Le 36, quai des Orfèvres. A la croisée de l'histoire et du fait divers
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- Nombre de pages252
- FormatePub
- ISBN978-2-13-074176-3
- EAN9782130741763
- Date de parution17/09/2015
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurPUF
- PréfacierJean-Marc Berlière
Résumé
Héritière de la Lieutenance générale, la police judiciaire parisienne s'installe au 36, quai des Orfèvres dans la seconde moitié du XIXe siècle, après l'incendie du palais de justice qui a ravagé durant la Commune les anciens locaux de la police criminelle rue de Jérusalem. Dirigée par des hommes charismatiques tels que Vidocq, Canler ou Goron, l'adresse devient celle d'une véritable institution en 1913 avec la naissance d'une direction autonome sous l'impulsion de Célestin Hennion, le successeur de Louis Lépine.
Liée à nombre d'événements tragiques des IIIe, IVe et Ve Républiques (affaires Stavisky, Petiot, Ben Barka, attentat du Petit-Clamart, Action directe, etc.), la « maison de la mort » traverse un XXe siècle politiquement instable où les réussites largement médiatisées de la Brigade criminelle et de l'antigang créée en 1964, mais aussi les nombreux romans de Simenon et les films de Clouzot et de Marchal, rendent le lieu tour à tour mystérieux, effrayant ou mythique.
Liée à nombre d'événements tragiques des IIIe, IVe et Ve Républiques (affaires Stavisky, Petiot, Ben Barka, attentat du Petit-Clamart, Action directe, etc.), la « maison de la mort » traverse un XXe siècle politiquement instable où les réussites largement médiatisées de la Brigade criminelle et de l'antigang créée en 1964, mais aussi les nombreux romans de Simenon et les films de Clouzot et de Marchal, rendent le lieu tour à tour mystérieux, effrayant ou mythique.
Héritière de la Lieutenance générale, la police judiciaire parisienne s'installe au 36, quai des Orfèvres dans la seconde moitié du XIXe siècle, après l'incendie du palais de justice qui a ravagé durant la Commune les anciens locaux de la police criminelle rue de Jérusalem. Dirigée par des hommes charismatiques tels que Vidocq, Canler ou Goron, l'adresse devient celle d'une véritable institution en 1913 avec la naissance d'une direction autonome sous l'impulsion de Célestin Hennion, le successeur de Louis Lépine.
Liée à nombre d'événements tragiques des IIIe, IVe et Ve Républiques (affaires Stavisky, Petiot, Ben Barka, attentat du Petit-Clamart, Action directe, etc.), la « maison de la mort » traverse un XXe siècle politiquement instable où les réussites largement médiatisées de la Brigade criminelle et de l'antigang créée en 1964, mais aussi les nombreux romans de Simenon et les films de Clouzot et de Marchal, rendent le lieu tour à tour mystérieux, effrayant ou mythique.
Liée à nombre d'événements tragiques des IIIe, IVe et Ve Républiques (affaires Stavisky, Petiot, Ben Barka, attentat du Petit-Clamart, Action directe, etc.), la « maison de la mort » traverse un XXe siècle politiquement instable où les réussites largement médiatisées de la Brigade criminelle et de l'antigang créée en 1964, mais aussi les nombreux romans de Simenon et les films de Clouzot et de Marchal, rendent le lieu tour à tour mystérieux, effrayant ou mythique.