Le bourreau de Gaudi

Par : Aro Sáinz de la Maza
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  • Nombre de pages668
  • FormatePub
  • ISBN978-2-330-03767-3
  • EAN9782330037673
  • Date de parution03/09/2014
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille993 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurActes Sud
  • TraducteurSerge Mestre

Résumé

Une enquête palpitante sur la piste de Gaudí, du symbolisme maçonnique et des expropriations subies par de nombreux habitants de Barcelone sacrifiés sur l'autel de la modernité et du tourisme. La face obscure de "la ville des prodiges".
Une enquête palpitante sur la piste de Gaudí, du symbolisme maçonnique et des expropriations subies par de nombreux habitants de Barcelone sacrifiés sur l'autel de la modernité et du tourisme. La face obscure de "la ville des prodiges".

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3.3/5
sur 4 notes dont 3 avis lecteurs
Le bourreau de Gaudi
MAGISTRAL ! Pour le premier roman policier de l’auteur, celui-ci entre directement dans la cour des grands. Ce polar est mené de bout en bout fort intelligemment, on ne lâche pas un tel livre si bien écrit. Tous les ingrédients sont là : pressions politiques, énigmes maçonniques, moeurs dissolues et presse à sensation, sans oublier une touche d’humour avec les tee-shirts de la sous-inspectrice, la futur ex-femme de Milo qui ne cesse de le harceler au téléphone, et la douleur non cicatrisé du héros. Un roman riche avec pour toile de fond la ville de Barcelone (et un peu la Barcelonetta) et l’oeuvre incontournable du génie incompris de son temps, Gaudi. L’auteur dresse un portrait d’une ville devenue une sorte de Disneyland autour des oeuvres de l’architecte. Ce qu’on ne pourrait lui reprocher. On sent tout de même un faible pour la Sagrada Familia, si bien décrite. Avec les inspecteurs, on parcours les rues de la ville de fond en comble, des quartiers le plus chics aux quartiers touristiques. (Manque peut-être le Barrio Gotico, mais il n’est pas praticable en voiture). LE roman policier de l’été. L’image que je retiendrai : Celle de la cellule d’enfermement des victimes, dessinée par Gaudi, et reproduite à l’identique. https://alexmotamots.wordpress.com/2015/07/10/le-bourreau-de-gaudi-aro-sainz-de-la-maza
MAGISTRAL ! Pour le premier roman policier de l’auteur, celui-ci entre directement dans la cour des grands. Ce polar est mené de bout en bout fort intelligemment, on ne lâche pas un tel livre si bien écrit. Tous les ingrédients sont là : pressions politiques, énigmes maçonniques, moeurs dissolues et presse à sensation, sans oublier une touche d’humour avec les tee-shirts de la sous-inspectrice, la futur ex-femme de Milo qui ne cesse de le harceler au téléphone, et la douleur non cicatrisé du héros. Un roman riche avec pour toile de fond la ville de Barcelone (et un peu la Barcelonetta) et l’oeuvre incontournable du génie incompris de son temps, Gaudi. L’auteur dresse un portrait d’une ville devenue une sorte de Disneyland autour des oeuvres de l’architecte. Ce qu’on ne pourrait lui reprocher. On sent tout de même un faible pour la Sagrada Familia, si bien décrite. Avec les inspecteurs, on parcours les rues de la ville de fond en comble, des quartiers le plus chics aux quartiers touristiques. (Manque peut-être le Barrio Gotico, mais il n’est pas praticable en voiture). LE roman policier de l’été. L’image que je retiendrai : Celle de la cellule d’enfermement des victimes, dessinée par Gaudi, et reproduite à l’identique. https://alexmotamots.wordpress.com/2015/07/10/le-bourreau-de-gaudi-aro-sainz-de-la-maza
  • Barcelone
  • policier
Déception
