La vie unanime. Poème, 1904 - 1907
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- Nombre de pages256
- FormatePub
- ISBN978-2-07-275733-4
- EAN9782072757334
- Date de parution31/05/2019
- Protection num.Adobe DRM
- Taille3 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurEditions Gallimard
Résumé
'La Vie unanime se présente comme un poème unique, et non comme un recueil. À l'image de la cellule dans l'organisme, de l'individu dans l'unanime auquel il est incorporé, chaque poème est indépendant et partie d'un tout. Tantôt un titre marque son autonomie ; tantôt quelques mots d'un poème précédent sont mis en exergue, établissant comme un lien organique de l'un à l'autre ; tantôt aussi titre et exergue coexistent.
Expériences de l'unanime se justaposant, s'emboîtant les unes aux autres, rapports dialectiques de l'individu aux unanimes s'ordonnent dans une unité-discontinuité où se résument toutes les options de Jules Romains. L'individu cherche, se cherche. Il sent vaguement quelque chose qui l'investit. La caserne, le théâtre, l'église, le café, la ville entière représentent successivement la vie des unanimes.
Des dynamismes s'affirment. L'individu d'abord s'abandonne à l'unanime, se fond en lui avec ivresse. Mais surgit la tentation de la révolte au nom de la liberté, le refus d'être absorbé. L'individu surmonte ce désir de réalisation de soi dans la solitude, sa conscience devient conscience de l'unanime, besoin d'amour ; il peut dire à nouveau : "Unanime, je t'aime". Il est un double nous : nous des cellules qui le composent, nous des autres qui, avec lui, se perdent dans le moi de la ville.' Michel Décaudin.
Expériences de l'unanime se justaposant, s'emboîtant les unes aux autres, rapports dialectiques de l'individu aux unanimes s'ordonnent dans une unité-discontinuité où se résument toutes les options de Jules Romains. L'individu cherche, se cherche. Il sent vaguement quelque chose qui l'investit. La caserne, le théâtre, l'église, le café, la ville entière représentent successivement la vie des unanimes.
Des dynamismes s'affirment. L'individu d'abord s'abandonne à l'unanime, se fond en lui avec ivresse. Mais surgit la tentation de la révolte au nom de la liberté, le refus d'être absorbé. L'individu surmonte ce désir de réalisation de soi dans la solitude, sa conscience devient conscience de l'unanime, besoin d'amour ; il peut dire à nouveau : "Unanime, je t'aime". Il est un double nous : nous des cellules qui le composent, nous des autres qui, avec lui, se perdent dans le moi de la ville.' Michel Décaudin.
'La Vie unanime se présente comme un poème unique, et non comme un recueil. À l'image de la cellule dans l'organisme, de l'individu dans l'unanime auquel il est incorporé, chaque poème est indépendant et partie d'un tout. Tantôt un titre marque son autonomie ; tantôt quelques mots d'un poème précédent sont mis en exergue, établissant comme un lien organique de l'un à l'autre ; tantôt aussi titre et exergue coexistent.
Expériences de l'unanime se justaposant, s'emboîtant les unes aux autres, rapports dialectiques de l'individu aux unanimes s'ordonnent dans une unité-discontinuité où se résument toutes les options de Jules Romains. L'individu cherche, se cherche. Il sent vaguement quelque chose qui l'investit. La caserne, le théâtre, l'église, le café, la ville entière représentent successivement la vie des unanimes.
Des dynamismes s'affirment. L'individu d'abord s'abandonne à l'unanime, se fond en lui avec ivresse. Mais surgit la tentation de la révolte au nom de la liberté, le refus d'être absorbé. L'individu surmonte ce désir de réalisation de soi dans la solitude, sa conscience devient conscience de l'unanime, besoin d'amour ; il peut dire à nouveau : "Unanime, je t'aime". Il est un double nous : nous des cellules qui le composent, nous des autres qui, avec lui, se perdent dans le moi de la ville.' Michel Décaudin.
Expériences de l'unanime se justaposant, s'emboîtant les unes aux autres, rapports dialectiques de l'individu aux unanimes s'ordonnent dans une unité-discontinuité où se résument toutes les options de Jules Romains. L'individu cherche, se cherche. Il sent vaguement quelque chose qui l'investit. La caserne, le théâtre, l'église, le café, la ville entière représentent successivement la vie des unanimes.
Des dynamismes s'affirment. L'individu d'abord s'abandonne à l'unanime, se fond en lui avec ivresse. Mais surgit la tentation de la révolte au nom de la liberté, le refus d'être absorbé. L'individu surmonte ce désir de réalisation de soi dans la solitude, sa conscience devient conscience de l'unanime, besoin d'amour ; il peut dire à nouveau : "Unanime, je t'aime". Il est un double nous : nous des cellules qui le composent, nous des autres qui, avec lui, se perdent dans le moi de la ville.' Michel Décaudin.

















