Mouayini Eugenie Opou est une femme de Lettres, romancière du royaume téké. Elle défend inlassablement les valeurs ancestrales téké.
Le collier du roi Makoko de Mbé (Royaume téké)
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- Nombre de pages100
- FormatPDF
- ISBN978-2-336-41844-5
- EAN9782336418445
- Date de parution14/12/2023
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Cet ouvrage sur la disparition du collier d'investiture du Makoko de Mbé, datant de 1894 confirme de manière vivante que c'est l'oralité qui caractérise la transmission des sociétés africaines. Il s'agit à partir de ces quelques lignes d'apporter la vérité, donc de légitimer et légaliser la position de l'homme en ces temps-là et de procéder à l'analyse du passé pour retrouver le présent. Il ne s'agit nullement ni de refuser ni d'occulter le passé, mais tout simplement de chercher à renaître et à s'y reconnaître tout en assurant la cohésion entre les peuples.
La tradition chez le peuple téké a pour pilier la tradition orale qui va du concret au sacré.
Dans cette ancienne civilisation, l'oralité se transmet de père en fils et de la mère à la fille, à travers les contes, les chats, les mythes, les légendes, les devinettes, les paraboles, les proverbes, les récitatifs, les rituels, etc. Une fois de plus, l'oralité vient de nous éclairer sur notre passé commun. Nous avons, dans notre existence, le devoir d'accorder à la tradition orale le rôle et la place qu'elle mérite pour mieux se situer avec les autres dans le monde.
Dans cette ancienne civilisation, l'oralité se transmet de père en fils et de la mère à la fille, à travers les contes, les chats, les mythes, les légendes, les devinettes, les paraboles, les proverbes, les récitatifs, les rituels, etc. Une fois de plus, l'oralité vient de nous éclairer sur notre passé commun. Nous avons, dans notre existence, le devoir d'accorder à la tradition orale le rôle et la place qu'elle mérite pour mieux se situer avec les autres dans le monde.
Cet ouvrage sur la disparition du collier d'investiture du Makoko de Mbé, datant de 1894 confirme de manière vivante que c'est l'oralité qui caractérise la transmission des sociétés africaines. Il s'agit à partir de ces quelques lignes d'apporter la vérité, donc de légitimer et légaliser la position de l'homme en ces temps-là et de procéder à l'analyse du passé pour retrouver le présent. Il ne s'agit nullement ni de refuser ni d'occulter le passé, mais tout simplement de chercher à renaître et à s'y reconnaître tout en assurant la cohésion entre les peuples.
La tradition chez le peuple téké a pour pilier la tradition orale qui va du concret au sacré.
Dans cette ancienne civilisation, l'oralité se transmet de père en fils et de la mère à la fille, à travers les contes, les chats, les mythes, les légendes, les devinettes, les paraboles, les proverbes, les récitatifs, les rituels, etc. Une fois de plus, l'oralité vient de nous éclairer sur notre passé commun. Nous avons, dans notre existence, le devoir d'accorder à la tradition orale le rôle et la place qu'elle mérite pour mieux se situer avec les autres dans le monde.
Dans cette ancienne civilisation, l'oralité se transmet de père en fils et de la mère à la fille, à travers les contes, les chats, les mythes, les légendes, les devinettes, les paraboles, les proverbes, les récitatifs, les rituels, etc. Une fois de plus, l'oralité vient de nous éclairer sur notre passé commun. Nous avons, dans notre existence, le devoir d'accorder à la tradition orale le rôle et la place qu'elle mérite pour mieux se situer avec les autres dans le monde.