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David
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Louis XVI
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Marie-Antoinette
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charlotte corday
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Marat
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1793
Ce roman est né d’une fascination de l’auteure pour le tableau de David sur l’assassinat de Marat dans sa baignoire le 13 juillet 1793.
L’été 1989, Gwenaële Robert était en 4e lors des fêtes de commémoration du bicentenaire de la Révolution française. Rétrospectivement, elle s’est sentie flouée car les événements de la Terreur ont été passés sous silence lors de ces célébrations.
Gwenaële Robert répare cette injustice et dédie ce livre à son père dont la famille a été massacrée lors des guerres de Vendée en 1793.
Au travers de l’analyse judicieuse et
précise du tableau de Marat, l’auteure nous propose une reconstitution heure par heure des événements annonciateurs de la mort de Marat.
En effet, le soi-disant « Ami du peuple », et du peintre révolutionnaire David, était menacé, de toute part, à force de réclamer des têtes à trancher dans une frénésie sanguinaire.
Le procès de Charlotte Corday est jubilatoire : on ressent les suées des jurés face à l’aplomb et la beauté de la meurtrière de Marat. Ce pourrait-il, à présent, que les ennemis de la République aient l'apparence d'un ange ? Comment vont-ils s'en sortir ?
Formidablement didactique et captivant !
Ce roman est né d’une fascination de l’auteure pour le tableau de David sur l’assassinat de Marat dans sa baignoire le 13 juillet 1793.
L’été 1989, Gwenaële Robert était en 4e lors des fêtes de commémoration du bicentenaire de la Révolution française. Rétrospectivement, elle s’est sentie flouée car les événements de la Terreur ont été passés sous silence lors de ces célébrations.
Gwenaële Robert répare cette injustice et dédie ce livre à son père dont la famille a été massacrée lors des guerres de Vendée en 1793.
Au travers de l’analyse judicieuse et précise du tableau de Marat, l’auteure nous propose une reconstitution heure par heure des événements annonciateurs de la mort de Marat.
En effet, le soi-disant « Ami du peuple », et du peintre révolutionnaire David, était menacé, de toute part, à force de réclamer des têtes à trancher dans une frénésie sanguinaire.
Le procès de Charlotte Corday est jubilatoire : on ressent les suées des jurés face à l’aplomb et la beauté de la meurtrière de Marat. Ce pourrait-il, à présent, que les ennemis de la République aient l'apparence d'un ange ? Comment vont-ils s'en sortir ?