Christian Le Marchand est né en 1953, à Caen, dans le Calvados. Après avoir reconstitué la généalogie de sa famille, il s'est intéressé aux conditions de vie de ses ancêtres. Exploitant les archives accessibles, et interrogeant la mémoire familiale, il a écrit Le destin de Félicie, un personnage inspiré de ses aïeules aux côtés desquelles on traverse cinquante années de l'existence de gens modestes, déracinés de leur Mayenne natale, avec leurs qualités et leurs travers, capables de fâcheries mais aussi de solidarité et d'entraide. Il est déjà l'auteur de deux romans, "Le tour d'abandon" et "Avoir 15 ans, à Caen, le 6 juin 1944" .
Le destin de Félicie
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- Nombre de pages166
- FormatePub
- ISBN979-10-290-0996-9
- EAN9791029009969
- Date de parution18/09/2019
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille133 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurLes Editions Chapitre.com
Résumé
Née au dix-neuvième siècle finissant, Félicie, fille de cultivateurs de la Haute-Mayenne, épouse Pierre, un cheminot de cinq ans son aîné dont elle aura quatre enfants. Trois survivent. D'abord installé à Laval, le couple s'établit à Mondeville, près de Caen, en 1913. Pierre décède au printemps 1919. Félicie dont le droit à pension de veuve de guerre ne sera reconnu que dix ans plus tard, élève, seule, ses trois enfants.
Elle est garde-barrière. En 1929, elle devient grand-mère et s'établit, à sa retraite, à Blonville-sur-Mer d'où elle est chassée par l'Occupant en 1941. L'année suivante, Félicie s'installe à Poussy-la-Campagne. En juillet 1944, elle est contrainte à l'exode par les combats du débarquement. Elle se réfugie en Mayenne, dans la famille. Revenue à Poussy-la-Campagne, à l'automne 1944, Félicie, âgée de soixante-deux ans, quitte tout à l'automne 1948, n'emportant qu'un balluchon, et va s'établir au Mont-Canisy sur la côte normande.
Elle décède à l'âge soixante-et-onze ans, en plein hiver 1957, à l'hôpital de Trouville-sur-Mer.
Elle est garde-barrière. En 1929, elle devient grand-mère et s'établit, à sa retraite, à Blonville-sur-Mer d'où elle est chassée par l'Occupant en 1941. L'année suivante, Félicie s'installe à Poussy-la-Campagne. En juillet 1944, elle est contrainte à l'exode par les combats du débarquement. Elle se réfugie en Mayenne, dans la famille. Revenue à Poussy-la-Campagne, à l'automne 1944, Félicie, âgée de soixante-deux ans, quitte tout à l'automne 1948, n'emportant qu'un balluchon, et va s'établir au Mont-Canisy sur la côte normande.
Elle décède à l'âge soixante-et-onze ans, en plein hiver 1957, à l'hôpital de Trouville-sur-Mer.
Née au dix-neuvième siècle finissant, Félicie, fille de cultivateurs de la Haute-Mayenne, épouse Pierre, un cheminot de cinq ans son aîné dont elle aura quatre enfants. Trois survivent. D'abord installé à Laval, le couple s'établit à Mondeville, près de Caen, en 1913. Pierre décède au printemps 1919. Félicie dont le droit à pension de veuve de guerre ne sera reconnu que dix ans plus tard, élève, seule, ses trois enfants.
Elle est garde-barrière. En 1929, elle devient grand-mère et s'établit, à sa retraite, à Blonville-sur-Mer d'où elle est chassée par l'Occupant en 1941. L'année suivante, Félicie s'installe à Poussy-la-Campagne. En juillet 1944, elle est contrainte à l'exode par les combats du débarquement. Elle se réfugie en Mayenne, dans la famille. Revenue à Poussy-la-Campagne, à l'automne 1944, Félicie, âgée de soixante-deux ans, quitte tout à l'automne 1948, n'emportant qu'un balluchon, et va s'établir au Mont-Canisy sur la côte normande.
Elle décède à l'âge soixante-et-onze ans, en plein hiver 1957, à l'hôpital de Trouville-sur-Mer.
Elle est garde-barrière. En 1929, elle devient grand-mère et s'établit, à sa retraite, à Blonville-sur-Mer d'où elle est chassée par l'Occupant en 1941. L'année suivante, Félicie s'installe à Poussy-la-Campagne. En juillet 1944, elle est contrainte à l'exode par les combats du débarquement. Elle se réfugie en Mayenne, dans la famille. Revenue à Poussy-la-Campagne, à l'automne 1944, Félicie, âgée de soixante-deux ans, quitte tout à l'automne 1948, n'emportant qu'un balluchon, et va s'établir au Mont-Canisy sur la côte normande.
Elle décède à l'âge soixante-et-onze ans, en plein hiver 1957, à l'hôpital de Trouville-sur-Mer.