Le crépuscule fossile
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- Nombre de pages250
- FormatePub
- ISBN978-2-234-07768-3
- EAN9782234077683
- Date de parution12/11/2015
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille1 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurStock
Résumé
De quoi fossile est-il le nom ? D'une source d'énergie, d'une civilisation, d'un modèle économique ou d'un système de valeurs ?Les énergies fossiles ont doté les hommes de pouvoirs extraordinaires. En moins d'un siècle, le monde a été totalement transformé jusqu'au coin le plus obscur de la planète. Parmi les énergies fossiles, le pétrole a été le maître de tous les arbitrages géopolitiques, économiques et financiers, au point de créer une nouvelle civilisation : la civilisation fossile, dominée par une nouvelle race de seigneurs.
Ces grands pouvoirs ont-ils été accompagnés de grandes responsabilités, à la mesure de la puissance exercée ? Non.À la lecture de l'histoire économique et politique du xxe siècle, ces seigneurs de l'âge fossile, représentants d'une aristocratie industrielle et financière mondialisée, ont pris en otage le capitalisme d'Adam Smith et semblent avoir rompu définitivement avec les valeurs d'humanisme et d'éthique.
Changement climatique, épuisement annoncédes ressources.Les signaux passent au rouge. Cette civilisation est entrée dans un crépuscule, un long crépuscule flamboyant dans lequel ces élites confites dans leur toute puissance tentent encore de réanimer la flamme, celle d'une croissance éternelle. Quel paradoxe : eux qui ont tant contribué à l'accélération de l'histoire humaine, prenant des risques inconsidérés, sont aujourd'hui à la tête des forces conservatrices uniquement focalisées sur la préservation de leur rente.
Et ils sont incapables d'inventer un nouveau récit face à la menace du changement climatique. Comment dès lors lutter contre ces forces adverses et faire émerger une conception nouvelle du bien commun, un nouveau modèle de civilisation post fossile ?
Ces grands pouvoirs ont-ils été accompagnés de grandes responsabilités, à la mesure de la puissance exercée ? Non.À la lecture de l'histoire économique et politique du xxe siècle, ces seigneurs de l'âge fossile, représentants d'une aristocratie industrielle et financière mondialisée, ont pris en otage le capitalisme d'Adam Smith et semblent avoir rompu définitivement avec les valeurs d'humanisme et d'éthique.
Changement climatique, épuisement annoncédes ressources.Les signaux passent au rouge. Cette civilisation est entrée dans un crépuscule, un long crépuscule flamboyant dans lequel ces élites confites dans leur toute puissance tentent encore de réanimer la flamme, celle d'une croissance éternelle. Quel paradoxe : eux qui ont tant contribué à l'accélération de l'histoire humaine, prenant des risques inconsidérés, sont aujourd'hui à la tête des forces conservatrices uniquement focalisées sur la préservation de leur rente.
Et ils sont incapables d'inventer un nouveau récit face à la menace du changement climatique. Comment dès lors lutter contre ces forces adverses et faire émerger une conception nouvelle du bien commun, un nouveau modèle de civilisation post fossile ?
De quoi fossile est-il le nom ? D'une source d'énergie, d'une civilisation, d'un modèle économique ou d'un système de valeurs ?Les énergies fossiles ont doté les hommes de pouvoirs extraordinaires. En moins d'un siècle, le monde a été totalement transformé jusqu'au coin le plus obscur de la planète. Parmi les énergies fossiles, le pétrole a été le maître de tous les arbitrages géopolitiques, économiques et financiers, au point de créer une nouvelle civilisation : la civilisation fossile, dominée par une nouvelle race de seigneurs.
Ces grands pouvoirs ont-ils été accompagnés de grandes responsabilités, à la mesure de la puissance exercée ? Non.À la lecture de l'histoire économique et politique du xxe siècle, ces seigneurs de l'âge fossile, représentants d'une aristocratie industrielle et financière mondialisée, ont pris en otage le capitalisme d'Adam Smith et semblent avoir rompu définitivement avec les valeurs d'humanisme et d'éthique.
Changement climatique, épuisement annoncédes ressources.Les signaux passent au rouge. Cette civilisation est entrée dans un crépuscule, un long crépuscule flamboyant dans lequel ces élites confites dans leur toute puissance tentent encore de réanimer la flamme, celle d'une croissance éternelle. Quel paradoxe : eux qui ont tant contribué à l'accélération de l'histoire humaine, prenant des risques inconsidérés, sont aujourd'hui à la tête des forces conservatrices uniquement focalisées sur la préservation de leur rente.
Et ils sont incapables d'inventer un nouveau récit face à la menace du changement climatique. Comment dès lors lutter contre ces forces adverses et faire émerger une conception nouvelle du bien commun, un nouveau modèle de civilisation post fossile ?
Ces grands pouvoirs ont-ils été accompagnés de grandes responsabilités, à la mesure de la puissance exercée ? Non.À la lecture de l'histoire économique et politique du xxe siècle, ces seigneurs de l'âge fossile, représentants d'une aristocratie industrielle et financière mondialisée, ont pris en otage le capitalisme d'Adam Smith et semblent avoir rompu définitivement avec les valeurs d'humanisme et d'éthique.
Changement climatique, épuisement annoncédes ressources.Les signaux passent au rouge. Cette civilisation est entrée dans un crépuscule, un long crépuscule flamboyant dans lequel ces élites confites dans leur toute puissance tentent encore de réanimer la flamme, celle d'une croissance éternelle. Quel paradoxe : eux qui ont tant contribué à l'accélération de l'histoire humaine, prenant des risques inconsidérés, sont aujourd'hui à la tête des forces conservatrices uniquement focalisées sur la préservation de leur rente.
Et ils sont incapables d'inventer un nouveau récit face à la menace du changement climatique. Comment dès lors lutter contre ces forces adverses et faire émerger une conception nouvelle du bien commun, un nouveau modèle de civilisation post fossile ?