Le contre - amiral d'Albert de Rions. Un baroudeur au siècle des Lumières, 1728 - 1802
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- Nombre de pages320
- FormatePub
- ISBN2-402-24293-0
- EAN9782402242936
- Date de parution01/01/1999
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Édit...
Résumé
Jean-Marc van Hille nous trace l'histoire d'un autre grand marin français, acteur lui aussi de la guerre d'Indépendance de l'Amérique avant de traverser les troubles révolutionnaires, l'un de ces hommes dont l'Histoire n'a guère retenu le nom mais dont l'amiral d'Estaing disait "Il réunit tous les talents militaires et maritimes, plein d'audace et de désir de faire. Le bien du service du roy exige de mettre en activité et au grand jour les qualités éminentes d'un officier aussi distingué".
Né en 1728 en Avignon, François Hector d'Albert de Rions recevra son premier embarquement à 17 ans. La guerre de Sept Ans puis celle de l'Indépendance américaine le verront aux côtés des plus grands marins de son temps, Suffren ou Grasse. Il participera à toutes les batailles décisives de son temps, se distinguera brillamment au large de Savannah avant de retrouver son pays à l'aube des convulsions révolutionnaires qui détruiront la Marine.
Émigré dans l'Armée des Princes en 1792 après avoir connu les pires avanies à Toulon comme directeur du port, il quittera Coblenz pour rejoindre son épouse en Croatie où il restera jusqu'à la fin de la Révolution et se retirera dans le domaine familial de Saint-Auban-sur-l'Ouvèze où, devenu presque aveugle, il terminera tristement une vie remplie d'aventures glorieuses, à l'instar de son ami Suffren qu'il avait accompagné dans de nombreux combats.
Officier général d'une marine à qui la gloire n'a pas manqué mais qui a connu plus d'heures de détresse que de panache, témoin impuissant de sa déchéance sous la Révolution, l'amiral d'Albert de Rions fut un grand marin, sans doute l'un des plus grands de la deuxième moitié du Siècle des Lumières.
Né en 1728 en Avignon, François Hector d'Albert de Rions recevra son premier embarquement à 17 ans. La guerre de Sept Ans puis celle de l'Indépendance américaine le verront aux côtés des plus grands marins de son temps, Suffren ou Grasse. Il participera à toutes les batailles décisives de son temps, se distinguera brillamment au large de Savannah avant de retrouver son pays à l'aube des convulsions révolutionnaires qui détruiront la Marine.
Émigré dans l'Armée des Princes en 1792 après avoir connu les pires avanies à Toulon comme directeur du port, il quittera Coblenz pour rejoindre son épouse en Croatie où il restera jusqu'à la fin de la Révolution et se retirera dans le domaine familial de Saint-Auban-sur-l'Ouvèze où, devenu presque aveugle, il terminera tristement une vie remplie d'aventures glorieuses, à l'instar de son ami Suffren qu'il avait accompagné dans de nombreux combats.
Officier général d'une marine à qui la gloire n'a pas manqué mais qui a connu plus d'heures de détresse que de panache, témoin impuissant de sa déchéance sous la Révolution, l'amiral d'Albert de Rions fut un grand marin, sans doute l'un des plus grands de la deuxième moitié du Siècle des Lumières.
Jean-Marc van Hille nous trace l'histoire d'un autre grand marin français, acteur lui aussi de la guerre d'Indépendance de l'Amérique avant de traverser les troubles révolutionnaires, l'un de ces hommes dont l'Histoire n'a guère retenu le nom mais dont l'amiral d'Estaing disait "Il réunit tous les talents militaires et maritimes, plein d'audace et de désir de faire. Le bien du service du roy exige de mettre en activité et au grand jour les qualités éminentes d'un officier aussi distingué".
Né en 1728 en Avignon, François Hector d'Albert de Rions recevra son premier embarquement à 17 ans. La guerre de Sept Ans puis celle de l'Indépendance américaine le verront aux côtés des plus grands marins de son temps, Suffren ou Grasse. Il participera à toutes les batailles décisives de son temps, se distinguera brillamment au large de Savannah avant de retrouver son pays à l'aube des convulsions révolutionnaires qui détruiront la Marine.
Émigré dans l'Armée des Princes en 1792 après avoir connu les pires avanies à Toulon comme directeur du port, il quittera Coblenz pour rejoindre son épouse en Croatie où il restera jusqu'à la fin de la Révolution et se retirera dans le domaine familial de Saint-Auban-sur-l'Ouvèze où, devenu presque aveugle, il terminera tristement une vie remplie d'aventures glorieuses, à l'instar de son ami Suffren qu'il avait accompagné dans de nombreux combats.
Officier général d'une marine à qui la gloire n'a pas manqué mais qui a connu plus d'heures de détresse que de panache, témoin impuissant de sa déchéance sous la Révolution, l'amiral d'Albert de Rions fut un grand marin, sans doute l'un des plus grands de la deuxième moitié du Siècle des Lumières.
Né en 1728 en Avignon, François Hector d'Albert de Rions recevra son premier embarquement à 17 ans. La guerre de Sept Ans puis celle de l'Indépendance américaine le verront aux côtés des plus grands marins de son temps, Suffren ou Grasse. Il participera à toutes les batailles décisives de son temps, se distinguera brillamment au large de Savannah avant de retrouver son pays à l'aube des convulsions révolutionnaires qui détruiront la Marine.
Émigré dans l'Armée des Princes en 1792 après avoir connu les pires avanies à Toulon comme directeur du port, il quittera Coblenz pour rejoindre son épouse en Croatie où il restera jusqu'à la fin de la Révolution et se retirera dans le domaine familial de Saint-Auban-sur-l'Ouvèze où, devenu presque aveugle, il terminera tristement une vie remplie d'aventures glorieuses, à l'instar de son ami Suffren qu'il avait accompagné dans de nombreux combats.
Officier général d'une marine à qui la gloire n'a pas manqué mais qui a connu plus d'heures de détresse que de panache, témoin impuissant de sa déchéance sous la Révolution, l'amiral d'Albert de Rions fut un grand marin, sans doute l'un des plus grands de la deuxième moitié du Siècle des Lumières.






