La vie et les vivants. (Re-)lire Michel Henry
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- Nombre de pages658
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-87558-121-1
- EAN9782875581211
- Date de parution03/07/2017
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurPresses universitaires de Louvai...
Résumé
Ce volume offre un vaste panorama des études sur Michel Henry et les acquis de sa « phénoménologie matérielle », dans des domaines aussi divers que l'histoire des idées, la culture, la politique, l'esthétique ou le fait religieux. Les contributions ici rassemblées ont pour origine l'ouverture à l'Université catholique de Louvain (UCL) du Fonds Michel Henry, qui met à la disposition des chercheurs les archives du philosophe, ainsi qu'une importante bibliothèque de littérature primaire et secondaire.
« [...] les versets fameux d'Angelus Silesius La rose est sans pourquoi fleurit parce qu'elle fleurit n'a souci d'elle-même ni ne désire être vue procèdent directement des intuitions fulgurantes de Maître Eckhart, la rose n'étant que le nom de la vie [...]. N'est-il pas significatif de constater que tous les caractères négatifs que revêt le corps humain dans son abandon au monde, son délaissement, son absence de justification, son étrangeté, sa contingence, son absurdité, éventuellement sa laideur ou sa vulgarité, disparaissent dès que, vécu de l'intérieur, ce corps se révèle à soi-même comme chair vivante ? » Michel Henry, Incarnation.
Une philosophie de la chair
« [...] les versets fameux d'Angelus Silesius La rose est sans pourquoi fleurit parce qu'elle fleurit n'a souci d'elle-même ni ne désire être vue procèdent directement des intuitions fulgurantes de Maître Eckhart, la rose n'étant que le nom de la vie [...]. N'est-il pas significatif de constater que tous les caractères négatifs que revêt le corps humain dans son abandon au monde, son délaissement, son absence de justification, son étrangeté, sa contingence, son absurdité, éventuellement sa laideur ou sa vulgarité, disparaissent dès que, vécu de l'intérieur, ce corps se révèle à soi-même comme chair vivante ? » Michel Henry, Incarnation.
Une philosophie de la chair
Ce volume offre un vaste panorama des études sur Michel Henry et les acquis de sa « phénoménologie matérielle », dans des domaines aussi divers que l'histoire des idées, la culture, la politique, l'esthétique ou le fait religieux. Les contributions ici rassemblées ont pour origine l'ouverture à l'Université catholique de Louvain (UCL) du Fonds Michel Henry, qui met à la disposition des chercheurs les archives du philosophe, ainsi qu'une importante bibliothèque de littérature primaire et secondaire.
« [...] les versets fameux d'Angelus Silesius La rose est sans pourquoi fleurit parce qu'elle fleurit n'a souci d'elle-même ni ne désire être vue procèdent directement des intuitions fulgurantes de Maître Eckhart, la rose n'étant que le nom de la vie [...]. N'est-il pas significatif de constater que tous les caractères négatifs que revêt le corps humain dans son abandon au monde, son délaissement, son absence de justification, son étrangeté, sa contingence, son absurdité, éventuellement sa laideur ou sa vulgarité, disparaissent dès que, vécu de l'intérieur, ce corps se révèle à soi-même comme chair vivante ? » Michel Henry, Incarnation.
Une philosophie de la chair
« [...] les versets fameux d'Angelus Silesius La rose est sans pourquoi fleurit parce qu'elle fleurit n'a souci d'elle-même ni ne désire être vue procèdent directement des intuitions fulgurantes de Maître Eckhart, la rose n'étant que le nom de la vie [...]. N'est-il pas significatif de constater que tous les caractères négatifs que revêt le corps humain dans son abandon au monde, son délaissement, son absence de justification, son étrangeté, sa contingence, son absurdité, éventuellement sa laideur ou sa vulgarité, disparaissent dès que, vécu de l'intérieur, ce corps se révèle à soi-même comme chair vivante ? » Michel Henry, Incarnation.
Une philosophie de la chair