Le bout des peines
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- Nombre de pages260
- FormatePub
- ISBN2-307-07918-1
- EAN9782307079187
- Date de parution01/01/1955
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille573 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Albi...
Résumé
Avec un grand art simple, Jean Lefebvre a écrit un premier roman, d'où se dégage une belle émotion. Après avoir connu maintes difficultés, Louis Lafitte, en 1937, s'installe en compagnie de sa mère dans la petite commune de Ferrières, où il vient d'être nommé instituteur. La paix, qu'il croit avoir enfin conquise, sera bientôt troublée par « les gens du château » dont la puissance s'étend encore sur le pays.
Il suffit que le maire soit le comte d'Allirol, et que sa belle-mère subventionne l'école libre, pour que le jeune instituteur ait à faire face à plusieurs incidents fort désagréables. Or, Louis Lafitte ne tarde pas à s'éprendre de Bérengère, fille du comte d'Allirol. Ils se rencontrent secrètement à La Bergerie, petite maison appartenant au fils du comte, qui y entasse ses souvenirs de voyage. Le comte apprend la liaison de sa fille, et surprend les deux amants au moment même où ils vont s'enfuir.
Le drame alors éclate, et sa violence se répercutera sur tous les personnages. L'arrière-plan de ce roman, c'est la chronique d'un village, la peinture de personnages connus : le châtelain, le médecin radical, le prêtre, l'instituteur. Mais la façon dont ils participent au drame, leur restitue un pittoresque très singulier. Les souffrances de la mère de Louis Lafitte, et l'amour des deux jeunes gens, relèguent vite au second plan les querelles mesquines qui divisent le village.
Il ne reste plus alors que le conflit de cours déchirés. C'est bien cette vérité des êtres, cette nudité des sentiments, qui font, en fin de compte, du roman de Jean Lefebvre, une ouvre particulièrement touchante.
Il suffit que le maire soit le comte d'Allirol, et que sa belle-mère subventionne l'école libre, pour que le jeune instituteur ait à faire face à plusieurs incidents fort désagréables. Or, Louis Lafitte ne tarde pas à s'éprendre de Bérengère, fille du comte d'Allirol. Ils se rencontrent secrètement à La Bergerie, petite maison appartenant au fils du comte, qui y entasse ses souvenirs de voyage. Le comte apprend la liaison de sa fille, et surprend les deux amants au moment même où ils vont s'enfuir.
Le drame alors éclate, et sa violence se répercutera sur tous les personnages. L'arrière-plan de ce roman, c'est la chronique d'un village, la peinture de personnages connus : le châtelain, le médecin radical, le prêtre, l'instituteur. Mais la façon dont ils participent au drame, leur restitue un pittoresque très singulier. Les souffrances de la mère de Louis Lafitte, et l'amour des deux jeunes gens, relèguent vite au second plan les querelles mesquines qui divisent le village.
Il ne reste plus alors que le conflit de cours déchirés. C'est bien cette vérité des êtres, cette nudité des sentiments, qui font, en fin de compte, du roman de Jean Lefebvre, une ouvre particulièrement touchante.
Avec un grand art simple, Jean Lefebvre a écrit un premier roman, d'où se dégage une belle émotion. Après avoir connu maintes difficultés, Louis Lafitte, en 1937, s'installe en compagnie de sa mère dans la petite commune de Ferrières, où il vient d'être nommé instituteur. La paix, qu'il croit avoir enfin conquise, sera bientôt troublée par « les gens du château » dont la puissance s'étend encore sur le pays.
Il suffit que le maire soit le comte d'Allirol, et que sa belle-mère subventionne l'école libre, pour que le jeune instituteur ait à faire face à plusieurs incidents fort désagréables. Or, Louis Lafitte ne tarde pas à s'éprendre de Bérengère, fille du comte d'Allirol. Ils se rencontrent secrètement à La Bergerie, petite maison appartenant au fils du comte, qui y entasse ses souvenirs de voyage. Le comte apprend la liaison de sa fille, et surprend les deux amants au moment même où ils vont s'enfuir.
Le drame alors éclate, et sa violence se répercutera sur tous les personnages. L'arrière-plan de ce roman, c'est la chronique d'un village, la peinture de personnages connus : le châtelain, le médecin radical, le prêtre, l'instituteur. Mais la façon dont ils participent au drame, leur restitue un pittoresque très singulier. Les souffrances de la mère de Louis Lafitte, et l'amour des deux jeunes gens, relèguent vite au second plan les querelles mesquines qui divisent le village.
Il ne reste plus alors que le conflit de cours déchirés. C'est bien cette vérité des êtres, cette nudité des sentiments, qui font, en fin de compte, du roman de Jean Lefebvre, une ouvre particulièrement touchante.
Il suffit que le maire soit le comte d'Allirol, et que sa belle-mère subventionne l'école libre, pour que le jeune instituteur ait à faire face à plusieurs incidents fort désagréables. Or, Louis Lafitte ne tarde pas à s'éprendre de Bérengère, fille du comte d'Allirol. Ils se rencontrent secrètement à La Bergerie, petite maison appartenant au fils du comte, qui y entasse ses souvenirs de voyage. Le comte apprend la liaison de sa fille, et surprend les deux amants au moment même où ils vont s'enfuir.
Le drame alors éclate, et sa violence se répercutera sur tous les personnages. L'arrière-plan de ce roman, c'est la chronique d'un village, la peinture de personnages connus : le châtelain, le médecin radical, le prêtre, l'instituteur. Mais la façon dont ils participent au drame, leur restitue un pittoresque très singulier. Les souffrances de la mère de Louis Lafitte, et l'amour des deux jeunes gens, relèguent vite au second plan les querelles mesquines qui divisent le village.
Il ne reste plus alors que le conflit de cours déchirés. C'est bien cette vérité des êtres, cette nudité des sentiments, qui font, en fin de compte, du roman de Jean Lefebvre, une ouvre particulièrement touchante.