La Predera, fierté de Barcelone qui exhibe les œuvres de Gaudi comme les bijoux qu'ils sont, vient d'être le lieu d'une sordide mise à mort. Après cinq jours de captivité, Eduard Pinto y a été brûlé vif par un tueur insaisissable qui donne du fil à retordre au GEHME, le groupe spécial homicides de la ville. Pour les sortir de l'impasse, la juge Cabot possède un atout maître : Camilo Malart, Milo pour les intimes. Ce flic intuitif et pugnace a été mis à pied et attend son procès après que son neveu Marc ait subtilisé son arme de service pour se mettre une balle dans la tête. Emotionnellement instable et très perturbé, Milo est réintégré dans le groupe, à condition de suivre une thérapie et d'être chaperonné par la sous-inspectrice Rebeca Mercader. Ensemble, ils se lancent sur les traces d'un cruel tueur qu'ils soupçonnent prêt à récidiver; théorie qui se confirme quand un deuxième notable de la ville est enlevé. Lire Le bourreau de Gaudi, c'est d'abord visiter Barcelone en passant par l'héritage que lui a laissé le génial architecte, la Pedrera, le parc Güell, la Sagrada Familia, entre autres. Mais la visite est loin d'être touristique puisque le propos de l'auteur est surtout de dénoncer les côtés sombres de la capitale catalane : tourisme à outrance, expropriation en masse, pouvoir aux mains d'une centaine de riches familles bien établies et souvent corrompues. Ces facettes de la ville, mises en lumières avec une certaine insistance, finissent d'ailleurs par lasser le lecteur qui n'en peut plus de tant de noirceur et de perversité. L'écriture lourde n'arrange pas l'affaire et la profusion de détails inutiles non plus. On pourrait aisément utiliser ce polar à la place d'un guide Michelin pour conduire dans les rues de la ville, tant le parcours automobile des protagonistes y est décrit avec minutie. Autre défaut de taille, la psychologie des personnages qui ne fait pas dans la dentelle. Le gros pervers sexuel qui entraîne dans son sillage un tas de gros pervers, à croire que tous les notables barcelonais se vautrent dans la luxure, la juge incorruptible, les flics détestables, le chef de groupe qui n'est pas issu des rangs de la police et donc ne peut être un bon chef, le tueur ravagé par des blessures d'enfance, et, bien sûr, le héros héroïque, Milo Malart. Un flic heureux et bien dans sa peau aurait fait tâche dans le paysage, il est donc très très perturbé. Et pour cause ! Son neveu s'est suicidé avec son arme de service, son frère le déteste, sa femme l'a quitté, son père est à l'asile pour cause de schizophrénie et bien sûr tous ses collègues se méfient de lui. Heureusement, il est très doué dans son métier, grâce d'ailleurs, non à son flair, mais à son ''antenne parabolique'' qui le guide dans les pas du tueur et surtout dans sa tête, lui permettant de presque lire ses pensées et de prévoir ses actes. Son physique n'est pas détaillé mais il doit avoir un charme fou malgré son manque de sommeil et sa tendance à fuir le rasoir puisque son chaperon, la sous-inspectrice Mercader, fan de toutes les branches de la police américaine dont elle arbore les T-shirts jours après jours, lui tombe dans les bras sans qu'il ait à tenter le moindre geste galant. Il la rabroue systématiquement, lui parle comme on ne parlerait pas à un chien, et, quand il se laisse aller à sa tendre nature, l'appelle ''vilaine fille'', ce qui est particulièrement agaçant. Bref, à part bavarder sans cesse, poser des questions stupides et vouloir encore et encore coucher avec lui, elle n'est d'aucune utilité, et ce, bien qu'elle ait effectué un stage à Quantico ...sauf peut-être quand Milo la guide sur le chemin de la vérité. Bref les 400 premières pages sont terriblement bavardes, entre errances dans les méandres de la psychologie de Milo, théories sur l'architecture et la franc-maçonnerie, vaines recherches et parcours fléchés dans les rues de Barcelone. Heureusement, tout s'accélère dans les 200 dernières pages, le roman prend enfin son rythme de croisière mais il est trop tard, on est lassé, fatigué, déçu et on termine en espérant ne plus jamais croiser la route de Milo, Rebeca et Barcelone. Dommage !
