Le bonheur ou la vérité ?. Impressions de rentrée en terminale
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- Nombre de pages224
- FormatPDF
- ISBN978-2-14-015102-6
- EAN9782140151026
- Date de parution05/06/2020
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille3 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierFrancis Métivier
Résumé
Cet essai-fiction pourrait tout à fait s'inscrire dans une certaine continuité avec le petit livre de Lipman, La découverte d'Harry Stottlemeier, publié chez Vrin en 1978 et en faveur du développement de l'enseignement et de l'initiation à l'exercice de la philosophie. En effet, cet ouvrage montre à quel point il est nécessaire de donner à réfléchir à notre jeunesse, et pourquoi pas par le biais de la fiction et du roman ? Tant il nous faut faire feu de tout bois et profiter de la « modernité » et d'une possible culture populaire comme le proposait déjà Deleuze, ou comme le font toujours aujourd'hui Francis Métivier ou
Thibaut Giraud entre autres.
Ainsi, par la mise en scène d'un groupe d'élèves, au travers du cours de philosophie du jeune professeur Weir, l'idée est bien celle de divertir tout en transmettant la connaissance, en apportant des moyens méthodiques, voire méthodologiques, et donc en cherchant à susciter l'étonnement, puis l'effort, en vue de l'appropriation de ladite théorie de la connaissance...
Ainsi, par la mise en scène d'un groupe d'élèves, au travers du cours de philosophie du jeune professeur Weir, l'idée est bien celle de divertir tout en transmettant la connaissance, en apportant des moyens méthodiques, voire méthodologiques, et donc en cherchant à susciter l'étonnement, puis l'effort, en vue de l'appropriation de ladite théorie de la connaissance...
Cet essai-fiction pourrait tout à fait s'inscrire dans une certaine continuité avec le petit livre de Lipman, La découverte d'Harry Stottlemeier, publié chez Vrin en 1978 et en faveur du développement de l'enseignement et de l'initiation à l'exercice de la philosophie. En effet, cet ouvrage montre à quel point il est nécessaire de donner à réfléchir à notre jeunesse, et pourquoi pas par le biais de la fiction et du roman ? Tant il nous faut faire feu de tout bois et profiter de la « modernité » et d'une possible culture populaire comme le proposait déjà Deleuze, ou comme le font toujours aujourd'hui Francis Métivier ou
Thibaut Giraud entre autres.
Ainsi, par la mise en scène d'un groupe d'élèves, au travers du cours de philosophie du jeune professeur Weir, l'idée est bien celle de divertir tout en transmettant la connaissance, en apportant des moyens méthodiques, voire méthodologiques, et donc en cherchant à susciter l'étonnement, puis l'effort, en vue de l'appropriation de ladite théorie de la connaissance...
Ainsi, par la mise en scène d'un groupe d'élèves, au travers du cours de philosophie du jeune professeur Weir, l'idée est bien celle de divertir tout en transmettant la connaissance, en apportant des moyens méthodiques, voire méthodologiques, et donc en cherchant à susciter l'étonnement, puis l'effort, en vue de l'appropriation de ladite théorie de la connaissance...






