Le ciel confisqué. Les relations incestueuses d'Air France et de l'Etat
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- Nombre de pages154
- FormatePub
- ISBN2-402-17742-X
- EAN9782402177429
- Date de parution01/01/1997
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille369 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Albi...
Résumé
Pourquoi la compagnie Air Liberté a-t-elle été contrainte au dépôt de bilan ? Comment se fait-il qu'un des actionnaires à l'origine de cette opération ait ensuite proposé de la reprendre ? Son fondateur, Lotfi Belhassine, a une idée précise des responsables de la manouvre. Certainement a-t-il payé son engagement en faveur des consommateurs. On ne s'attaque pas impunément au monopole du transport aérien...
Au fil de son livre, il nous plonge au cour de cet univers kafkaïen. En marge de la concurrence et parfois même de la légalité, une entreprise publique, Air France, et une administration, l'aviation civile, s'échangent leurs personnels et se rendent mutuellement des « petits services ». Dans la coulisse, des financiers et des banques d'affaires, bénéficiant de la « compréhension » de certains inspecteurs des Finances, agissent selon leur intérêt, manipulent les médias sans se soucier de la survie des entreprises.
Des pratiques douteuses, pour ne pas dire mafieuses, dont le « point d'orgue » fut les coups de feu qui, en 1996, auraient pu être fatals à Lotfi Belhassine. À la lumière du récit de ses aventures et mésaventures, l'ancien patron de la compagnie aérienne privée dresse un réquisitoire contre les dérives d'une bureaucratie qui favorise souvent des groupés particuliers au détriment de l'intérêt général.
Avec force, il dénonce les hauts mandarins d'autant plus prêts à tout pour perpétuer le capitalisme d'État à la française qu'ils en retirent un grand profit personnel.
Au fil de son livre, il nous plonge au cour de cet univers kafkaïen. En marge de la concurrence et parfois même de la légalité, une entreprise publique, Air France, et une administration, l'aviation civile, s'échangent leurs personnels et se rendent mutuellement des « petits services ». Dans la coulisse, des financiers et des banques d'affaires, bénéficiant de la « compréhension » de certains inspecteurs des Finances, agissent selon leur intérêt, manipulent les médias sans se soucier de la survie des entreprises.
Des pratiques douteuses, pour ne pas dire mafieuses, dont le « point d'orgue » fut les coups de feu qui, en 1996, auraient pu être fatals à Lotfi Belhassine. À la lumière du récit de ses aventures et mésaventures, l'ancien patron de la compagnie aérienne privée dresse un réquisitoire contre les dérives d'une bureaucratie qui favorise souvent des groupés particuliers au détriment de l'intérêt général.
Avec force, il dénonce les hauts mandarins d'autant plus prêts à tout pour perpétuer le capitalisme d'État à la française qu'ils en retirent un grand profit personnel.
Pourquoi la compagnie Air Liberté a-t-elle été contrainte au dépôt de bilan ? Comment se fait-il qu'un des actionnaires à l'origine de cette opération ait ensuite proposé de la reprendre ? Son fondateur, Lotfi Belhassine, a une idée précise des responsables de la manouvre. Certainement a-t-il payé son engagement en faveur des consommateurs. On ne s'attaque pas impunément au monopole du transport aérien...
Au fil de son livre, il nous plonge au cour de cet univers kafkaïen. En marge de la concurrence et parfois même de la légalité, une entreprise publique, Air France, et une administration, l'aviation civile, s'échangent leurs personnels et se rendent mutuellement des « petits services ». Dans la coulisse, des financiers et des banques d'affaires, bénéficiant de la « compréhension » de certains inspecteurs des Finances, agissent selon leur intérêt, manipulent les médias sans se soucier de la survie des entreprises.
Des pratiques douteuses, pour ne pas dire mafieuses, dont le « point d'orgue » fut les coups de feu qui, en 1996, auraient pu être fatals à Lotfi Belhassine. À la lumière du récit de ses aventures et mésaventures, l'ancien patron de la compagnie aérienne privée dresse un réquisitoire contre les dérives d'une bureaucratie qui favorise souvent des groupés particuliers au détriment de l'intérêt général.
Avec force, il dénonce les hauts mandarins d'autant plus prêts à tout pour perpétuer le capitalisme d'État à la française qu'ils en retirent un grand profit personnel.
Au fil de son livre, il nous plonge au cour de cet univers kafkaïen. En marge de la concurrence et parfois même de la légalité, une entreprise publique, Air France, et une administration, l'aviation civile, s'échangent leurs personnels et se rendent mutuellement des « petits services ». Dans la coulisse, des financiers et des banques d'affaires, bénéficiant de la « compréhension » de certains inspecteurs des Finances, agissent selon leur intérêt, manipulent les médias sans se soucier de la survie des entreprises.
Des pratiques douteuses, pour ne pas dire mafieuses, dont le « point d'orgue » fut les coups de feu qui, en 1996, auraient pu être fatals à Lotfi Belhassine. À la lumière du récit de ses aventures et mésaventures, l'ancien patron de la compagnie aérienne privée dresse un réquisitoire contre les dérives d'une bureaucratie qui favorise souvent des groupés particuliers au détriment de l'intérêt général.
Avec force, il dénonce les hauts mandarins d'autant plus prêts à tout pour perpétuer le capitalisme d'État à la française qu'ils en retirent un grand profit personnel.
