Le Crime Des Seize. La Mort De L'Abbe De Sauvelade (25 Octobre 1663)

Par : Christian Desplat

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  • Nombre de pages209
  • FormatMulti-format
  • ISBN978-2-35068-538-0
  • EAN9782350685380
  • Date de parution14/04/2014
  • Protection num.NC
  • Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub avec ...
  • ÉditeurÉditions Cairn

Résumé

Le 25 octobre 1663, Jacques Boyer, chanoine de Saint Etienne de Toulouse, abbé commendataire de Sauvelade, était assassiné en Béarn, ainsi que son aumônier, dans sa demeure de la « grange » cistercienne de Capbis. Seize assassins, mandatés par les communautés de Bruges, Asson et Louvie-Juzon perpétrèrent ce crime avec une rare sauvagerie. Dans le Piémont pyrénéen, le petit bassin de Capbis était à égale distance des grandes vallées pastorales de l'Ossau et de l'Ouzom.
Les cisterciens n'avaient jamais mis en valeur ce modeste domaine dont les « herms », les terres communes, servaient de pâturages en indivision aux trois communautés. Cet essai cherche à démêler les circonstances, les causes, les visages des assassins et des victimes d'un crime qui donna matière à un proverbe d'un emploi courant jusqu'à la fin du XIXe siècle. L'abbé de Sauvelade ne fut pas le seul ecclésiastique victime d'un crime dans le Béarn du XVIIe siècle.
Pourquoi sa « mourt » est-elle la seule dont la mémoire collective ait conservé si longtemps le souvenir ?
Le 25 octobre 1663, Jacques Boyer, chanoine de Saint Etienne de Toulouse, abbé commendataire de Sauvelade, était assassiné en Béarn, ainsi que son aumônier, dans sa demeure de la « grange » cistercienne de Capbis. Seize assassins, mandatés par les communautés de Bruges, Asson et Louvie-Juzon perpétrèrent ce crime avec une rare sauvagerie. Dans le Piémont pyrénéen, le petit bassin de Capbis était à égale distance des grandes vallées pastorales de l'Ossau et de l'Ouzom.
Les cisterciens n'avaient jamais mis en valeur ce modeste domaine dont les « herms », les terres communes, servaient de pâturages en indivision aux trois communautés. Cet essai cherche à démêler les circonstances, les causes, les visages des assassins et des victimes d'un crime qui donna matière à un proverbe d'un emploi courant jusqu'à la fin du XIXe siècle. L'abbé de Sauvelade ne fut pas le seul ecclésiastique victime d'un crime dans le Béarn du XVIIe siècle.
Pourquoi sa « mourt » est-elle la seule dont la mémoire collective ait conservé si longtemps le souvenir ?