Le domaine des rois éthiopiens (1270 - 1527). Espace, pouvoir et monachisme
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- Nombre de pages383
- FormatMulti-format
- ISBN979-10-351-0204-3
- EAN9791035102043
- Date de parution31/01/2019
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurEditions de la Sorbonne
Résumé
Cet ouvrage, qui dessine une géographie historique du royaume chrétien éthiopien, retrace l'histoire de l'installation des souverains et le transfert de leur pouvoir dans deux nouvelles provinces, l'Am?ära et le Säwa, entre la fin du xiiie et le début du xvie siècle : une nouvelle dynastie y implante son domaine royal et fonde la légitimation de son pouvoir sur le contrôle des réseaux monastiques.
L'enquête, qui explore les chroniques royales, les sources hagiographiques, les récits de géographes arabes ou d'ambassades européennes, tente de démêler les étapes de l'écriture et des réécritures qui sacralisent une histoire, devenue mythe. La rencontre du monachisme et du pouvoir dans cet espace en construction est à la fois un facteur de renforcement du pouvoir royal et un facteur de fragilisation de ce même pouvoir, lorsque les moines font du martyr, idéal de sainteté, l'expression privilégiée de leur indépendance vis-à-vis du politique.
En réponse, les souverains éthiopiens superposent aux réseaux monastiques leurs propres fondations religieuses qui, étapes pour la cour, lieux de conciles et nécropoles royales, deviennent des lieux privilégiés de l'exercice du pouvoir.
L'enquête, qui explore les chroniques royales, les sources hagiographiques, les récits de géographes arabes ou d'ambassades européennes, tente de démêler les étapes de l'écriture et des réécritures qui sacralisent une histoire, devenue mythe. La rencontre du monachisme et du pouvoir dans cet espace en construction est à la fois un facteur de renforcement du pouvoir royal et un facteur de fragilisation de ce même pouvoir, lorsque les moines font du martyr, idéal de sainteté, l'expression privilégiée de leur indépendance vis-à-vis du politique.
En réponse, les souverains éthiopiens superposent aux réseaux monastiques leurs propres fondations religieuses qui, étapes pour la cour, lieux de conciles et nécropoles royales, deviennent des lieux privilégiés de l'exercice du pouvoir.
Cet ouvrage, qui dessine une géographie historique du royaume chrétien éthiopien, retrace l'histoire de l'installation des souverains et le transfert de leur pouvoir dans deux nouvelles provinces, l'Am?ära et le Säwa, entre la fin du xiiie et le début du xvie siècle : une nouvelle dynastie y implante son domaine royal et fonde la légitimation de son pouvoir sur le contrôle des réseaux monastiques.
L'enquête, qui explore les chroniques royales, les sources hagiographiques, les récits de géographes arabes ou d'ambassades européennes, tente de démêler les étapes de l'écriture et des réécritures qui sacralisent une histoire, devenue mythe. La rencontre du monachisme et du pouvoir dans cet espace en construction est à la fois un facteur de renforcement du pouvoir royal et un facteur de fragilisation de ce même pouvoir, lorsque les moines font du martyr, idéal de sainteté, l'expression privilégiée de leur indépendance vis-à-vis du politique.
En réponse, les souverains éthiopiens superposent aux réseaux monastiques leurs propres fondations religieuses qui, étapes pour la cour, lieux de conciles et nécropoles royales, deviennent des lieux privilégiés de l'exercice du pouvoir.
L'enquête, qui explore les chroniques royales, les sources hagiographiques, les récits de géographes arabes ou d'ambassades européennes, tente de démêler les étapes de l'écriture et des réécritures qui sacralisent une histoire, devenue mythe. La rencontre du monachisme et du pouvoir dans cet espace en construction est à la fois un facteur de renforcement du pouvoir royal et un facteur de fragilisation de ce même pouvoir, lorsque les moines font du martyr, idéal de sainteté, l'expression privilégiée de leur indépendance vis-à-vis du politique.
En réponse, les souverains éthiopiens superposent aux réseaux monastiques leurs propres fondations religieuses qui, étapes pour la cour, lieux de conciles et nécropoles royales, deviennent des lieux privilégiés de l'exercice du pouvoir.







