Le corps dans la peinture espagnole des années 1950 et 1960

Par : Stéphane Ciancio

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  • Nombre de pages324
  • FormatPDF
  • ISBN2-296-40360-3
  • EAN9782296403604
  • Date de parution01/07/2005
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille14 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

La dictature du général Franco commença en 1939 et s'acheva en 1975 avec son décès. Les années 1950 et 1960 sont deux décennies fondamentales pour l'art espagnol et la renaissance de son avant-garde, mais dans ce contexte c'est la notion de corps qui sera notre propos. Sous ce mot corps nous pouvons trouver sous-jacents ceux de formulation, geste, trace, épaisseur, empreinte, mémoire, Espagne noire, hispanité.
Le corps peut donc être sa simple figuration plastique, mais aussi évoquer la relation corps-peinture, signifier matière, couleur, violence ou le rapport au corps de l'artiste ou du spectateur par exemple. Tout ceci est étudié au travers de mouvements d'avant-garde des années 1950-60, notamment l'Informel, le Pop Art, la Nouvelle Figuration, l'abstraction des années 60... Parmi les nombreux artistes vus, retenons notamment Saura, Millares, Tàpies, Viola, Canogar, Barjola et Arroyo.
Corporéité, matière, mémoire, temps, histoire et humanisme sont des mots-clés dans notre travail qui fait jaillir un besoin de rédemption avéré des artistes face au monde si dur avec l'homme.
La dictature du général Franco commença en 1939 et s'acheva en 1975 avec son décès. Les années 1950 et 1960 sont deux décennies fondamentales pour l'art espagnol et la renaissance de son avant-garde, mais dans ce contexte c'est la notion de corps qui sera notre propos. Sous ce mot corps nous pouvons trouver sous-jacents ceux de formulation, geste, trace, épaisseur, empreinte, mémoire, Espagne noire, hispanité.
Le corps peut donc être sa simple figuration plastique, mais aussi évoquer la relation corps-peinture, signifier matière, couleur, violence ou le rapport au corps de l'artiste ou du spectateur par exemple. Tout ceci est étudié au travers de mouvements d'avant-garde des années 1950-60, notamment l'Informel, le Pop Art, la Nouvelle Figuration, l'abstraction des années 60... Parmi les nombreux artistes vus, retenons notamment Saura, Millares, Tàpies, Viola, Canogar, Barjola et Arroyo.
Corporéité, matière, mémoire, temps, histoire et humanisme sont des mots-clés dans notre travail qui fait jaillir un besoin de rédemption avéré des artistes face au monde si dur avec l'homme.