Le développement par l'intégration
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- Nombre de pages261
- FormatePub
- ISBN978-2-37918-368-3
- EAN9782379183683
- Date de parution01/12/2020
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille1 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurNENA
Résumé
Le contraste est terrifiant entre les pays industrialisés riches qui s'organisent en de très vastes ensembles géoéconomiques et géostratégiques dont l'enjeu est le monde et une Afrique ruinée, en faillite et disloquée en une poussière d'Etats-nains traînant des handicaps quasi-infranchissables : étroitesse des marchés, volume réduit de capitaux base insuffisante d'accumulation productive, faiblesse technologique.
Le bouleversement caractéristique de l'ordre politique et économique du monde laisse entrevoir deux tendances dominantes : l'accentuation des divergences d'intérêts entre pays industrialisés et pays en voie de développement et la marginalisation de l'Afrique condamnée à devenir la périphérie du système international. Principal architecte des deux premières rencontres des intellectuels et universitaires africains autour de la problématique de l'intégration (Colloque de Dakar en Mars 1978 et Colloque de Conakry en Avril 1980), l'auteur constate les minces résultats obtenus par les organisations intergouvemementales de coopération notamment la CEAO et la CEDEAO qui n'ont pas atteint, après deux décennies de fonctionnement, leurs objectifs en matière de politique communautaire et de promotion des échanges.
Sur cette base, il explore une nouvelle approche de création d'un véritable ordre communautaire en Afrique de l'Ouest autour de l'instauration d'une division régionale du travail à partir des dotations factorielles des nations et d'un système monétaire régional. Les politiques sectorielles découlant de cette nouvelle stratégie imposent aux Etats la renonciation à leur souveraineté en faveur de la communauté dans toutes les branches qui rythment la vie économique et financière.
Cependant, l'intégration ne sera effective et irréversible que si elle s'appuie sur des supports politiques, institutionnels et administratifs solides : une Haute Autorité intégrante dotée de très larges fonctions exécutives, une Assemblée Parlementaire qui exerce un contrôle sur l'exécution des programmes et dont les membres seraient regroupés non point par nationalité mais par famille politique régionale et une Cour Arbitrale chargée de régler tous les litiges entre Etats-membres.
Le bouleversement caractéristique de l'ordre politique et économique du monde laisse entrevoir deux tendances dominantes : l'accentuation des divergences d'intérêts entre pays industrialisés et pays en voie de développement et la marginalisation de l'Afrique condamnée à devenir la périphérie du système international. Principal architecte des deux premières rencontres des intellectuels et universitaires africains autour de la problématique de l'intégration (Colloque de Dakar en Mars 1978 et Colloque de Conakry en Avril 1980), l'auteur constate les minces résultats obtenus par les organisations intergouvemementales de coopération notamment la CEAO et la CEDEAO qui n'ont pas atteint, après deux décennies de fonctionnement, leurs objectifs en matière de politique communautaire et de promotion des échanges.
Sur cette base, il explore une nouvelle approche de création d'un véritable ordre communautaire en Afrique de l'Ouest autour de l'instauration d'une division régionale du travail à partir des dotations factorielles des nations et d'un système monétaire régional. Les politiques sectorielles découlant de cette nouvelle stratégie imposent aux Etats la renonciation à leur souveraineté en faveur de la communauté dans toutes les branches qui rythment la vie économique et financière.
Cependant, l'intégration ne sera effective et irréversible que si elle s'appuie sur des supports politiques, institutionnels et administratifs solides : une Haute Autorité intégrante dotée de très larges fonctions exécutives, une Assemblée Parlementaire qui exerce un contrôle sur l'exécution des programmes et dont les membres seraient regroupés non point par nationalité mais par famille politique régionale et une Cour Arbitrale chargée de régler tous les litiges entre Etats-membres.
Le contraste est terrifiant entre les pays industrialisés riches qui s'organisent en de très vastes ensembles géoéconomiques et géostratégiques dont l'enjeu est le monde et une Afrique ruinée, en faillite et disloquée en une poussière d'Etats-nains traînant des handicaps quasi-infranchissables : étroitesse des marchés, volume réduit de capitaux base insuffisante d'accumulation productive, faiblesse technologique.
Le bouleversement caractéristique de l'ordre politique et économique du monde laisse entrevoir deux tendances dominantes : l'accentuation des divergences d'intérêts entre pays industrialisés et pays en voie de développement et la marginalisation de l'Afrique condamnée à devenir la périphérie du système international. Principal architecte des deux premières rencontres des intellectuels et universitaires africains autour de la problématique de l'intégration (Colloque de Dakar en Mars 1978 et Colloque de Conakry en Avril 1980), l'auteur constate les minces résultats obtenus par les organisations intergouvemementales de coopération notamment la CEAO et la CEDEAO qui n'ont pas atteint, après deux décennies de fonctionnement, leurs objectifs en matière de politique communautaire et de promotion des échanges.
Sur cette base, il explore une nouvelle approche de création d'un véritable ordre communautaire en Afrique de l'Ouest autour de l'instauration d'une division régionale du travail à partir des dotations factorielles des nations et d'un système monétaire régional. Les politiques sectorielles découlant de cette nouvelle stratégie imposent aux Etats la renonciation à leur souveraineté en faveur de la communauté dans toutes les branches qui rythment la vie économique et financière.
Cependant, l'intégration ne sera effective et irréversible que si elle s'appuie sur des supports politiques, institutionnels et administratifs solides : une Haute Autorité intégrante dotée de très larges fonctions exécutives, une Assemblée Parlementaire qui exerce un contrôle sur l'exécution des programmes et dont les membres seraient regroupés non point par nationalité mais par famille politique régionale et une Cour Arbitrale chargée de régler tous les litiges entre Etats-membres.
Le bouleversement caractéristique de l'ordre politique et économique du monde laisse entrevoir deux tendances dominantes : l'accentuation des divergences d'intérêts entre pays industrialisés et pays en voie de développement et la marginalisation de l'Afrique condamnée à devenir la périphérie du système international. Principal architecte des deux premières rencontres des intellectuels et universitaires africains autour de la problématique de l'intégration (Colloque de Dakar en Mars 1978 et Colloque de Conakry en Avril 1980), l'auteur constate les minces résultats obtenus par les organisations intergouvemementales de coopération notamment la CEAO et la CEDEAO qui n'ont pas atteint, après deux décennies de fonctionnement, leurs objectifs en matière de politique communautaire et de promotion des échanges.
Sur cette base, il explore une nouvelle approche de création d'un véritable ordre communautaire en Afrique de l'Ouest autour de l'instauration d'une division régionale du travail à partir des dotations factorielles des nations et d'un système monétaire régional. Les politiques sectorielles découlant de cette nouvelle stratégie imposent aux Etats la renonciation à leur souveraineté en faveur de la communauté dans toutes les branches qui rythment la vie économique et financière.
Cependant, l'intégration ne sera effective et irréversible que si elle s'appuie sur des supports politiques, institutionnels et administratifs solides : une Haute Autorité intégrante dotée de très larges fonctions exécutives, une Assemblée Parlementaire qui exerce un contrôle sur l'exécution des programmes et dont les membres seraient regroupés non point par nationalité mais par famille politique régionale et une Cour Arbitrale chargée de régler tous les litiges entre Etats-membres.



















