Le corps est une maison sans grands-parents

Par : Laura Bari
Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages148
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-89766-484-8
  • EAN9782897664848
  • Date de parution11/02/2025
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille3 Mo
  • Infos supplémentairespdf
  • ÉditeurÉditions du Noroît

Résumé

Dans un village d'Argentine, une maison se meurt. On y entre comme dans le corps de l'enfance. Murs et ossature, lieux évidés, adultes et enfants du passé se fondent dans la mémoire de celle qui retourne au seuil et ouvre la porte à un temps révolu. Noyées par l'une des plus longues dictatures du pays, les voix fantomatiques du lieu retrouvent enfin leur souffle. À travers une adresse amoureuse et clairvoyante, la narratrice donne corps à sa maison d'enfance jusqu'à leur permutation : qui regarde qui ? Dans quelles veines coule le sang ? À qui appartient la peau de l'enfant ? Dans ce chassé-croisé foisonnant, les poèmes du corps est une maison sans grands-parents abattent les murs de l'héritage pour ne laisser que le cour battant qui unit la jeune fille à son nid originel.
Dans un village d'Argentine, une maison se meurt. On y entre comme dans le corps de l'enfance. Murs et ossature, lieux évidés, adultes et enfants du passé se fondent dans la mémoire de celle qui retourne au seuil et ouvre la porte à un temps révolu. Noyées par l'une des plus longues dictatures du pays, les voix fantomatiques du lieu retrouvent enfin leur souffle. À travers une adresse amoureuse et clairvoyante, la narratrice donne corps à sa maison d'enfance jusqu'à leur permutation : qui regarde qui ? Dans quelles veines coule le sang ? À qui appartient la peau de l'enfant ? Dans ce chassé-croisé foisonnant, les poèmes du corps est une maison sans grands-parents abattent les murs de l'héritage pour ne laisser que le cour battant qui unit la jeune fille à son nid originel.