La vie singulière d'un paysan en Beaujolais. Biographie de Pierre Laurençon 1917-2020
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- Nombre de pages169
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-38647-653-2
- EAN9782386476532
- Date de parution24/06/2024
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub avec ...
- ÉditeurEDITIONS COMPLICITES
- PréfacierJean Reby-Fayard
Résumé
Né en 1917 à Morancé dans ce qu'il est convenu d'appeler depuis les années 1960 le Beaujolais des Pierres Dorées, Pierre Laurençon a connu une enfance douloureuse qui va le marquer toute sa vie. Privé très tôt de son père et éloigné à plusieurs reprises d'une mère qu'il chérit, soumis aux durs travaux des champs, il grandit au sein d'une famille dont la situation économique confine parfois à la misère.
En octobre 1936, alors âgé de 19 ans, à la fois mû par le goût de l'aventure mais aussi par un ressort intime qui le pousse toujours à progresser au travers de nouveaux défis, il part pour trois ans au Maroc en s'engageant dans le régiment du 1er Zouaves. Cette échappée va lui apprendre la vie en communauté et lui permettre de découvrir un autre mode de vie, tandis que l'éloignement le conforte dans son amour pour sa promise qui doit mûrir.
La foi, de plus en plus, va le guider dans ses décisions. La « drôle de guerre » éclate en septembre 1939. Elle va le ramener en métropole, directement sur le front et non, comme il l'espère, vers le village de sa fiancée. Fait prisonnier en juin 1940 il vit, pendant plus de deux mois, les pires instants de sa vie dans ce qu'il désignait lui-même comme un « terrier » au camp de Romilly-sur-Seine avant de partir, dans un wagon de chemin de fer en compagnie de chevaux de trait, pour un camp de travail à Krefeld en Allemagne.
Au Stalag VI les conditions d'existence lui paraissent moins dures qu'à Romilly, mais après une préparation des plus minutieuses il s'en évade le 20 juin 1942. De retour parmi les siens, marié plus tôt que prévu, il travaille dans un premier temps chez sa belle-mère avant de prendre un métayage pour finalement s'installer à Saint-Jean-des-Vignes comme propriétaire d'une ferme qu'il lui faut défricher.
Paysan, arboriculteur-vigneron, premier Président du Bio dans le Rhône, ses huit enfants - 4 garçons et 4 filles - le comblent de bonheur jusqu'à la perte de son épouse, Marthe, en 1982. Cette dernière, très attachée à la religion chrétienne, semble avoir pressenti sa fin et guide son époux vers la dernière étape de sa vie. Début 1983, Pierre réalise son noviciat à Châteauroux auprès de son fils prêtre, et Frère en rejoignant sa fille religieuse à l'Étoile du Matin, tout en apportant à la communauté ses merveilleuses compétences en jardinage.
En octobre 1936, alors âgé de 19 ans, à la fois mû par le goût de l'aventure mais aussi par un ressort intime qui le pousse toujours à progresser au travers de nouveaux défis, il part pour trois ans au Maroc en s'engageant dans le régiment du 1er Zouaves. Cette échappée va lui apprendre la vie en communauté et lui permettre de découvrir un autre mode de vie, tandis que l'éloignement le conforte dans son amour pour sa promise qui doit mûrir.
La foi, de plus en plus, va le guider dans ses décisions. La « drôle de guerre » éclate en septembre 1939. Elle va le ramener en métropole, directement sur le front et non, comme il l'espère, vers le village de sa fiancée. Fait prisonnier en juin 1940 il vit, pendant plus de deux mois, les pires instants de sa vie dans ce qu'il désignait lui-même comme un « terrier » au camp de Romilly-sur-Seine avant de partir, dans un wagon de chemin de fer en compagnie de chevaux de trait, pour un camp de travail à Krefeld en Allemagne.
Au Stalag VI les conditions d'existence lui paraissent moins dures qu'à Romilly, mais après une préparation des plus minutieuses il s'en évade le 20 juin 1942. De retour parmi les siens, marié plus tôt que prévu, il travaille dans un premier temps chez sa belle-mère avant de prendre un métayage pour finalement s'installer à Saint-Jean-des-Vignes comme propriétaire d'une ferme qu'il lui faut défricher.
Paysan, arboriculteur-vigneron, premier Président du Bio dans le Rhône, ses huit enfants - 4 garçons et 4 filles - le comblent de bonheur jusqu'à la perte de son épouse, Marthe, en 1982. Cette dernière, très attachée à la religion chrétienne, semble avoir pressenti sa fin et guide son époux vers la dernière étape de sa vie. Début 1983, Pierre réalise son noviciat à Châteauroux auprès de son fils prêtre, et Frère en rejoignant sa fille religieuse à l'Étoile du Matin, tout en apportant à la communauté ses merveilleuses compétences en jardinage.
