Le devoir d'influence. Manifeste pour une nouvelle communication
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- FormatePub
- ISBN978-2-7381-7523-6
- EAN9782738175236
- Date de parution03/10/2013
- Protection num.Digital Watermarking
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurOdile Jacob
Résumé
Au sein de la profession des communicants, beaucoup ne se reconnaissent plus dans les « gourous » et tous ceux qui usent de tous les ingrédients de la « com » pour tenter de faire un écran de fumée devant l'opinion. L'influence va désormais de pair avec une certaine idée du dialogue et de l'ouverture. Malgré les apparences, la société change à une vitesse extraordinaire. La circulation des idées s'accélère, les cercles où elles sont discutées s'élargissent et ceux qui peuvent y participer sont tous les jours plus nombreux.
À l'heure des réseaux sociaux où chacun peut devenir un leader d'opinion, nous sommes entrés dans l'ère de l'influence sociétale. Une époque où, sans convaincre, sans engager derrière soi ses parties prenantes, plus aucun projet ne peut voir le jour. Les entreprises, les marques et leurs dirigeants sont en train de le comprendre. Leur prospérité, leur pérennité parfois dépendent de cette capacité à emmener avec eux les consommateurs, les collaborateurs et même la société tout entière.
Ils ont un devoir d'influence. Car la société a besoin de leurs idées pour changer le monde et celles-ci ont besoin d'elle pour prospérer. Est ainsi venue l'heure de l'influence positive qui nécessite de repenser les pratiques traditionnelles de la communication et même le rôle du communicant. Nicolas Narcisse, vice-président exécutif de l'agence ELAN, est docteur en sciences de l'information et de la communication, diplômé en droit public et en science politique.
À l'heure des réseaux sociaux où chacun peut devenir un leader d'opinion, nous sommes entrés dans l'ère de l'influence sociétale. Une époque où, sans convaincre, sans engager derrière soi ses parties prenantes, plus aucun projet ne peut voir le jour. Les entreprises, les marques et leurs dirigeants sont en train de le comprendre. Leur prospérité, leur pérennité parfois dépendent de cette capacité à emmener avec eux les consommateurs, les collaborateurs et même la société tout entière.
Ils ont un devoir d'influence. Car la société a besoin de leurs idées pour changer le monde et celles-ci ont besoin d'elle pour prospérer. Est ainsi venue l'heure de l'influence positive qui nécessite de repenser les pratiques traditionnelles de la communication et même le rôle du communicant. Nicolas Narcisse, vice-président exécutif de l'agence ELAN, est docteur en sciences de l'information et de la communication, diplômé en droit public et en science politique.
Au sein de la profession des communicants, beaucoup ne se reconnaissent plus dans les « gourous » et tous ceux qui usent de tous les ingrédients de la « com » pour tenter de faire un écran de fumée devant l'opinion. L'influence va désormais de pair avec une certaine idée du dialogue et de l'ouverture. Malgré les apparences, la société change à une vitesse extraordinaire. La circulation des idées s'accélère, les cercles où elles sont discutées s'élargissent et ceux qui peuvent y participer sont tous les jours plus nombreux.
À l'heure des réseaux sociaux où chacun peut devenir un leader d'opinion, nous sommes entrés dans l'ère de l'influence sociétale. Une époque où, sans convaincre, sans engager derrière soi ses parties prenantes, plus aucun projet ne peut voir le jour. Les entreprises, les marques et leurs dirigeants sont en train de le comprendre. Leur prospérité, leur pérennité parfois dépendent de cette capacité à emmener avec eux les consommateurs, les collaborateurs et même la société tout entière.
Ils ont un devoir d'influence. Car la société a besoin de leurs idées pour changer le monde et celles-ci ont besoin d'elle pour prospérer. Est ainsi venue l'heure de l'influence positive qui nécessite de repenser les pratiques traditionnelles de la communication et même le rôle du communicant. Nicolas Narcisse, vice-président exécutif de l'agence ELAN, est docteur en sciences de l'information et de la communication, diplômé en droit public et en science politique.
À l'heure des réseaux sociaux où chacun peut devenir un leader d'opinion, nous sommes entrés dans l'ère de l'influence sociétale. Une époque où, sans convaincre, sans engager derrière soi ses parties prenantes, plus aucun projet ne peut voir le jour. Les entreprises, les marques et leurs dirigeants sont en train de le comprendre. Leur prospérité, leur pérennité parfois dépendent de cette capacité à emmener avec eux les consommateurs, les collaborateurs et même la société tout entière.
Ils ont un devoir d'influence. Car la société a besoin de leurs idées pour changer le monde et celles-ci ont besoin d'elle pour prospérer. Est ainsi venue l'heure de l'influence positive qui nécessite de repenser les pratiques traditionnelles de la communication et même le rôle du communicant. Nicolas Narcisse, vice-président exécutif de l'agence ELAN, est docteur en sciences de l'information et de la communication, diplômé en droit public et en science politique.