Le Carnet de danse. suivi de Celle qui m'aime
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- Nombre de pages64
- FormatePub
- ISBN2-7555-0265-7
- EAN9782755502657
- Date de parution26/05/2004
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille76 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFayard/Mille et une nuits
Résumé
Lorsque Émile Zola écrit ces deux contes, qui seront publiés, avec six autres récits, sous le titre Contes à Ninon, en 1864, il n'a que vingt-deux ans. II a alors pris conscience de sa véritable nature, celle d'un observateur de moeurs : « Le Carnet de danse », qui passe en revue les cavaliers de Georgette, dévoile les coquetteries des bals mondains et les déceptions de sa première rencontre avec les hommes ; « Celle qui m'aime » est une pauvre fille qui gagne quelques sous en se laissant contempler dans une baraque de foire, derrière une glace sans tain, en envoyant des baisers à des spectateurs qu'elle ne voit pas...
Pour Henri Mitterand, ces nouvelles portent en elles « des fantasmes et des ressources d'écriture où se dessine déjà la carte d'identité du génie zolien. »
Pour Henri Mitterand, ces nouvelles portent en elles « des fantasmes et des ressources d'écriture où se dessine déjà la carte d'identité du génie zolien. »
Lorsque Émile Zola écrit ces deux contes, qui seront publiés, avec six autres récits, sous le titre Contes à Ninon, en 1864, il n'a que vingt-deux ans. II a alors pris conscience de sa véritable nature, celle d'un observateur de moeurs : « Le Carnet de danse », qui passe en revue les cavaliers de Georgette, dévoile les coquetteries des bals mondains et les déceptions de sa première rencontre avec les hommes ; « Celle qui m'aime » est une pauvre fille qui gagne quelques sous en se laissant contempler dans une baraque de foire, derrière une glace sans tain, en envoyant des baisers à des spectateurs qu'elle ne voit pas...
Pour Henri Mitterand, ces nouvelles portent en elles « des fantasmes et des ressources d'écriture où se dessine déjà la carte d'identité du génie zolien. »
Pour Henri Mitterand, ces nouvelles portent en elles « des fantasmes et des ressources d'écriture où se dessine déjà la carte d'identité du génie zolien. »