La vie parfaite de William Sidis
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- Nombre de pages328
- FormatePub
- ISBN978-2-258-10066-4
- EAN9782258100664
- Date de parution06/06/2013
- Copier Coller02 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille3 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurPresses de la Cité
- TraducteurCaroline Berg
Résumé
Dans son deuxième roman, Morten Brask retrace le destin passionnant et tragique de William James Sidis (1898-1944), considéré comme l'un des plus grands surdoués de tous les temps. Dans son deuxième roman, Morten Brask retrace le destin passionnant et tragique de William James Sidis (1898-1944), considéré comme l'un des plus grands surdoués de tous les temps.
C'est en 1910 à Harvard que William Sidis donne sa première conférence devant un parterre composé de quelques-uns des professeurs et chercheurs américains les plus éminents.
Alors âgé de 11 ans, il est déjà étudiant de cette prestigieuse université. Le lendemain, tous les journaux titrent sur le " phénomène " Sidis : lecture du New York Times à 18 mois, maîtrise du latin et du grec - qu'il a appris seul - à 3 ans, rédaction d'ouvrages de grammaire, d'astronomie et d'anatomie à 8 ans, âge auquel il avait même déjà inventé une langue, le Vendergood. D'aucuns prédisent qu'il sera le prochain Newton ou Euclide.
Alors pourquoi l'histoire n'a-t-elle pas retenu le nom de Sidis ? Qu'est-il arrivé à cet enfant prodige que ses parents n'ont cessé de pousser ?
Alors âgé de 11 ans, il est déjà étudiant de cette prestigieuse université. Le lendemain, tous les journaux titrent sur le " phénomène " Sidis : lecture du New York Times à 18 mois, maîtrise du latin et du grec - qu'il a appris seul - à 3 ans, rédaction d'ouvrages de grammaire, d'astronomie et d'anatomie à 8 ans, âge auquel il avait même déjà inventé une langue, le Vendergood. D'aucuns prédisent qu'il sera le prochain Newton ou Euclide.
Alors pourquoi l'histoire n'a-t-elle pas retenu le nom de Sidis ? Qu'est-il arrivé à cet enfant prodige que ses parents n'ont cessé de pousser ?
Dans son deuxième roman, Morten Brask retrace le destin passionnant et tragique de William James Sidis (1898-1944), considéré comme l'un des plus grands surdoués de tous les temps. Dans son deuxième roman, Morten Brask retrace le destin passionnant et tragique de William James Sidis (1898-1944), considéré comme l'un des plus grands surdoués de tous les temps.
C'est en 1910 à Harvard que William Sidis donne sa première conférence devant un parterre composé de quelques-uns des professeurs et chercheurs américains les plus éminents.
Alors âgé de 11 ans, il est déjà étudiant de cette prestigieuse université. Le lendemain, tous les journaux titrent sur le " phénomène " Sidis : lecture du New York Times à 18 mois, maîtrise du latin et du grec - qu'il a appris seul - à 3 ans, rédaction d'ouvrages de grammaire, d'astronomie et d'anatomie à 8 ans, âge auquel il avait même déjà inventé une langue, le Vendergood. D'aucuns prédisent qu'il sera le prochain Newton ou Euclide.
Alors pourquoi l'histoire n'a-t-elle pas retenu le nom de Sidis ? Qu'est-il arrivé à cet enfant prodige que ses parents n'ont cessé de pousser ?
Alors âgé de 11 ans, il est déjà étudiant de cette prestigieuse université. Le lendemain, tous les journaux titrent sur le " phénomène " Sidis : lecture du New York Times à 18 mois, maîtrise du latin et du grec - qu'il a appris seul - à 3 ans, rédaction d'ouvrages de grammaire, d'astronomie et d'anatomie à 8 ans, âge auquel il avait même déjà inventé une langue, le Vendergood. D'aucuns prédisent qu'il sera le prochain Newton ou Euclide.
Alors pourquoi l'histoire n'a-t-elle pas retenu le nom de Sidis ? Qu'est-il arrivé à cet enfant prodige que ses parents n'ont cessé de pousser ?