La Predera, fierté de Barcelone qui exhibe les œuvres de Gaudi comme les bijoux qu'ils sont, vient d'être le lieu d'une sordide mise à mort. Après cinq jours de captivité, Eduard Pinto y a été brûlé vif par un tueur insaisissable qui donne du fil à retordre au GEHME, le groupe spécial homicides de la ville. Pour les sortir de l'impasse, la juge Cabot possède un atout maître : Camilo Malart, Milo pour les intimes. Ce flic intuitif et pugnace a été mis à pied et attend son procès après que son neveu Marc ait subtilisé son arme de service pour se mettre une balle dans la tête. Emotionnellement instable et très perturbé, Milo est réintégré dans le groupe, à condition de suivre une thérapie et d'être chaperonné par la sous-inspectrice Rebeca Mercader. Ensemble, ils se lancent sur les traces d'un cruel tueur qu'ils soupçonnent prêt à récidiver; théorie qui se confirme quand un deuxième notable de la ville est enlevé. Lire Le bourreau de Gaudi, c'est d'abord visiter Barcelone en passant par l'héritage que lui a laissé le génial architecte, la Pedrera, le parc Güell, la Sagrada Familia, entre autres. Mais la visite est loin d'être touristique puisque le propos de l'auteur est surtout de dénoncer les côtés sombres de la capitale catalane : tourisme à outrance, expropriation en masse, pouvoir aux mains d'une centaine de riches familles bien établies et souvent corrompues. Ces facettes de la ville, mises en lumières avec une certaine insistance, finissent d'ailleurs par lasser le lecteur qui n'en peut plus de tant de noirceur et de perversité. L'écriture lourde n'arrange pas l'affaire et la profusion de détails inutiles non plus. On pourrait aisément utiliser ce polar à la place d'un guide Michelin pour conduire dans les rues de la ville, tant le parcours automobile des protagonistes y est décrit avec minutie. Autre défaut de taille, la psychologie des personnages qui ne fait pas dans la dentelle. Le gros pervers sexuel qui entraîne dans son sillage un tas de gros pervers, à croire que tous les notables barcelonais se vautrent dans la luxure, la juge incorruptible, les flics détestables, le chef de groupe qui n'est pas issu des rangs de la police et donc ne peut être un bon chef, le tueur ravagé par des blessures d'enfance, et, bien sûr, le héros héroïque, Milo Malart. Un flic heureux et bien dans sa peau aurait fait tâche dans le paysage, il est donc très très perturbé. Et pour cause ! Son neveu s'est suicidé avec son arme de service, son frère le déteste, sa femme l'a quitté, son père est à l'asile pour cause de schizophrénie et bien sûr tous ses collègues se méfient de lui. Heureusement, il est très doué dans son métier, grâce d'ailleurs, non à son flair, mais à son ''antenne parabolique'' qui le guide dans les pas du tueur et surtout dans sa tête, lui permettant de presque lire ses pensées et de prévoir ses actes. Son physique n'est pas détaillé mais il doit avoir un charme fou malgré son manque de sommeil et sa tendance à fuir le rasoir puisque son chaperon, la sous-inspectrice Mercader, fan de toutes les branches de la police américaine dont elle arbore les T-shirts jours après jours, lui tombe dans les bras sans qu'il ait à tenter le moindre geste galant. Il la rabroue systématiquement, lui parle comme on ne parlerait pas à un chien, et, quand il se laisse aller à sa tendre nature, l'appelle ''vilaine fille'', ce qui est particulièrement agaçant. Bref, à part bavarder sans cesse, poser des questions stupides et vouloir encore et encore coucher avec lui, elle n'est d'aucune utilité, et ce, bien qu'elle ait effectué un stage à Quantico ...sauf peut-être quand Milo la guide sur le chemin de la vérité. Bref les 400 premières pages sont terriblement bavardes, entre errances dans les méandres de la psychologie de Milo, théories sur l'architecture et la franc-maçonnerie, vaines recherches et parcours fléchés dans les rues de Barcelone. Heureusement, tout s'accélère dans les 200 dernières pages, le roman prend enfin son rythme de croisière mais il est trop tard, on est lassé, fatigué, déçu et on termine en espérant ne plus jamais croiser la route de Milo, Rebeca et Barcelone. Dommage !
3/5
Enquête dans le Barcelone de Gaudi
Un gros bouquin de plus de 600 pages qui m'a fait hésiter avant de le démarrer. Le début du roman m'a paru long à se mettre en place. Mais au final une histoire prenante et plutôt bien faite. Originale aussi par l'utilisation de l'oeuvre de Gaudi Et puis les descriptions de l'auteur sont suffisamment précises pour qui connait un peu Barcelone, pour avoir le sentiment d'accompagner le héros lors de ses déplacements dans cette belle ville Catalane.
Un gros bouquin de plus de 600 pages qui m'a fait hésiter avant de le démarrer. Le début du roman m'a paru long à se mettre en place. Mais au final une histoire prenante et plutôt bien faite. Originale aussi par l'utilisation de l'oeuvre de Gaudi Et puis les descriptions de l'auteur sont suffisamment précises pour qui connait un peu Barcelone, pour avoir le sentiment d'accompagner le héros lors de ses déplacements dans cette belle ville Catalane.
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