La vie en dansant. Suivi d'Au cabaret de l’éphémère et d'Avec un peu plus de ciel
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- Nombre de pages400
- FormatePub
- ISBN978-2-07-288453-5
- EAN9782072884535
- Date de parution13/02/2020
- Protection num.Adobe DRM
- Taille1 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurEditions Gallimard
- PréfacierRichard Blin
Résumé
Publier un troisième volume d'André Velter en Poésie/Gallimard était assurément nécessaire, ne serait-ce que pour signifier la place majeure qu'occupe son ouvre dans la poésie des dernières décennies, place première sans doute dans la génération qui suit celle des Bonnefoy, Jaccottet , Roubaud ou Dupin. Les trois titres des années 2000 rassemblés ici, suivant le triptyque de la douleur et de l'amour que constituèrent les poèmes à Chantal Mauduit, développent et approfondissent le credo existentiel du poète dont ce vers de La vie en dansant dit tout : "Du mouvement il n'y a pas à démordre".
Il s'agit encore et toujours pour Velter d'échapper à toutes les ankyloses, tous les renoncements et toutes les clôtures et de se donner à cet absolu qu'est l'élan vertical et sans fin de la vie, cette danse sur l'abîme. La poétique de Velter, immédiatement reconnaissable entre toutes, est à l'aune de cette ardeur et de ce courage, toute de rythmes et de souffle vigoureux, scansion d'une âme enfiévrée qui exhausse la parole jusqu'au chant.
Jamais tournée vers elle-même, chambre d'échos multiples, cette poésie de pleine santé s'imposait d'autre part pour accompagner le prochain Printemps des poètes dédié au Courage.
Il s'agit encore et toujours pour Velter d'échapper à toutes les ankyloses, tous les renoncements et toutes les clôtures et de se donner à cet absolu qu'est l'élan vertical et sans fin de la vie, cette danse sur l'abîme. La poétique de Velter, immédiatement reconnaissable entre toutes, est à l'aune de cette ardeur et de ce courage, toute de rythmes et de souffle vigoureux, scansion d'une âme enfiévrée qui exhausse la parole jusqu'au chant.
Jamais tournée vers elle-même, chambre d'échos multiples, cette poésie de pleine santé s'imposait d'autre part pour accompagner le prochain Printemps des poètes dédié au Courage.
Publier un troisième volume d'André Velter en Poésie/Gallimard était assurément nécessaire, ne serait-ce que pour signifier la place majeure qu'occupe son ouvre dans la poésie des dernières décennies, place première sans doute dans la génération qui suit celle des Bonnefoy, Jaccottet , Roubaud ou Dupin. Les trois titres des années 2000 rassemblés ici, suivant le triptyque de la douleur et de l'amour que constituèrent les poèmes à Chantal Mauduit, développent et approfondissent le credo existentiel du poète dont ce vers de La vie en dansant dit tout : "Du mouvement il n'y a pas à démordre".
Il s'agit encore et toujours pour Velter d'échapper à toutes les ankyloses, tous les renoncements et toutes les clôtures et de se donner à cet absolu qu'est l'élan vertical et sans fin de la vie, cette danse sur l'abîme. La poétique de Velter, immédiatement reconnaissable entre toutes, est à l'aune de cette ardeur et de ce courage, toute de rythmes et de souffle vigoureux, scansion d'une âme enfiévrée qui exhausse la parole jusqu'au chant.
Jamais tournée vers elle-même, chambre d'échos multiples, cette poésie de pleine santé s'imposait d'autre part pour accompagner le prochain Printemps des poètes dédié au Courage.
Il s'agit encore et toujours pour Velter d'échapper à toutes les ankyloses, tous les renoncements et toutes les clôtures et de se donner à cet absolu qu'est l'élan vertical et sans fin de la vie, cette danse sur l'abîme. La poétique de Velter, immédiatement reconnaissable entre toutes, est à l'aune de cette ardeur et de ce courage, toute de rythmes et de souffle vigoureux, scansion d'une âme enfiévrée qui exhausse la parole jusqu'au chant.
Jamais tournée vers elle-même, chambre d'échos multiples, cette poésie de pleine santé s'imposait d'autre part pour accompagner le prochain Printemps des poètes dédié au Courage.