LE COMMONWEALTH.. Politiques, coopération et développement anglophones
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- Nombre de pages288
- FormatePub
- ISBN2-13-068127-1
- EAN9782130681274
- Date de parution31/12/1997
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille90 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurPresses universitaires de France...
Résumé
Le Commonwealth se présente sous la forme d'une énigme pour un monde qui l'a vu naître sur les décombres d'un empire, survivre à la décolonisation, puis au choc des idéologies d'un univers bipolaire, enfin jouer un rôle qui privilégie la solidarité et le développement dans le cadre du nouvel ordre planétaire de la fin du XXe siècle. Près de trois quarts de siècle après sa création officielle en 1931, il a traversé tant de crises internes et externes, servi de témoin à tant de bouleversements politiques, économiques, humains, que l'on peut se demander quels sont sa vraie nature et son véritable destin, que l'on est en droit de s'interroger sur les raisons de son existence et sur ses chances d'avenir.
[.] Il serait trop simple de voir dans l'histoire du Commonwealth la naissance d'un mythe, l'expression d'une utopie ou d'un subterfuge inventés par quelques politiques animés d'un désir de remettre sous leur influence d'anciennes possessions et qui seraient nostalgiques de grandeur ou de puissance passées. Il serait trop rapide de décider que son avenir repose sur l'entente durable et fructueuse de la cinquantaine de membres qui forment aujourd'hui cette association volontaire d'États souverains et indépendants, chacun responsable de sa politique, se concertant et coopérant dans l'intérêt commun de leurs peuples, ainsi que pour promouvoir la compréhension internationale et la paix mondiale (déclaration de Singapour, janvier 1971).
[.] Il serait trop simple de voir dans l'histoire du Commonwealth la naissance d'un mythe, l'expression d'une utopie ou d'un subterfuge inventés par quelques politiques animés d'un désir de remettre sous leur influence d'anciennes possessions et qui seraient nostalgiques de grandeur ou de puissance passées. Il serait trop rapide de décider que son avenir repose sur l'entente durable et fructueuse de la cinquantaine de membres qui forment aujourd'hui cette association volontaire d'États souverains et indépendants, chacun responsable de sa politique, se concertant et coopérant dans l'intérêt commun de leurs peuples, ainsi que pour promouvoir la compréhension internationale et la paix mondiale (déclaration de Singapour, janvier 1971).
Le Commonwealth se présente sous la forme d'une énigme pour un monde qui l'a vu naître sur les décombres d'un empire, survivre à la décolonisation, puis au choc des idéologies d'un univers bipolaire, enfin jouer un rôle qui privilégie la solidarité et le développement dans le cadre du nouvel ordre planétaire de la fin du XXe siècle. Près de trois quarts de siècle après sa création officielle en 1931, il a traversé tant de crises internes et externes, servi de témoin à tant de bouleversements politiques, économiques, humains, que l'on peut se demander quels sont sa vraie nature et son véritable destin, que l'on est en droit de s'interroger sur les raisons de son existence et sur ses chances d'avenir.
[.] Il serait trop simple de voir dans l'histoire du Commonwealth la naissance d'un mythe, l'expression d'une utopie ou d'un subterfuge inventés par quelques politiques animés d'un désir de remettre sous leur influence d'anciennes possessions et qui seraient nostalgiques de grandeur ou de puissance passées. Il serait trop rapide de décider que son avenir repose sur l'entente durable et fructueuse de la cinquantaine de membres qui forment aujourd'hui cette association volontaire d'États souverains et indépendants, chacun responsable de sa politique, se concertant et coopérant dans l'intérêt commun de leurs peuples, ainsi que pour promouvoir la compréhension internationale et la paix mondiale (déclaration de Singapour, janvier 1971).
[.] Il serait trop simple de voir dans l'histoire du Commonwealth la naissance d'un mythe, l'expression d'une utopie ou d'un subterfuge inventés par quelques politiques animés d'un désir de remettre sous leur influence d'anciennes possessions et qui seraient nostalgiques de grandeur ou de puissance passées. Il serait trop rapide de décider que son avenir repose sur l'entente durable et fructueuse de la cinquantaine de membres qui forment aujourd'hui cette association volontaire d'États souverains et indépendants, chacun responsable de sa politique, se concertant et coopérant dans l'intérêt commun de leurs peuples, ainsi que pour promouvoir la compréhension internationale et la paix mondiale (déclaration de Singapour, janvier 1971).