Le Ciné - capital : d'Hitchcock à Ozu. Une lecture marxiste de Cinéma de Gilles Deleuze
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF protégé est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
- Non compatible avec un achat hors France métropolitaine
, qui est-ce ?Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages132
- FormatPDF
- ISBN979-10-370-1114-5
- EAN9791037011145
- Date de parution25/04/2018
- Protection num.Adobe DRM
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurHermann
- PréfacierPeter Szendy
Résumé
« L'argent est l'envers de toutes les images que le cinéma montre et monte à l'endroit » écrit Gilles Deleuze dans le deuxième volet de Cinéma. Le capital est toujours derrière le cinéma. Le Capital hante Cinéma du début à la fin. C'est donc une lecture marxiste du diptyque composé de L'Image-mouvement et L'Image-temps que propose Jun Fujita dans Ciné-capital.
Comment fonctionne le mode de production ciné-capitaliste ? Comment celui-ci fait-il produire de la plus-value aux images ? Pourquoi et comment s'approprie-t-il le travail même du spectateur ? En quel sens peut-on soutenir qu'Eisenstein et Hitchcock ont anticipé l'arrivée de la New Economy des années 1990 (dématérialisation du travail et financiarisation de l'économie) ? Quand et comment les images s'insurgent-elles contre l'exploitation ciné-capitaliste ? Comment se mettent-elles à valoir pour elles-mêmes ? Pourquoi le cinéma politique, depuis Straub et Huillet, a-t-il cessé de privilégier le tournage au bord de la mer ? Qu'est-ce qui permet à Deleuze d'affirmer qu'Ozu est un cinéaste de gauche ? Telles sont quelques-unes des questions abordées dans Ciné-capital.
« L'argent est l'envers de toutes les images que le cinéma montre et monte à l'endroit » écrit Gilles Deleuze dans le deuxième volet de Cinéma. Le capital est toujours derrière le cinéma. Le Capital hante Cinéma du début à la fin. C'est donc une lecture marxiste du diptyque composé de L'Image-mouvement et L'Image-temps que propose Jun Fujita dans Ciné-capital.
Comment fonctionne le mode de production ciné-capitaliste ? Comment celui-ci fait-il produire de la plus-value aux images ? Pourquoi et comment s'approprie-t-il le travail même du spectateur ? En quel sens peut-on soutenir qu'Eisenstein et Hitchcock ont anticipé l'arrivée de la New Economy des années 1990 (dématérialisation du travail et financiarisation de l'économie) ? Quand et comment les images s'insurgent-elles contre l'exploitation ciné-capitaliste ? Comment se mettent-elles à valoir pour elles-mêmes ? Pourquoi le cinéma politique, depuis Straub et Huillet, a-t-il cessé de privilégier le tournage au bord de la mer ? Qu'est-ce qui permet à Deleuze d'affirmer qu'Ozu est un cinéaste de gauche ? Telles sont quelques-unes des questions abordées dans Ciné-capital.




