Le drame démocratique africain sur scène en Côte d'Ivoire
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- Nombre de pages288
- FormatPDF
- ISBN2-296-35636-2
- EAN9782296356368
- Date de parution01/01/1999
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille32 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Ce livre de sociologie politique appréhende la démocratie sur la scène africaine comme un drame, c'est-à-dire un tout polémique représentant la lutte d'acteurs politiques et sociaux pour le contrôle du changement. S'il considère la crise, les déséquilibres sociaux, les "facteurs" comme faisant partie des ressorts sociaux du processus démocratique, il insiste davantage sur l'activité tactique des protagonistes et sur les logiques de situation dans lesquelles ils sont engagés.
Observant plus particulièrement la scène de Côte d'Ivoire depuis 1990, l'auteur fait une analyse de la mobilisation politique.
Il décrypte les stratégies et les tactiques du PDCI d'Houphouet-Boigny et de Bédié et des partis de l'opposition, massivement implantés (FPI, RDR) ou ultraminoritaires, lorsqu'ils interviennent ou s'affrontent après la rupture du consensus et l'ouverture de l'après-Houphouet avec la bataille pour la succession et l'héritage. Il montre en quoi les conflits autour de la légalité constitutionnelle, des élections, des réformes, mais aussi les négociations ainsi que l'action et la réaction de la société civile (médias, universités, organisations syndicales et humanitaires) participent à la mise en scène de relations qui servent d'accélérateurs ou de freins au projet démocratique.
Il soutient en dernière analyse que la démocratie est toujours le produit du travail conflictuel des hommes, le résultat de leurs rapports sociaux, de leurs luttes et de leurs décisions ou transactions ; elle naît de l'appel à des principes éthiques (liberté, justice) et s'épanouit dans et par l'Etat de droit, la bonne gouvernance et le respect des droits humains.
Il décrypte les stratégies et les tactiques du PDCI d'Houphouet-Boigny et de Bédié et des partis de l'opposition, massivement implantés (FPI, RDR) ou ultraminoritaires, lorsqu'ils interviennent ou s'affrontent après la rupture du consensus et l'ouverture de l'après-Houphouet avec la bataille pour la succession et l'héritage. Il montre en quoi les conflits autour de la légalité constitutionnelle, des élections, des réformes, mais aussi les négociations ainsi que l'action et la réaction de la société civile (médias, universités, organisations syndicales et humanitaires) participent à la mise en scène de relations qui servent d'accélérateurs ou de freins au projet démocratique.
Il soutient en dernière analyse que la démocratie est toujours le produit du travail conflictuel des hommes, le résultat de leurs rapports sociaux, de leurs luttes et de leurs décisions ou transactions ; elle naît de l'appel à des principes éthiques (liberté, justice) et s'épanouit dans et par l'Etat de droit, la bonne gouvernance et le respect des droits humains.
Ce livre de sociologie politique appréhende la démocratie sur la scène africaine comme un drame, c'est-à-dire un tout polémique représentant la lutte d'acteurs politiques et sociaux pour le contrôle du changement. S'il considère la crise, les déséquilibres sociaux, les "facteurs" comme faisant partie des ressorts sociaux du processus démocratique, il insiste davantage sur l'activité tactique des protagonistes et sur les logiques de situation dans lesquelles ils sont engagés.
Observant plus particulièrement la scène de Côte d'Ivoire depuis 1990, l'auteur fait une analyse de la mobilisation politique.
Il décrypte les stratégies et les tactiques du PDCI d'Houphouet-Boigny et de Bédié et des partis de l'opposition, massivement implantés (FPI, RDR) ou ultraminoritaires, lorsqu'ils interviennent ou s'affrontent après la rupture du consensus et l'ouverture de l'après-Houphouet avec la bataille pour la succession et l'héritage. Il montre en quoi les conflits autour de la légalité constitutionnelle, des élections, des réformes, mais aussi les négociations ainsi que l'action et la réaction de la société civile (médias, universités, organisations syndicales et humanitaires) participent à la mise en scène de relations qui servent d'accélérateurs ou de freins au projet démocratique.
Il soutient en dernière analyse que la démocratie est toujours le produit du travail conflictuel des hommes, le résultat de leurs rapports sociaux, de leurs luttes et de leurs décisions ou transactions ; elle naît de l'appel à des principes éthiques (liberté, justice) et s'épanouit dans et par l'Etat de droit, la bonne gouvernance et le respect des droits humains.
Il décrypte les stratégies et les tactiques du PDCI d'Houphouet-Boigny et de Bédié et des partis de l'opposition, massivement implantés (FPI, RDR) ou ultraminoritaires, lorsqu'ils interviennent ou s'affrontent après la rupture du consensus et l'ouverture de l'après-Houphouet avec la bataille pour la succession et l'héritage. Il montre en quoi les conflits autour de la légalité constitutionnelle, des élections, des réformes, mais aussi les négociations ainsi que l'action et la réaction de la société civile (médias, universités, organisations syndicales et humanitaires) participent à la mise en scène de relations qui servent d'accélérateurs ou de freins au projet démocratique.
Il soutient en dernière analyse que la démocratie est toujours le produit du travail conflictuel des hommes, le résultat de leurs rapports sociaux, de leurs luttes et de leurs décisions ou transactions ; elle naît de l'appel à des principes éthiques (liberté, justice) et s'épanouit dans et par l'Etat de droit, la bonne gouvernance et le respect des droits humains.