Le Banquet de Pauline Schmitt Pantel. Genre, moeurs et politique dans l'Antiquité grecque et romaine
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- Nombre de pages585
- FormatMulti-format
- ISBN979-10-351-0158-9
- EAN9791035101589
- Date de parution17/09/2019
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurEditions de la Sorbonne
Résumé
Historienne et enseignante du monde grec, Pauline Schmitt Pantel a incontestablement marqué plusieurs générations de chercheurs et de chercheuses, tout en s'adressant à un large public intéressé par la Grèce antique. Au fil des années, elle a contribué non seulement à renouveler des thématiques classiques en histoire politique, sociale et religieuse, mais aussi à défricher de nouveaux champs de recherche comme l'histoire des femmes et du genre.
Depuis sa thèse d'État sur La Cité au banquet, qui éleva le repas commun au rang de « fait social total », jusqu'à son tout récent ouvrage sur les Hommes illustres de Plutarque, qui bouleverse bien des certitudes sur l'identité politique dans l'Athènes classique, en passant par Aithra et Pandora, où elle se penche sur la construction sociale du féminin et du masculin, l'historienne a soumis de nombreux domaines à sa volonté de savoir et d'interroger pratiques et discours grecs, en croisant sources littéraires, épigraphiques et iconographiques.
Ses collègues et amis, français et étrangers, ainsi que ses étudiants ont ressenti l'envie et le besoin d'offrir un banquet d'hommages à Pauline Schmitt Pantel, qui a su faire vivre et défendre avec détermination les pratiques de sociabilité comme lieu d'échange, de collaboration, de formation et d'expérimentation du politique, aussi bien dans les cités grecques que dans l'équipe de recherche en histoire ancienne qu'elle a contribué à fonder dans les universités Paris 1 et Paris 7, Phéacie, désormais intégrée dans le centre de recherches Anhima.
Depuis sa thèse d'État sur La Cité au banquet, qui éleva le repas commun au rang de « fait social total », jusqu'à son tout récent ouvrage sur les Hommes illustres de Plutarque, qui bouleverse bien des certitudes sur l'identité politique dans l'Athènes classique, en passant par Aithra et Pandora, où elle se penche sur la construction sociale du féminin et du masculin, l'historienne a soumis de nombreux domaines à sa volonté de savoir et d'interroger pratiques et discours grecs, en croisant sources littéraires, épigraphiques et iconographiques.
Ses collègues et amis, français et étrangers, ainsi que ses étudiants ont ressenti l'envie et le besoin d'offrir un banquet d'hommages à Pauline Schmitt Pantel, qui a su faire vivre et défendre avec détermination les pratiques de sociabilité comme lieu d'échange, de collaboration, de formation et d'expérimentation du politique, aussi bien dans les cités grecques que dans l'équipe de recherche en histoire ancienne qu'elle a contribué à fonder dans les universités Paris 1 et Paris 7, Phéacie, désormais intégrée dans le centre de recherches Anhima.
Historienne et enseignante du monde grec, Pauline Schmitt Pantel a incontestablement marqué plusieurs générations de chercheurs et de chercheuses, tout en s'adressant à un large public intéressé par la Grèce antique. Au fil des années, elle a contribué non seulement à renouveler des thématiques classiques en histoire politique, sociale et religieuse, mais aussi à défricher de nouveaux champs de recherche comme l'histoire des femmes et du genre.
Depuis sa thèse d'État sur La Cité au banquet, qui éleva le repas commun au rang de « fait social total », jusqu'à son tout récent ouvrage sur les Hommes illustres de Plutarque, qui bouleverse bien des certitudes sur l'identité politique dans l'Athènes classique, en passant par Aithra et Pandora, où elle se penche sur la construction sociale du féminin et du masculin, l'historienne a soumis de nombreux domaines à sa volonté de savoir et d'interroger pratiques et discours grecs, en croisant sources littéraires, épigraphiques et iconographiques.
Ses collègues et amis, français et étrangers, ainsi que ses étudiants ont ressenti l'envie et le besoin d'offrir un banquet d'hommages à Pauline Schmitt Pantel, qui a su faire vivre et défendre avec détermination les pratiques de sociabilité comme lieu d'échange, de collaboration, de formation et d'expérimentation du politique, aussi bien dans les cités grecques que dans l'équipe de recherche en histoire ancienne qu'elle a contribué à fonder dans les universités Paris 1 et Paris 7, Phéacie, désormais intégrée dans le centre de recherches Anhima.
Depuis sa thèse d'État sur La Cité au banquet, qui éleva le repas commun au rang de « fait social total », jusqu'à son tout récent ouvrage sur les Hommes illustres de Plutarque, qui bouleverse bien des certitudes sur l'identité politique dans l'Athènes classique, en passant par Aithra et Pandora, où elle se penche sur la construction sociale du féminin et du masculin, l'historienne a soumis de nombreux domaines à sa volonté de savoir et d'interroger pratiques et discours grecs, en croisant sources littéraires, épigraphiques et iconographiques.
Ses collègues et amis, français et étrangers, ainsi que ses étudiants ont ressenti l'envie et le besoin d'offrir un banquet d'hommages à Pauline Schmitt Pantel, qui a su faire vivre et défendre avec détermination les pratiques de sociabilité comme lieu d'échange, de collaboration, de formation et d'expérimentation du politique, aussi bien dans les cités grecques que dans l'équipe de recherche en histoire ancienne qu'elle a contribué à fonder dans les universités Paris 1 et Paris 7, Phéacie, désormais intégrée dans le centre de recherches Anhima.












