Le chien de la Barbare. suivi de On ne récupère pas les bicyclettes le dimanche
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages96
- FormatePub
- ISBN978-2-84263-365-3
- EAN9782842633653
- Date de parution10/04/2013
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille317 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurLe Dilettante
Résumé
Toute ville a sa houle. Celle de Berlin est lourde, pesante, ville au ressac épais. Joubert se laisse porter par la ville, ballotté par elle, de-ci de-là, otage du courant. C'est un petit cours de dérive lucide qui, entre Fargue et Martin, nous est donné là, en quelques pages ; les jambes se laissent faire, l'oeil est en alerte, la narine reste pensive. C'est le corps qui pense et la tête qui marche.
Et toujours un chien, là, devant, qui quête quoi ? On ne sait. Lentement, l'homme qui suit le chien finit par se prendre pour lui, saisir qu'entre deux dérades rôdeuses, rien ne tranche. L'homme n'est qu'un chien des rues, il a simplement la narine plus haute et le droit aux terrasses.
Et toujours un chien, là, devant, qui quête quoi ? On ne sait. Lentement, l'homme qui suit le chien finit par se prendre pour lui, saisir qu'entre deux dérades rôdeuses, rien ne tranche. L'homme n'est qu'un chien des rues, il a simplement la narine plus haute et le droit aux terrasses.
Toute ville a sa houle. Celle de Berlin est lourde, pesante, ville au ressac épais. Joubert se laisse porter par la ville, ballotté par elle, de-ci de-là, otage du courant. C'est un petit cours de dérive lucide qui, entre Fargue et Martin, nous est donné là, en quelques pages ; les jambes se laissent faire, l'oeil est en alerte, la narine reste pensive. C'est le corps qui pense et la tête qui marche.
Et toujours un chien, là, devant, qui quête quoi ? On ne sait. Lentement, l'homme qui suit le chien finit par se prendre pour lui, saisir qu'entre deux dérades rôdeuses, rien ne tranche. L'homme n'est qu'un chien des rues, il a simplement la narine plus haute et le droit aux terrasses.
Et toujours un chien, là, devant, qui quête quoi ? On ne sait. Lentement, l'homme qui suit le chien finit par se prendre pour lui, saisir qu'entre deux dérades rôdeuses, rien ne tranche. L'homme n'est qu'un chien des rues, il a simplement la narine plus haute et le droit aux terrasses.