La violence dans les mondes grec et romain. Actes du colloque international (Paris, 2 - 4 mai 2002)
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format Multi-format est :
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
, qui est-ce ?Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages467
- FormatMulti-format
- ISBN979-10-351-0196-1
- EAN9791035101961
- Date de parution26/06/2019
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurEditions de la Sorbonne
Résumé
Le colloque international sur la violence dans les mondes de l'Antiquité dite classique réuni des historiens soucieux d'explorer des domaines différents mais complémentaires. Leur préoccupation a été d'abord de comprendre quelle était la représentation de la violence dans les sociétés grecque et romaine grâce à une analyse des discours produits, qu'ils aient été textes ou images. À partir de ces prémisses, ils montrent quelles normes ont structuré le système social, ils élargissent et enrichissent la place accordée à la violence intra-familiale, tout en s'inscrivant résolument dans les actuelles interrogations sur le genre.
En abordant le domaine de la justice, qu'elle ait été vengeance ou recherche d'autres formes d'équilibre, les auteurs analysent la mise en relation entre la violence et le politique. Ils n'ont pas négligé bien sûr la guerre, où la violence est à la fois externe aux groupes affrontés et interne au monde des soldats, par l'effet de la brutalisation inhérente à leur pratique. Enfin la violence, qui n'est pas non plus absente des relations diplomatiques, renvoie à un des problèmes initialement posés, celui de sa mise en scène et de son institutionnalisation.
En abordant le domaine de la justice, qu'elle ait été vengeance ou recherche d'autres formes d'équilibre, les auteurs analysent la mise en relation entre la violence et le politique. Ils n'ont pas négligé bien sûr la guerre, où la violence est à la fois externe aux groupes affrontés et interne au monde des soldats, par l'effet de la brutalisation inhérente à leur pratique. Enfin la violence, qui n'est pas non plus absente des relations diplomatiques, renvoie à un des problèmes initialement posés, celui de sa mise en scène et de son institutionnalisation.
Le colloque international sur la violence dans les mondes de l'Antiquité dite classique réuni des historiens soucieux d'explorer des domaines différents mais complémentaires. Leur préoccupation a été d'abord de comprendre quelle était la représentation de la violence dans les sociétés grecque et romaine grâce à une analyse des discours produits, qu'ils aient été textes ou images. À partir de ces prémisses, ils montrent quelles normes ont structuré le système social, ils élargissent et enrichissent la place accordée à la violence intra-familiale, tout en s'inscrivant résolument dans les actuelles interrogations sur le genre.
En abordant le domaine de la justice, qu'elle ait été vengeance ou recherche d'autres formes d'équilibre, les auteurs analysent la mise en relation entre la violence et le politique. Ils n'ont pas négligé bien sûr la guerre, où la violence est à la fois externe aux groupes affrontés et interne au monde des soldats, par l'effet de la brutalisation inhérente à leur pratique. Enfin la violence, qui n'est pas non plus absente des relations diplomatiques, renvoie à un des problèmes initialement posés, celui de sa mise en scène et de son institutionnalisation.
En abordant le domaine de la justice, qu'elle ait été vengeance ou recherche d'autres formes d'équilibre, les auteurs analysent la mise en relation entre la violence et le politique. Ils n'ont pas négligé bien sûr la guerre, où la violence est à la fois externe aux groupes affrontés et interne au monde des soldats, par l'effet de la brutalisation inhérente à leur pratique. Enfin la violence, qui n'est pas non plus absente des relations diplomatiques, renvoie à un des problèmes initialement posés, celui de sa mise en scène et de son institutionnalisation.