Né en 1917 à Morancé dans ce qu'il est convenu d'appeler depuis les années 1960 le Beaujolais des Pierres Dorées, Pierre Laurençon a connu une enfance douloureuse qui va le marquer toute sa vie. Privé très tôt de son père et éloigné à plusieurs reprises d'une mère qu'il chérit, soumis aux durs travaux des champs, il grandit au sein d'une famille dont la situation économique confine parfois à la misère.
En octobre 1936, alors âgé de 19 ans, à la fois mû par le goût de l'aventure mais aussi par un ressort intime qui le pousse toujours à progresser au travers de nouveaux défis, il part pour trois ans au Maroc en s'engageant dans le régiment du 1er Zouaves. Cette échappée va lui apprendre la vie en communauté et lui permettre de découvrir un autre mode de vie, tandis que l'éloignement le conforte dans son amour pour sa promise qui doit mûrir.
La foi, de plus en plus, va le guider dans ses décisions. La « drôle de guerre » éclate en septembre 1939. Elle va le ramener en métropole, directement sur le front et non, comme il l'espère, vers le village de sa fiancée. Fait prisonnier en juin 1940 il vit, pendant plus de deux mois, les pires instants de sa vie dans ce qu'il désignait lui-même comme un « terrier » au camp de Romilly-sur-Seine avant de partir, dans un wagon de chemin de fer en compagnie de chevaux de trait, pour un camp de travail à Krefeld en Allemagne.
Au Stalag VI les conditions d'existence lui paraissent moins dures qu'à Romilly, mais après une préparation des plus minutieuses il s'en évade le 20 juin 1942. De retour parmi les siens, marié plus tôt que prévu, il travaille dans un premier temps chez sa belle-mère avant de prendre un métayage pour finalement s'installer à Saint-Jean-des-Vignes comme propriétaire d'une ferme qu'il lui faut défricher.
Paysan, arboriculteur-vigneron, premier Président du Bio dans le Rhône, ses huit enfants - 4 garçons et 4 filles - le comblent de bonheur jusqu'à la perte de son épouse, Marthe, en 1982. Cette dernière, très attachée à la religion chrétienne, semble avoir pressenti sa fin et guide son époux vers la dernière étape de sa vie. Début 1983, Pierre réalise son noviciat à Châteauroux auprès de son fils prêtre, et Frère en rejoignant sa fille religieuse à l'Étoile du Matin, tout en apportant à la communauté ses merveilleuses compétences en jardinage.
En octobre 1936, alors âgé de 19 ans, à la fois mû par le goût de l'aventure mais aussi par un ressort intime qui le pousse toujours à progresser au travers de nouveaux défis, il part pour trois ans au Maroc en s'engageant dans le régiment du 1er Zouaves. Cette échappée va lui apprendre la vie en communauté et lui permettre de découvrir un autre mode de vie, tandis que l'éloignement le conforte dans son amour pour sa promise qui doit mûrir.
La foi, de plus en plus, va le guider dans ses décisions. La « drôle de guerre » éclate en septembre 1939. Elle va le ramener en métropole, directement sur le front et non, comme il l'espère, vers le village de sa fiancée. Fait prisonnier en juin 1940 il vit, pendant plus de deux mois, les pires instants de sa vie dans ce qu'il désignait lui-même comme un « terrier » au camp de Romilly-sur-Seine avant de partir, dans un wagon de chemin de fer en compagnie de chevaux de trait, pour un camp de travail à Krefeld en Allemagne.
Au Stalag VI les conditions d'existence lui paraissent moins dures qu'à Romilly, mais après une préparation des plus minutieuses il s'en évade le 20 juin 1942. De retour parmi les siens, marié plus tôt que prévu, il travaille dans un premier temps chez sa belle-mère avant de prendre un métayage pour finalement s'installer à Saint-Jean-des-Vignes comme propriétaire d'une ferme qu'il lui faut défricher.
Paysan, arboriculteur-vigneron, premier Président du Bio dans le Rhône, ses huit enfants - 4 garçons et 4 filles - le comblent de bonheur jusqu'à la perte de son épouse, Marthe, en 1982. Cette dernière, très attachée à la religion chrétienne, semble avoir pressenti sa fin et guide son époux vers la dernière étape de sa vie. Début 1983, Pierre réalise son noviciat à Châteauroux auprès de son fils prêtre, et Frère en rejoignant sa fille religieuse à l'Étoile du Matin, tout en apportant à la communauté ses merveilleuses compétences en jardinage.