La vie des objets. Décor domestique et vie quotidienne dans des familles populaires d'un quartier de Lyon, la Duchère, 1986 - 1993
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- Nombre de pages304
- FormatPDF
- ISBN2-296-32600-5
- EAN9782296326002
- Date de parution01/01/1996
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille13 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Cette étude décrit l'appropriation de l'habitat à partir d'une analyse du décor domestique, réalisée par observations de terrain et enquêtes de types socio-ethnologique auprès de 31 familles. Elle porte un regard historique et ethnologique sur les familles d'un grand ensemble de la banlieue lyonnaise. Au-delà des intérieurs domestiques et de leurs objets, l'auteur s'intéresse en fait aux familles, à leur vie quotidienne, à leur rapport à l'espace du quartier, et plus largement à la société.
Apparaît en filigrane une forme de " culture populaire " plus complexe, moins uniforme, dans la mesure où chacun réintroduit une parcelle de son histoire. Il y a, dans la description des objets, dans les divers segments de l'espace de vie, une sorte de " poésie sociale ". Si le gros mobilier dénote une culture économique homogène fondée sur les propositions des grands magasins, il n'en est pas de même pour le petit mobilier, plus personnalisé, moins encore pour les objets divers et l'infinité de bibelots entrevus dans ces logements.
Pour ces derniers c'est la personnalité individuelle de chacun qui est mise en avant, toute une ingéniosité, un bricolage, mais aussi des échanges, des trocs, de la récupération auxquels participent tous les membres de la famille.
Apparaît en filigrane une forme de " culture populaire " plus complexe, moins uniforme, dans la mesure où chacun réintroduit une parcelle de son histoire. Il y a, dans la description des objets, dans les divers segments de l'espace de vie, une sorte de " poésie sociale ". Si le gros mobilier dénote une culture économique homogène fondée sur les propositions des grands magasins, il n'en est pas de même pour le petit mobilier, plus personnalisé, moins encore pour les objets divers et l'infinité de bibelots entrevus dans ces logements.
Pour ces derniers c'est la personnalité individuelle de chacun qui est mise en avant, toute une ingéniosité, un bricolage, mais aussi des échanges, des trocs, de la récupération auxquels participent tous les membres de la famille.
Cette étude décrit l'appropriation de l'habitat à partir d'une analyse du décor domestique, réalisée par observations de terrain et enquêtes de types socio-ethnologique auprès de 31 familles. Elle porte un regard historique et ethnologique sur les familles d'un grand ensemble de la banlieue lyonnaise. Au-delà des intérieurs domestiques et de leurs objets, l'auteur s'intéresse en fait aux familles, à leur vie quotidienne, à leur rapport à l'espace du quartier, et plus largement à la société.
Apparaît en filigrane une forme de " culture populaire " plus complexe, moins uniforme, dans la mesure où chacun réintroduit une parcelle de son histoire. Il y a, dans la description des objets, dans les divers segments de l'espace de vie, une sorte de " poésie sociale ". Si le gros mobilier dénote une culture économique homogène fondée sur les propositions des grands magasins, il n'en est pas de même pour le petit mobilier, plus personnalisé, moins encore pour les objets divers et l'infinité de bibelots entrevus dans ces logements.
Pour ces derniers c'est la personnalité individuelle de chacun qui est mise en avant, toute une ingéniosité, un bricolage, mais aussi des échanges, des trocs, de la récupération auxquels participent tous les membres de la famille.
Apparaît en filigrane une forme de " culture populaire " plus complexe, moins uniforme, dans la mesure où chacun réintroduit une parcelle de son histoire. Il y a, dans la description des objets, dans les divers segments de l'espace de vie, une sorte de " poésie sociale ". Si le gros mobilier dénote une culture économique homogène fondée sur les propositions des grands magasins, il n'en est pas de même pour le petit mobilier, plus personnalisé, moins encore pour les objets divers et l'infinité de bibelots entrevus dans ces logements.
Pour ces derniers c'est la personnalité individuelle de chacun qui est mise en avant, toute une ingéniosité, un bricolage, mais aussi des échanges, des trocs, de la récupération auxquels participent tous les membres de la famille.