et l'éternel retour (aphorisme 341), deux pensées des plus importantes et des plus énigmatiques auxquelles le nom de Nietzsche demeure attaché. Si Dieu est mort, et qu'on ne croit plus en lui, pourquoi faut-il encore l'annoncer à des incroyants ? Si je dois revivre ma vie éternellement à l'identique, est-ce avec le souvenir de l'avoir déjà vécue ? Et quelle différence, si je la revis ? Ce livre tente de comprendre la logique et la fonction de ces deux pensées.
Convoquant d'autres auteurs (Pascal, Freud, Foucault, Bourdieu, Castoriadis, Jankélévitch) pour mieux éclairer l'expérience que Nietzsche s'efforce également de susciter en nous, Olivier Ponton reconstitue la cohérence si singulière du Gai savoir, ce chef-d'oeuvre d'écriture aphoristique. Est ainsi mise en lumière une conception originale de la pensée, dont le pouvoir, moins théorique que pratique, est d'abord un pouvoir d'institution : institution du sens et de la valeur de la vie.
1882 Nietzsche publie Le Gai savoir, un texte joyeux, ironique. Après Choses humaines, trop humaines et Aurore, c'est l'oeuvre d'un convalescent qui retrouve toutes ses forces. Il suffit de lire le titre du prologue : " Plaisanterie, ruse et vengeance ", ou celui de l'appendice : " Chanson du prince Hors-la-loi ". 1882 Nietzsche publie Le Gai savoir, un texte joyeux, ironique. Après Choses humaines, trop humaines et Aurore, c'est l'oeuvre d'un convalescent qui retrouve toutes ses forces.
Il suffit de lire le titre du prologue : " Plaisanterie, ruse et vengeance ", ou celui de l'appendice : " Chanson du prince Hors-la-loi ". C'est dans ce livre de la maturité que sont " lancées " la mort de Dieu (aphorisme 125) et l'éternel retour (aphorisme 341), deux pensées des plus importantes et des plus énigmatiques auxquelles le nom de Nietzsche demeure attaché. Si Dieu est mort, et qu'on ne croit plus en lui, pourquoi faut-il encore l'annoncer à des incroyants ? Si je dois revivre ma vie éternellement à l'identique, est-ce avec le souvenir de l'avoir déjà vécue ? Et quelle différence, si je la revis ? Ce livre tente de comprendre la logique et la fonction de ces deux pensées.
Convoquant d'autres auteurs (Pascal, Freud, Foucault, Bourdieu, Castoriadis, Jankélévitch) pour mieux éclairer l'expérience que Nietzsche s'efforce également de susciter en nous, Olivier Ponton reconstitue la cohérence si singulière du Gai savoir, ce chef-d'oeuvre d'écriture aphoristique. Est ainsi mise en lumière une conception originale de la pensée, dont le pouvoir, moins théorique que pratique, est d'abord un pouvoir d'institution : institution du sens et de la valeur de la vie.