Lazard Frères. Banquiers des Deux Mondes (1848-1939)
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- Nombre de pages558
- FormatePub
- ISBN978-2-213-66365-4
- EAN9782213663654
- Date de parution19/01/2011
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille1 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFayard
Résumé
En 1840, deux jeunes Lorrains s'embarquent pour la Louisiane où ils ouvrent une mercerie à la Nouvelle-Orléans : Lazard Frères. Au milieu du siècle, les frères s'installent à San Francisco et développent leurs activités dans le contexte effervescent de la ruée vers l'or. Rejoint par un cousin, Alexandre Weill, ils accumulent un capital qui leur permet, en 1876, de créer la première banque privée internationale d'origine française.
Forte de structures à Paris, Londres, New York et San Francisco, la banque Lazard va vite occuper une place prépondérante dans le domaine des transferts d'or transatlantiques, et devenir, au XXe siècle, un trait d'union entre les milieux d'affaires européens et américains. Très active sur le marché des changes, elle jouera aussi un rôle majeur dans la « bataille du franc » de 1924. L'histoire de la banque Lazard est aussi celle d'une dynastie familiale qui s'étale sur quatre générations et dont le destin croise celui de Proust, Lyautey ou André Citroën.
Certains de ses membres ont acquis à titre personnel une vaste notoriété, à l'image du mécène et philanthrope David David-Weill. Pour autant, le nom de Lazard Frères est peu connu du grand public, car ses dirigeants, d'une génération à l'autre, se sont attachés à maintenir l'aura de discrétion qui - plus que tout autre facteur - a fait la réputation de cette banque singulière, ainsi que son mystère.
Jamais, jusqu'ici, elle n'avait autorisé la consultation des archives qui constituent la source principale de cet ouvrage.
Forte de structures à Paris, Londres, New York et San Francisco, la banque Lazard va vite occuper une place prépondérante dans le domaine des transferts d'or transatlantiques, et devenir, au XXe siècle, un trait d'union entre les milieux d'affaires européens et américains. Très active sur le marché des changes, elle jouera aussi un rôle majeur dans la « bataille du franc » de 1924. L'histoire de la banque Lazard est aussi celle d'une dynastie familiale qui s'étale sur quatre générations et dont le destin croise celui de Proust, Lyautey ou André Citroën.
Certains de ses membres ont acquis à titre personnel une vaste notoriété, à l'image du mécène et philanthrope David David-Weill. Pour autant, le nom de Lazard Frères est peu connu du grand public, car ses dirigeants, d'une génération à l'autre, se sont attachés à maintenir l'aura de discrétion qui - plus que tout autre facteur - a fait la réputation de cette banque singulière, ainsi que son mystère.
Jamais, jusqu'ici, elle n'avait autorisé la consultation des archives qui constituent la source principale de cet ouvrage.
En 1840, deux jeunes Lorrains s'embarquent pour la Louisiane où ils ouvrent une mercerie à la Nouvelle-Orléans : Lazard Frères. Au milieu du siècle, les frères s'installent à San Francisco et développent leurs activités dans le contexte effervescent de la ruée vers l'or. Rejoint par un cousin, Alexandre Weill, ils accumulent un capital qui leur permet, en 1876, de créer la première banque privée internationale d'origine française.
Forte de structures à Paris, Londres, New York et San Francisco, la banque Lazard va vite occuper une place prépondérante dans le domaine des transferts d'or transatlantiques, et devenir, au XXe siècle, un trait d'union entre les milieux d'affaires européens et américains. Très active sur le marché des changes, elle jouera aussi un rôle majeur dans la « bataille du franc » de 1924. L'histoire de la banque Lazard est aussi celle d'une dynastie familiale qui s'étale sur quatre générations et dont le destin croise celui de Proust, Lyautey ou André Citroën.
Certains de ses membres ont acquis à titre personnel une vaste notoriété, à l'image du mécène et philanthrope David David-Weill. Pour autant, le nom de Lazard Frères est peu connu du grand public, car ses dirigeants, d'une génération à l'autre, se sont attachés à maintenir l'aura de discrétion qui - plus que tout autre facteur - a fait la réputation de cette banque singulière, ainsi que son mystère.
Jamais, jusqu'ici, elle n'avait autorisé la consultation des archives qui constituent la source principale de cet ouvrage.
Forte de structures à Paris, Londres, New York et San Francisco, la banque Lazard va vite occuper une place prépondérante dans le domaine des transferts d'or transatlantiques, et devenir, au XXe siècle, un trait d'union entre les milieux d'affaires européens et américains. Très active sur le marché des changes, elle jouera aussi un rôle majeur dans la « bataille du franc » de 1924. L'histoire de la banque Lazard est aussi celle d'une dynastie familiale qui s'étale sur quatre générations et dont le destin croise celui de Proust, Lyautey ou André Citroën.
Certains de ses membres ont acquis à titre personnel une vaste notoriété, à l'image du mécène et philanthrope David David-Weill. Pour autant, le nom de Lazard Frères est peu connu du grand public, car ses dirigeants, d'une génération à l'autre, se sont attachés à maintenir l'aura de discrétion qui - plus que tout autre facteur - a fait la réputation de cette banque singulière, ainsi que son mystère.
Jamais, jusqu'ici, elle n'avait autorisé la consultation des archives qui constituent la source principale de cet ouvrage.