Le flux et le fixe. Peinture et musique
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- Nombre de pages232
- FormatePub
- ISBN978-2-213-66971-7
- EAN9782213669717
- Date de parution11/04/2012
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille762 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFayard
Résumé
On peut entendre une couleur de bonheur : l'oreille voit, pense dans la peinture. On peut voir le grincement de l'angoisse : l'oil entend, pense dans la musique. Un son peut suggérer une couleur, pendant qu'une couleur peut suggérer un son. Le temps musical est visible, l'espace pictural audible : c'est en ce qui les désaccorde que musique et peinture s'interpénètrent. Fusions et correspondances, analogies ou disparités, sont étroites entre ces deux activités, la musique et la peinture, qui du fond des âges furent intimement liées à la vie des hommes.
En inversant les principes traditionnels - musique, art du temps ; peinture, art de l'espace - Jean-Noël von der Weid incite à un doute fécond. Il nous fait découvrir que les sens pensent. Pour nous, regardeur et auditeur transformés, voir et écouter ainsi cela signifie penser autrement, percevoir autrement : nos sens buissonniers, oil, oreille, éclatés et indivis, forment moins une association qu'une intrication.
En commentant de nombreuses ouvres picturales et musicales (de Véronèse à Klee en passant par Corot et Picasso ; de Monteverdi à Schoenberg), Jean-Noël von der Weid met au jour ces correspondances.
En inversant les principes traditionnels - musique, art du temps ; peinture, art de l'espace - Jean-Noël von der Weid incite à un doute fécond. Il nous fait découvrir que les sens pensent. Pour nous, regardeur et auditeur transformés, voir et écouter ainsi cela signifie penser autrement, percevoir autrement : nos sens buissonniers, oil, oreille, éclatés et indivis, forment moins une association qu'une intrication.
En commentant de nombreuses ouvres picturales et musicales (de Véronèse à Klee en passant par Corot et Picasso ; de Monteverdi à Schoenberg), Jean-Noël von der Weid met au jour ces correspondances.
On peut entendre une couleur de bonheur : l'oreille voit, pense dans la peinture. On peut voir le grincement de l'angoisse : l'oil entend, pense dans la musique. Un son peut suggérer une couleur, pendant qu'une couleur peut suggérer un son. Le temps musical est visible, l'espace pictural audible : c'est en ce qui les désaccorde que musique et peinture s'interpénètrent. Fusions et correspondances, analogies ou disparités, sont étroites entre ces deux activités, la musique et la peinture, qui du fond des âges furent intimement liées à la vie des hommes.
En inversant les principes traditionnels - musique, art du temps ; peinture, art de l'espace - Jean-Noël von der Weid incite à un doute fécond. Il nous fait découvrir que les sens pensent. Pour nous, regardeur et auditeur transformés, voir et écouter ainsi cela signifie penser autrement, percevoir autrement : nos sens buissonniers, oil, oreille, éclatés et indivis, forment moins une association qu'une intrication.
En commentant de nombreuses ouvres picturales et musicales (de Véronèse à Klee en passant par Corot et Picasso ; de Monteverdi à Schoenberg), Jean-Noël von der Weid met au jour ces correspondances.
En inversant les principes traditionnels - musique, art du temps ; peinture, art de l'espace - Jean-Noël von der Weid incite à un doute fécond. Il nous fait découvrir que les sens pensent. Pour nous, regardeur et auditeur transformés, voir et écouter ainsi cela signifie penser autrement, percevoir autrement : nos sens buissonniers, oil, oreille, éclatés et indivis, forment moins une association qu'une intrication.
En commentant de nombreuses ouvres picturales et musicales (de Véronèse à Klee en passant par Corot et Picasso ; de Monteverdi à Schoenberg), Jean-Noël von der Weid met au jour ces correspondances.