La Vie, les amours et les aventures de Diogène le cynique surnommé le Socrate fou
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- Nombre de pages168
- FormatePub
- ISBN978-2-84578-204-4
- EAN9782845782044
- Date de parution08/07/2013
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille1 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurManucius (Editions)
Résumé
On croyait tout savoir de Diogène le Cynique, c'est-à-dire, presque rien. Hormis les paraphrases de son homonyme Laerce, de Claudius Elienus et de quelques autres. Mais voici qu'un livre vient troubler le jeu. Découvert en 1770 par le grand Christophe Martin Wieland, l'auteur d'Obéron, le Voltaire allemand selon Mme de Staël, dans la bibliothèque d'une abbaye de l'ordre de saint *** et étrangement passé sous silence jusqu'à ce jour par les divers commentateurs et hagiographes de notre philosophe.
C'est que sans doute le mystère lui sied.
Les éditions Manucius ont cru devoir porter à la connaissance de l'honnête homme un texte, de la main même de Diogène selon Wieland, (écrit à la craie sur les parois intérieures de son tonneau) qui apporte un éclairage nouveau et décisif sur le Maître de la pensée cynique. Ainsi que quelques inéluctables réparties qui viennent magistralement compléter celles que nous a léguées la tradition. Diogène visitant Platon aurait dit, après avoir traversé grand nombre d'appartements somptueusement décorés, frappant du pied sur un superbe tapis qui couvrait le plancher : "Je foule aux pieds l'orgueil de Platon ! "Et moi, reprit Platon, j'aperçois l'orgueil de Diogène à travers des trous de son habit"...
Les éditions Manucius ont cru devoir porter à la connaissance de l'honnête homme un texte, de la main même de Diogène selon Wieland, (écrit à la craie sur les parois intérieures de son tonneau) qui apporte un éclairage nouveau et décisif sur le Maître de la pensée cynique. Ainsi que quelques inéluctables réparties qui viennent magistralement compléter celles que nous a léguées la tradition. Diogène visitant Platon aurait dit, après avoir traversé grand nombre d'appartements somptueusement décorés, frappant du pied sur un superbe tapis qui couvrait le plancher : "Je foule aux pieds l'orgueil de Platon ! "Et moi, reprit Platon, j'aperçois l'orgueil de Diogène à travers des trous de son habit"...
On croyait tout savoir de Diogène le Cynique, c'est-à-dire, presque rien. Hormis les paraphrases de son homonyme Laerce, de Claudius Elienus et de quelques autres. Mais voici qu'un livre vient troubler le jeu. Découvert en 1770 par le grand Christophe Martin Wieland, l'auteur d'Obéron, le Voltaire allemand selon Mme de Staël, dans la bibliothèque d'une abbaye de l'ordre de saint *** et étrangement passé sous silence jusqu'à ce jour par les divers commentateurs et hagiographes de notre philosophe.
C'est que sans doute le mystère lui sied.
Les éditions Manucius ont cru devoir porter à la connaissance de l'honnête homme un texte, de la main même de Diogène selon Wieland, (écrit à la craie sur les parois intérieures de son tonneau) qui apporte un éclairage nouveau et décisif sur le Maître de la pensée cynique. Ainsi que quelques inéluctables réparties qui viennent magistralement compléter celles que nous a léguées la tradition. Diogène visitant Platon aurait dit, après avoir traversé grand nombre d'appartements somptueusement décorés, frappant du pied sur un superbe tapis qui couvrait le plancher : "Je foule aux pieds l'orgueil de Platon ! "Et moi, reprit Platon, j'aperçois l'orgueil de Diogène à travers des trous de son habit"...
Les éditions Manucius ont cru devoir porter à la connaissance de l'honnête homme un texte, de la main même de Diogène selon Wieland, (écrit à la craie sur les parois intérieures de son tonneau) qui apporte un éclairage nouveau et décisif sur le Maître de la pensée cynique. Ainsi que quelques inéluctables réparties qui viennent magistralement compléter celles que nous a léguées la tradition. Diogène visitant Platon aurait dit, après avoir traversé grand nombre d'appartements somptueusement décorés, frappant du pied sur un superbe tapis qui couvrait le plancher : "Je foule aux pieds l'orgueil de Platon ! "Et moi, reprit Platon, j'aperçois l'orgueil de Diogène à travers des trous de son habit"...