Le Droit de mentir
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- Nombre de pages96
- FormatePub
- ISBN2-7555-0150-2
- EAN9782755501506
- Date de parution03/09/2003
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.NC
- ÉditeurFayard/Mille et une nuits
Résumé
« Le principe moral que dire la vérité est un devoir, s'il était pris d'une manière absolue et isolée, rendrait toute société impossible. Nous en avons la preuve dans les conséquences directes qu'a tirées de ce premier principe un philosophe allemand, qui va jusqu'à prétendre qu'envers des assassins qui vous demanderaient si votre ami qu'ils poursuivent n'est pas réfugié dans votre maison, le mensonge serait un crime.
»En 1796, Benjamin Constant, ami de Mme de Staël entré en politique et lecteur attentif de Kant, s'en prend au caractère inconditionnel du devoir que pose le philosophe de Königsberg. ll se trouve que celui-ci prend connaissance de sa critique et lui répond l'année suivante par un opuscule, Sur un prétendu droit de mentir. Ainsi naît la célèbre controverse, dont les textes sont ici rassemblés.
»En 1796, Benjamin Constant, ami de Mme de Staël entré en politique et lecteur attentif de Kant, s'en prend au caractère inconditionnel du devoir que pose le philosophe de Königsberg. ll se trouve que celui-ci prend connaissance de sa critique et lui répond l'année suivante par un opuscule, Sur un prétendu droit de mentir. Ainsi naît la célèbre controverse, dont les textes sont ici rassemblés.
« Le principe moral que dire la vérité est un devoir, s'il était pris d'une manière absolue et isolée, rendrait toute société impossible. Nous en avons la preuve dans les conséquences directes qu'a tirées de ce premier principe un philosophe allemand, qui va jusqu'à prétendre qu'envers des assassins qui vous demanderaient si votre ami qu'ils poursuivent n'est pas réfugié dans votre maison, le mensonge serait un crime.
»En 1796, Benjamin Constant, ami de Mme de Staël entré en politique et lecteur attentif de Kant, s'en prend au caractère inconditionnel du devoir que pose le philosophe de Königsberg. ll se trouve que celui-ci prend connaissance de sa critique et lui répond l'année suivante par un opuscule, Sur un prétendu droit de mentir. Ainsi naît la célèbre controverse, dont les textes sont ici rassemblés.
»En 1796, Benjamin Constant, ami de Mme de Staël entré en politique et lecteur attentif de Kant, s'en prend au caractère inconditionnel du devoir que pose le philosophe de Königsberg. ll se trouve que celui-ci prend connaissance de sa critique et lui répond l'année suivante par un opuscule, Sur un prétendu droit de mentir. Ainsi naît la célèbre controverse, dont les textes sont ici rassemblés.