« LE COEUR DE L'HOMME, QUELLE PAGAILLE ! ». Le bien de tous
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- Nombre de pages108
- FormatePub
- ISBN978-2-227-49118-2
- EAN9782227491182
- Date de parution28/08/2017
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille790 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurBayard
Résumé
Que ce soit la solitude ou le désarroi de l'adolescence, les vifs débats sur le « mariage pour tous », sur l'avenir du christianisme dans nos sociétés, la sexualité, ou une rencontre avec un vieil évêque coréen, celle avec une paroissienne désespérée, ou de jeunes traders déboussolés... À travers une série très vivante de scènes de la vie quotidienne d'un curé de paroisse, l'auteur s'adresse à nous de façon très directe, très franche, pour parler charité, engagement, pauvreté, amour, mais aussi pardon, fraternité, homosexualité, argent, solitude, prière, espérance...
Ses propos résonnent étonnamment fort. Sans langue de bois, sans faux semblant. Il offre ainsi la vision d'une Église au service du monde et de tous, attentive, humble, jamais donneuse de leçon. Il est capable d'évoquer ces trois soeurs venues pour préparer les obsèques de leur mère et qui déclarent « Mon Père, elle nous a pourri la vie... », ou de s'intéresser aux développements les plus récents de l'économie numérique, de nous parler de nos peines de coeur, d'alcoolisme, de nos oppositions stériles...
et d'évoquer la mémoire du cardinal Lustiger et celle du Père Ceyrac.« Oui, il faut du temps pour faire un homme et, ô combien, pour faire un chrétien ! »
Ses propos résonnent étonnamment fort. Sans langue de bois, sans faux semblant. Il offre ainsi la vision d'une Église au service du monde et de tous, attentive, humble, jamais donneuse de leçon. Il est capable d'évoquer ces trois soeurs venues pour préparer les obsèques de leur mère et qui déclarent « Mon Père, elle nous a pourri la vie... », ou de s'intéresser aux développements les plus récents de l'économie numérique, de nous parler de nos peines de coeur, d'alcoolisme, de nos oppositions stériles...
et d'évoquer la mémoire du cardinal Lustiger et celle du Père Ceyrac.« Oui, il faut du temps pour faire un homme et, ô combien, pour faire un chrétien ! »
Que ce soit la solitude ou le désarroi de l'adolescence, les vifs débats sur le « mariage pour tous », sur l'avenir du christianisme dans nos sociétés, la sexualité, ou une rencontre avec un vieil évêque coréen, celle avec une paroissienne désespérée, ou de jeunes traders déboussolés... À travers une série très vivante de scènes de la vie quotidienne d'un curé de paroisse, l'auteur s'adresse à nous de façon très directe, très franche, pour parler charité, engagement, pauvreté, amour, mais aussi pardon, fraternité, homosexualité, argent, solitude, prière, espérance...
Ses propos résonnent étonnamment fort. Sans langue de bois, sans faux semblant. Il offre ainsi la vision d'une Église au service du monde et de tous, attentive, humble, jamais donneuse de leçon. Il est capable d'évoquer ces trois soeurs venues pour préparer les obsèques de leur mère et qui déclarent « Mon Père, elle nous a pourri la vie... », ou de s'intéresser aux développements les plus récents de l'économie numérique, de nous parler de nos peines de coeur, d'alcoolisme, de nos oppositions stériles...
et d'évoquer la mémoire du cardinal Lustiger et celle du Père Ceyrac.« Oui, il faut du temps pour faire un homme et, ô combien, pour faire un chrétien ! »
Ses propos résonnent étonnamment fort. Sans langue de bois, sans faux semblant. Il offre ainsi la vision d'une Église au service du monde et de tous, attentive, humble, jamais donneuse de leçon. Il est capable d'évoquer ces trois soeurs venues pour préparer les obsèques de leur mère et qui déclarent « Mon Père, elle nous a pourri la vie... », ou de s'intéresser aux développements les plus récents de l'économie numérique, de nous parler de nos peines de coeur, d'alcoolisme, de nos oppositions stériles...
et d'évoquer la mémoire du cardinal Lustiger et celle du Père Ceyrac.« Oui, il faut du temps pour faire un homme et, ô combien, pour faire un chrétien ! »