Maitre de Conférences-CAMES, Dr N'GUESSAN Kouassi Guillaume est géographe (Option rurale) à l'Université Jean Lorougnon Guédé (Daloa – Côte d'Ivoire). Il est Chef de Département de Géographie, Coordinateur Général du Groupe de Recherche Interdisciplinaire pour le Développement des Espaces Ruraux (GRIDER), Initiateur du Congrès Universitaire du Cacao (CUC).
Le cacao, les défis nationaux d’une filière stratégique dans la lutte contre la pauvreté en Afrique de l’Ouest. Tome 1, Recherche scientifique, encadrement agricole et cacaoculture durable
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- Nombre de pages476
- FormatPDF
- ISBN978-2-336-44286-0
- EAN9782336442860
- Date de parution21/11/2024
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille27 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Le cacao représente à ce jour pour de nombreux pays africains la principale source de devise. Selon la Food and Agriculture Organization (FAO - 2021), l'Afrique de l'Ouest produit et exporte 65% des fèves de cacao dans le monde. Dans cette région, la Côte d'Ivoire et le Ghana fournissent 50% de l'offre mondiale, avec 40% de part pour la Côte d'Ivoire. Pilier de l'économie ivoirienne, le cacao procure à ce pays 30% des recettes d'exportation.
Cette prouesse repose sur plusieurs facteurs entre autres un engagement considérable de la recherche scientifique qui promeut de nouvelles variétés et itinéraires techniques qui produisent une dynamique de l'activité. Cependant les récents constats font état d'une déforestation dont l'un des principaux facteurs est le cacao ivoirien. En d'autres termes le cacao ivoirien dans sa con?guration est source de déforestation du fait du refus d'un basculement vers une cacaoculture durable, plus responsable et respectueuse des normes environnementales.
Ce cacao classique fait ? des risques climatiques. Ainsi, il apparaît plus que nécessaire que les encadrements à l'endroit des paysans s'inscrivent dans une telle initiative a?n d'aboutir à une cacaoculture durable sur toute l'étendue du territoire national.
Cette prouesse repose sur plusieurs facteurs entre autres un engagement considérable de la recherche scientifique qui promeut de nouvelles variétés et itinéraires techniques qui produisent une dynamique de l'activité. Cependant les récents constats font état d'une déforestation dont l'un des principaux facteurs est le cacao ivoirien. En d'autres termes le cacao ivoirien dans sa con?guration est source de déforestation du fait du refus d'un basculement vers une cacaoculture durable, plus responsable et respectueuse des normes environnementales.
Ce cacao classique fait ? des risques climatiques. Ainsi, il apparaît plus que nécessaire que les encadrements à l'endroit des paysans s'inscrivent dans une telle initiative a?n d'aboutir à une cacaoculture durable sur toute l'étendue du territoire national.
Le cacao représente à ce jour pour de nombreux pays africains la principale source de devise. Selon la Food and Agriculture Organization (FAO - 2021), l'Afrique de l'Ouest produit et exporte 65% des fèves de cacao dans le monde. Dans cette région, la Côte d'Ivoire et le Ghana fournissent 50% de l'offre mondiale, avec 40% de part pour la Côte d'Ivoire. Pilier de l'économie ivoirienne, le cacao procure à ce pays 30% des recettes d'exportation.
Cette prouesse repose sur plusieurs facteurs entre autres un engagement considérable de la recherche scientifique qui promeut de nouvelles variétés et itinéraires techniques qui produisent une dynamique de l'activité. Cependant les récents constats font état d'une déforestation dont l'un des principaux facteurs est le cacao ivoirien. En d'autres termes le cacao ivoirien dans sa con?guration est source de déforestation du fait du refus d'un basculement vers une cacaoculture durable, plus responsable et respectueuse des normes environnementales.
Ce cacao classique fait ? des risques climatiques. Ainsi, il apparaît plus que nécessaire que les encadrements à l'endroit des paysans s'inscrivent dans une telle initiative a?n d'aboutir à une cacaoculture durable sur toute l'étendue du territoire national.
Cette prouesse repose sur plusieurs facteurs entre autres un engagement considérable de la recherche scientifique qui promeut de nouvelles variétés et itinéraires techniques qui produisent une dynamique de l'activité. Cependant les récents constats font état d'une déforestation dont l'un des principaux facteurs est le cacao ivoirien. En d'autres termes le cacao ivoirien dans sa con?guration est source de déforestation du fait du refus d'un basculement vers une cacaoculture durable, plus responsable et respectueuse des normes environnementales.
Ce cacao classique fait ? des risques climatiques. Ainsi, il apparaît plus que nécessaire que les encadrements à l'endroit des paysans s'inscrivent dans une telle initiative a?n d'aboutir à une cacaoculture durable sur toute l'étendue du territoire national.