Le Choix d'un député. Un modèle explicatif du comportement électoral
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- Nombre de pages192
- FormatePub
- ISBN2-7073-3344-1
- EAN9782707333445
- Date de parution01/01/1973
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille4 Mo
- ÉditeurLes Éditions de Minuit (rééditio...
Résumé
Comment s'explique le vote des électeurs ? Comment peut-on le prévoir ? Comment peut-on l'influencer ? Pour répondre à ces questions, que se posent tous les hommes politiques, Denis Lindon, professeur au C. E. S. A. et Pierre Weill, directeur de la Sofres, qui avaient déjà écrit, en 1967, Les familles politiques aujourd'hui en France, ont construit et validé, à l'occasion des élections législatives de 1973, un modèle explicatif du comportement électoral.
En effet, tout se passe comme si le vote de chaque électeur résultait d'un processus relativement simple de comparaison et d'arbitrage entre les candidats en présence, processus dans lequel interviennent, avec des poids variables mais mesurables, une vingtaine de paramètres liés au tempérament politique de l'électeur, à son état d'esprit conjoncturel, et à l'image qu'il se fait des partis et des candidats.
Ce modèle permet d'expliquer les élections de 1973 et, en particulier, de mettre en lumière les raisons principales des votes pour chacune des grandes formations. Mais, surtout, il permet de simuler rétrospectivement (et permettre à l'avenir de simuler à l'avance) les effets sur les votes individuels et, par conséquent, sur l'issue d'un scrutin de telle ou telle campagne électorale hypothétique.
En effet, tout se passe comme si le vote de chaque électeur résultait d'un processus relativement simple de comparaison et d'arbitrage entre les candidats en présence, processus dans lequel interviennent, avec des poids variables mais mesurables, une vingtaine de paramètres liés au tempérament politique de l'électeur, à son état d'esprit conjoncturel, et à l'image qu'il se fait des partis et des candidats.
Ce modèle permet d'expliquer les élections de 1973 et, en particulier, de mettre en lumière les raisons principales des votes pour chacune des grandes formations. Mais, surtout, il permet de simuler rétrospectivement (et permettre à l'avenir de simuler à l'avance) les effets sur les votes individuels et, par conséquent, sur l'issue d'un scrutin de telle ou telle campagne électorale hypothétique.
Comment s'explique le vote des électeurs ? Comment peut-on le prévoir ? Comment peut-on l'influencer ? Pour répondre à ces questions, que se posent tous les hommes politiques, Denis Lindon, professeur au C. E. S. A. et Pierre Weill, directeur de la Sofres, qui avaient déjà écrit, en 1967, Les familles politiques aujourd'hui en France, ont construit et validé, à l'occasion des élections législatives de 1973, un modèle explicatif du comportement électoral.
En effet, tout se passe comme si le vote de chaque électeur résultait d'un processus relativement simple de comparaison et d'arbitrage entre les candidats en présence, processus dans lequel interviennent, avec des poids variables mais mesurables, une vingtaine de paramètres liés au tempérament politique de l'électeur, à son état d'esprit conjoncturel, et à l'image qu'il se fait des partis et des candidats.
Ce modèle permet d'expliquer les élections de 1973 et, en particulier, de mettre en lumière les raisons principales des votes pour chacune des grandes formations. Mais, surtout, il permet de simuler rétrospectivement (et permettre à l'avenir de simuler à l'avance) les effets sur les votes individuels et, par conséquent, sur l'issue d'un scrutin de telle ou telle campagne électorale hypothétique.
En effet, tout se passe comme si le vote de chaque électeur résultait d'un processus relativement simple de comparaison et d'arbitrage entre les candidats en présence, processus dans lequel interviennent, avec des poids variables mais mesurables, une vingtaine de paramètres liés au tempérament politique de l'électeur, à son état d'esprit conjoncturel, et à l'image qu'il se fait des partis et des candidats.
Ce modèle permet d'expliquer les élections de 1973 et, en particulier, de mettre en lumière les raisons principales des votes pour chacune des grandes formations. Mais, surtout, il permet de simuler rétrospectivement (et permettre à l'avenir de simuler à l'avance) les effets sur les votes individuels et, par conséquent, sur l'issue d'un scrutin de telle ou telle campagne électorale hypothétique.